Je suis l’homme du calme et des visions chastes L’air du ciel gonfle mes poumons. […] c’est là qu’il faut vivre ; on n’a d’air que là, et on a de l’air poétique à pleine poitrine, comme sur une haute montagne, si bien que le cœur vous en bat277.
Ceux-ci, affaissés sur leurs épaules et sur leur sein, indiquent bien la merveilleuse propriété qu’ont ces femmes de monter, comme s’élèverait un corps plus léger que l’air, un aérostat par exemple, aussitôt que l’on aurait brisé sa chaîne.