Ce n’est plus l’homme qui chante, ou qui parle, ou qui agit en lui ; c’est la Divinité.
Seulement, nous profiterons de vos indications : nous serons moins dupes de la « Déclaration des droits de l’homme » ; nous concevrons mieux que c’est sur les cœurs qu’il faut agir et que l’apparente justice géométrique des lois n’est rien si le désir de la justice et si la charité ne sont point en nous.