Après l’affaire de Quiberon. […] Où commence réellement l’improbité dans les affaires, surtout dans les « grandes affaires » ? […] Voilà, direz-vous, bien des affaires ! […] Et voici qui vient encore embrouiller nos affaires : Pugnol a vraiment trop de littérature. […] C’est notre affaire après tout.

Quand nous fûmes assis ; il tira de sa poche un petit rouleau de papier écrit en très-mince caractère et me dit: « J’ai confiance en vous, voici un ouvrage manuscrit de moi qui, dans l’état actuel des affaires, pourrait produire une émotion dangereuse dans le peuple, et renverser peut-être ce misérable gouvernement. […] Je ne m’en rapprochai, par la nécessité de diriger et de modérer la révolution triomphante, qu’après qu’elle fut consommée, et que le départ de la famille royale lui eut livré en quelques minutes le terrain des affaires. […] Ce mysticisme et ce fanatisme réunis, qui protégeaient son ambition crédule, ne protégeaient pas ses affaires.