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991. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre XII. »

Les chefs-d’œuvre qu’elle avait laissés, ces marbres antédiluviens que la génération moderne ne pouvait reproduire, n’en étaient que plus admirés ; et on sait quelle gloire obtenait, en les interprétant, l’esprit encyclopédique d’Aristote.

992. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Il y a dans la forme tant de spontanéité, tant d’abondance, qu’on oublie d’admirer l’harmonie des vers pour s’associer au désespoir de l’amant. […] Cependant je ne voudrais pas laisser croire que j’admire sans réserve le talent de Parini. […] Ni les poèmes, ni les discours de son héros ne sont soumis à notre jugement, et nous sommes réduit à les admirer sur parole. […] Ceux qui n’admirent pas les pièces de M.  […] Personne n’admire plus sincèrement que moi l’érudition et la sagacité de M. 

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