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524. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXIXe entretien. Œuvres diverses de M. de Marcellus (2e partie) » pp. 5-63

Ce commentaire est bien supérieur au texte ; toutes les anecdotes y sont rectifiées, toutes les injures palliées, tous les excès de bile adoucis, tous les venins de style réparés, déplorés, excusés, de façon qu’il ne reste guère que de belles choses à admirer et un grand homme à comprendre. […] Il n’y trouva rien que des chants dits populaires qu’on admira par parti pris, mais qui ne sont pourtant que des complaintes du peuple. […] « Je m’étais déjà retourné mainte fois dans ma lente ascension, pour admirer ces merveilleux aspects qui s’étendent des montagnes de la Thrace et de l’Asie Mineure, des murs du sérail et des rivages de Chalcédoine, s’avançant sur leurs flancs et à leur ombre jusqu’aux rivages plus rapprochés de Calki et d’Antigone, fermant ainsi le cercle du lac le plus vaste et le plus azuré.

525. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre I — Chapitre premier »

Là, la nature est à peu près maîtresse, et cet équilibre de toutes les facultés, que j’admire dans nos grands écrivains, y est à chaque instant rompu. […] Quant à la liaison, à cette suite et à cette jointure des idées, dont Horace a admiré la puissance en homme qui en avait senti la difficulté, que d’efforts d’attention n’y faut-il pas ? […] Admirons combien l’empire de cette dernière a duré.

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