La foule admire avec une égale sincérité de très médiocres et de très beaux vers, de la bonne prose et de la détestable, et cela pour des raisons qui tiennent à sa conception pratique et positive de la littérature. […] Il n’était pas besoin de causer avec lui souvent pour comprendre qu’il n’admirait la littérature qu’efficace et volontaire.
Ici Nefftzer interrompt, pour déclarer que c’est le jugement qu’en porte Rochefort, qui l’a beaucoup pratiqué et l’admire un peu.