J’admets un moment qu’il soit difficile d’être plus injuste pour l’empereur que ne l’a été M. […] Mais j’admets qu’elle soit sincère dans ses lettres.
Lamartine et Hugo ; ni Baudelaire, ni Banville ne sont, en effet, du Midi et il nous faut bien admettre l’absence, dans toute la terre d’oc, de grands poètes de langue française, en exceptant les vivants de cette constatation, comme l’indique le formulaire des Marges. […] Mais, si l’on admet au même titre Villon, du Bellay.