Ce fut moins une pièce qu’une série de tableaux d’une réalité si simple et si profonde que, dépassant le réalisme, ils atteignaient à l’épique parfois… Et voici que Monsieur Bonnet, œuvre plus aboutie dans deux actes au moins, de tenue verbale presque parfaite, — sans de ces accrocs ingénus qui avaient pu susciter des rires, naguère, — se diminue du même fait : l’abstraction. […] Chaque acte évoquant un milieu existerait en soi, mais fortement uni aux autres.
Quant au finale du 1er acte il y en a beaucoup au Vaudeville de tout semblables… « Au 2e acte, le musicien se livre à de grands préparatifs, à des frais énormes. […] Janin se montre un peu plus traitable envers le 3e acte de l’œuvre du laquais de Rossini. […] Supposez l’acte supprimé, la portée philosophique de l’œuvre disparaît. […] » — Et pour ce qui est de la barcarolle du deuxième acte, M. […] Indigné de cet acte d’agression inouïe, M.