— Nana-Sahib, drame en cinq actes, en vers (1882). — La Glu, drame en cinq actes (1883). — Miarka, la fille à l’ourse (1883). — Macbeth, drame de Shakespeare en 9 tableaux et en prose (1884). — Sophie Monnier (1884). — Les Blasphèmes (1884). — La Mer (1885). — Monsieur Scapin, drame en 3 actes, en vers (1886). — Braves gens (1888). — Le Flibustier, drame en 3 actes, en vers (1888). — Le Cadet, roman (1890). — Truandailles (1898). — Le Mage, drame lyrique avec musique de Massenet (1891). — Par le glaive, en 5 actes et en vers (1892) […] — La Mer, poésie (1894). — Mes Paradis, poésie (1894). — Vers la Joie, conte en 5 actes (1894). — Flamboche, roman (1895). — Les Grandes Amoureuses (1896) […] — Théâtre chimérique (1896). — Le Chemineau, 5 actes (1897). — Le Chien de garde, 5 actes (1898). — Contes de la décadence romaine (1898). — La Martyre, 5 actes (1898). — Les Truands (1899). — La Gitane (1899). […] Richepin de prendre acte de ce conseil bienveillant, mais de n’en point profiter. […] J’aime moins les derniers actes.
C’est à bon droit que les explications trop claires et trop simples de nos actes ne nous satisfont pas. […] Or un acte qui, sous un rapport quelconque, n’a pas de raison capable d’expliquer pourquoi il est tel et non tel, n’est-ce pas un acte de liberum arbitrium indifferentiæ ? […] Il n’est pas vrai que l’argumentation des déterministes sur le passé revête cette forme puérile : « l’acte une fois accompli est accompli », ni qu’on puisse ramener à cette tautologie l’assertion déterministe que l’acte contraire était impossible. […] — On nous répondra que l’éclipse « revient », tandis qu’un acte concret et profond ne revient pas. […] C’est par un préjugé invétéré qu’on donne pour caractéristique des actes libres l’impossibilité de les prévoir.