Mais je suis très disposé à admettre que les causes de variabilité les plus fréquentes doivent être attribuées à ce que les organes reproducteurs du mâle et de la femelle ont été plus ou moins affectés avant l’acte de la conception. […] Or, la plupart des physiologistes admettent qu’il n’y a aucune différence essentielle entre un bourgeon et un ovule dans les premières phases de leur développement ; de sorte qu’en fait l’affolement des plantes appuie l’opinion qui attribue en grande partie la variabilité à ce que les ovules ou le pollen, et quelquefois tous les deux, ont été affectés par le traitement que l’individu reproducteur a subi avant l’acte de la conception. Ces divers cas montrent aussi que la variabilité n’est pas en connexion nécessaire avec l’acte générateur, ainsi que quelques auteurs l’ont supposé.
La plume de Roederer fut des plus employées dans les actes officiels de cette journée du 18 et des jours suivants. […] … Ce sont là des scrupules de délicatesse assez rares pour devoir être notés, et qui marquent l’ordre de sentiments véritablement patriotiques qui entraient (au moins de la part de quelques-uns) dans l’acte du 18 Brumaire.