Peut-être nous eût-il aidés à résoudre quelques problèmes de la misère, mais il eût diminué son autorité à l’Académie des Inscriptions et le Corpus inscriptionum semiticarum en eût été ralenti.
C’est une petite page délicieuse : Il y a quelques années, dans un rapport à l’Académie des Jeux floraux, le secrétaire, M. Fernand de Rességuier avait exprimé son étonnement que Toulouse n’eût jamais eu, en dépit des encouragements et des fleurs distribués par son Académie, un seul grand poète français. […] Et toutes nos académies et toutes nos écoles ne feront jamais chanter l’olivier des Alpilles ou les roseaux de la Durance autrement qu’en provençal.