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724. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Monsieur Walckenaer. » pp. 165-181

Laissant de côté ses mémoires sur l’ancienne Gaule, qui le firent nommer dès 1813 à l’Académie des inscriptions, et les nombreux travaux de géographie qui ne cessèrent de l’occuper depuis lors, « d’usurper, comme il le dit, le plus grand nombre de ses moments de loisir », je ne voudrais insister ici que sur les services agréables que M.  […] Daunou en 1840 comme secrétaire perpétuel de l’Académie des inscriptions, et en cette qualité il a fait plusieurs notices et éloges où l’on retrouve ses mérites habituels : il en est même (tel que l’Éloge de M. 

725. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Despréaux, avec le plus grand nombre des écrivains de son temps. » pp. 307-333

L’académie Françoise le comptoit parmi ses premiers membres, & brigua l’honneur de le posséder ; mais, ce qui prouve la grande opinion qu’on avoit de lui, c’est le stratagême qu’employa le cardinal de Richelieu pour accréditer un de ses ouvrages. […] Cotin avoit cependant une espèce de mérite : il sçavoit les langues ; il étoit de l’académie Françoise.

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