Il y a un milieu entre l’ignorance absolue et la science parfaite, il n’y en a point entre le bien et le mal, entre la bonté et la méchanceté.
Craindriez-vous, dans vos pensées pusillanimes, qu’il ne vînt ébranler des trônes fondés sur la limite des pouvoirs, parce qu’il a quelquefois brisé des sceptres absolus ?