L’amour mène à l’amour universel. « L’amour, dit l’auteur de l’Imitation, tend toujours en haut. » — C’est quand tous deux se rencontrent dans une idée de charité, « s’attendrissent dans la surprise d’avoir tellement le même cœur », que s’opère entre l’homme et la femme « l’échange absolu de l’être » et que se consomme leur « unité ».
Pars, aigle, tu vas voir des gouffres à ton gré : Tu vas voir l’absolu, le réel, le sublime.