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441. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 207-209

Après avoir prouvé, par des raisons convaincantes, que l'Ouvrage étoit de lui, il se récrie avec force contre les qualifications que Voltaire a coutume de donner à tous les Ecrits qui ne lui plaisent pas.

442. (1901) Des réputations littéraires. Essais de morale et d’histoire. Deuxième série

De 1730 à 1780, l’admiration des Français pour les tragédies de Voltaire fut unanime, et ce sentiment avait tant de poids et de force, que les ennemis même dont Voltaire ne manquait pas déposaient les armes devant ses tragédies. […] Montesquieu et Buffon séjournent ordinairement dans leurs antiques manoirs ; Rousseau cherche la solitude, et Voltaire passe la moitié de sa vie en province ou à l’étranger »34. […] Le Franc de Pompignan, le seul poète du dix-huitième siècle qui ait profondément compris la poésie des livres saints et qui l’a rendue quelquefois en vers d’une grande beauté, ne s’est point relevé des épigrammes de Voltaire. […] Voltaire ayant écrit dans le Siècle de Louis XIV : « Un des premiers qui étala dans la chaire une raison toujours éloquente fut le P. […] Voltaire mettait au-dessus de toutes les farces de Molière le Grondeur de Brueys et Palaprat.

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