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414. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XVIII. J.-M. Audin. Œuvres complètes : Vies de Luther, de Calvin, de Léon X, d’Henri VIII, etc. » pp. 369-425

Racine, Boileau, Chateaubriand, ont été élevés pour être prêtres, et Diderot aussi, qui dégrada l’âme d’un apôtre en la mettant au service de l’erreur. […] Mais l’antiquité et Racine, — car Racine, c’est l’Antiquité passant à travers la société de Louis XIV, — agissant sur celle tète artiste par leurs indiscutables beautés, brouillèrent bientôt la vue du penseur et le firent conclure, mollement, il est vrai, contre ce qui était, littérairement, la vérité même ! […] … Il y avait Racine.

415. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre V. La littérature et le milieu terrestre et cosmique » pp. 139-154

La Fontaine, Racine, la Bruyère viennent au monde dans les alentours ou à Paris même. […] Il est devenu banal de rappeler que dans la seconde moitié du xviie  siècle, si l’on excepte La Fontaine, Fénelon et un peu Racine, nos écrivains jetèrent sur la campagne des regards distraits et indifférents.

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