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296. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1853 » pp. 31-55

Donnons le paragraphe incriminé : « Dans cette boutique, ci-gît le plus beau corps de Paris. […] Du reste, le ministère de la justice d’alors, qui nous faisait poursuivre, n’avait-il pas eu, vingt-quatre heures, l’idée de poursuivre en police correctionnelle, dans un article de je ne sais qui du Paris, une ligne de points, paraissant avoir un sens obscène à M.  […] Le Paris passait pour la continuation du Corsaire. […] » * * * — Le père de Terrien, qui fait le sport anglais au Paris, était, pendant la Terreur, le commandant de la frégate La Vertu, chargée de porter en Irlande des forçats et des loups, et qui avait à bord une petite guillotine d’acajou pour couper le cou aux poulets. […] * * * — Je ne sais pourquoi le directeur de la Porte-Saint-Martin avait exposé au foyer les portraits que Gavarni a publiés dans Le Paris, et parmi lesquels figuraient les nôtres.

297. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « L’abbé Fléchier » pp. 383-416

Fléchier, ecclésiastique à Paris. […] Dongois, rédigea à son retour à Paris, et par curiosité, un récit de ce qui s’était passé à Clermont. […] Pendant les Grands Jours, et dans l’intervalle des pendaisons, il entretenait avec lui une correspondance récréative, et lui écrivait à Paris pour l’exciter et le provoquer. […] Il revint à Paris en L’année 1690, pour prononcer l’oraison funèbre de la dauphine, et celle de son grand ami, le duc de Montausier. […] Un des plus charitables et des plus savants curés de Paris, me parlant de cette relation des Grands Jours publiée par M. 

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