Mais, au point de vue général de la philosophie, l’idée du sommeil n’est pas pour cela, comme le croit l’école de Paris, un simple « reflet » de mouvements organiques qui pourraient aussi bien exister sans aucun contenu mental ; il y a là deux parties d’un même tout également nécessaires, et on n’a pas le droit de déclarer que l’une ou l’autre est un reflet superflu.
Théâtre, tome I, Paris, Imprimerie nationale, Librairie Ollendorff, 1912, p. 7-51.