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293. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « La Religieuse de Toulouse, par M. Jules Janin. (2 vol. in-8º.) » pp. 103-120

Il a de la gaieté, du naturel, il aime Molière : ce sont là des garanties. […] Il est, d’esprit aussi, comme de toute sa personne, bien portant et réjoui, un peu comme ces personnages gaillards de Molière, ces Dorine et ces Marton qu’il aime à citer, et qui disent des vérités le poing sur la hanche.

294. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Les Gaietés champêtres, par M. Jules Janin. » pp. 23-39

Sur Molière que de bonnes choses Janin n’a-t-il pas dites ! c’est quand il parle de Molière qu’il arrive à la vérité pleine et courante, « la bonne, la franche, l’aimable, la vraie vérité ».

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