Il résulte pourtant de la pensée du mémoire que, sous ces noms divers et assez vagues du Destin et de ses synonymes, les doctrines de la Providence et d’un Dieu intelligent, éclairé, étaient déjà celles des sages anciens, et que par conséquent le christianisme n’aurait pas eu à innover à cet égard autant qu’on l’a dit ; c’était comme un dernier trait hostile que Daunou rapportait du séjour de Rome, une arme d’idéologue sourdement forgée à l’ombre du Vatican.
Votre Dieu vous gêne ; il est la cause suprême, et vous n’osez raisonner sur les causes par respect pour lui.