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1378. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « La comtesse Diane »

Si La Rochefoucauld était venu après la comtesse Diane, elle l’aurait dit avant lui, voilà tout, car elle est, Dieu merci, assez riche de son fonds ! […] Je prends au hasard dans cette poignée de maximes aussi capricieusement éparses qu’une poignée de jonchets, quelques-unes de celles que j’aime le mieux et qui rentrent le moins dans les catégories prévues par mon ami Pococurante : Je ne crains pas Dieu s’il sait tout.

1379. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre onzième. »

La société française connaissait toutes choses ; elle commençait à jouir d’elle-même sous un gouvernement qu’elle croyait dans l’ordre de Dieu, et sous un prince digne de ce gouvernement. […] C’est un bien sur lequel nous n’avons plus de droits, c’est une portion de Dieu même.

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