J’en suis même un peu le Dieu de cette religion… et j’ai aussi des adorants… MM. […] »… et Dieu sait ! […] — Dieu veuille que ce soit bientôt ! […] Il ne manque pas de beaux livres, Dieu merci, que l’on peut lire et relire. […] … — Dieu t’entende !
Mais, pour le moment, en vrais fils qu’ils sont de la génération précédente, ils ne se soucient que du libre exercice de leur « faculté pensante », et le Dieu « rémunérateur et vengeur » de Voltaire n’est lui-même à leurs yeux qu’une hypothèse dont se passent très bien la mécanique céleste ou la fabrication du sucre de betteraves. […] C’est de La Mort du loup : Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse ; c’est de La Maison du berger : J’aime la majesté des souffrances humaines ; c’est de La Bouteille à la mer : Le vrai Dieu, le Dieu fort est le Dieu des idées ; que se sont comme envolés tous les vers de lui qui chantent dans nos mémoires. […] « Le poète, à son avis, devait voir les choses humaines comme on verrait un Dieu du haut de son Olympe, les réfléchir sans intérêt dans ses vagues prunelles, et leur donner, avec un détachement parfait, la vie supérieure de la forme » [Cf. […] La Nature, Le Dieu des bonnes gens], — ou plus ignoble [Cf. […] La Bouteille à la mer]. — Noblesse hautaine, mais réelle de ce pessimisme ; — et que, pour eu sentir la valeur, — il ne faut que le comparer à l’optimisme réaliste d’Hugo ; — à l’optimisme enfantin de Musset ; — et à l’optimisme vulgaire du chansonnier du Dieu des bonnes gens.