La même année Hokousaï publie le Yéhon Tchûshin goura, Magasin des fidèles vassaux , une suite de scènes de l’histoire des 47 ronins, tirées de la pièce jouée un an après l’événement.
Et, en effet, l’imagination poétique semble avoir besoin à la fois d’une certaine superstition, au sens antique du mot, qui lui permette de ne pas toujours expliquer les événements par leurs raisons froides, et d’une certaine ignorance, d’une demi-obscurité qui la laisse se jouer plus librement autour des choses.