Verhaeren, ni les mousselines à pois de Jules Laforgue, et qui a ses procédés propres et son secret, C’est pourquoi son livre mérite, après qu’on l’a lu pour le plaisir, pour tout ce qu’il contient de mélancolie et de grâce fébrile, d’être relu et étudié.
Non-seulement elle montroit tout ce que la notre montre, mais elle enseignoit beaucoup de choses que la notre n’enseigne point, soit parce que l’on n’étudie plus aujourd’hui une partie de ces choses là, soit parce que l’art qui enseigne les autres n’est point reputé faire une partie de la musique, de maniere que l’on ne donne plus le nom de musicien à celui qui le professe.