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2348. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIVe entretien. Alfred de Vigny (1re partie) » pp. 225-319

L’amour de l’étude, les tendres soins qu’il rendait à sa mère, qui était en même temps son univers, des promenades dans la campagne, des lectures, les semences et les récoltes de ses champs, remplissaient le reste ; de grandes espérances de célébrité littéraire occupaient ses rêves. […] Chatterton, pâli par les études d’une longue nuit d’insomnie, paraît.

2349. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Vernet » pp. 130-167

Dis-je à mon cicerone, allez-vous-en au sallon, et vous verrez qu’une imagination féconde, aidée d’une étude profonde de la nature, a inspiré à un de nos artistes précisément ces rochers, cette cascade et ce coin de paysage. […] — Je substitue l’art à la nature, pour en bien juger. — Si vous vous exercez souvent à ces substitutions, vous aurez de la peine à trouver de beaux tableaux. — Cela se peut, mais convenez qu’après cette étude le petit nombre de ceux que j’admirerai en vaudront la peine. — Il est vrai.

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