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1740. (1927) Quelques progrès dans l’étude du cœur humain (Freud et Proust)

Je serai content aussi si vous avez bien compris qu’une telle œuvre ne pouvait naître que de l’être exposé et immobile que je vous décrivais en commençant, que de « ce navire démoli et condamné à un éternel mouillage » que fut Proust dès son enfance. […] Sa sensibilité a pris une valeur éternelle.

1741. (1716) Réflexions sur la critique pp. 1-296

J’ai beau dire des raisons aux partisans outrez de l’antiquité, leur refrain éternel, ce sont ces trois mille ans dont nous faisons voir la nullité par tant de jugemens qui en interrompent la tradition. […] Jupiter nous condamne à la honte éternelle de n’avoir pû vanger une juste querelle.

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