Si une Nuit de Cléopâtre n’a qu’une bien mince valeur littéraire, la lecture en est amusante ; ce n’est pourtant qu’une sorte d’état des lieux, fort détaillé, d’un palais antique.
Tels nous apparurent, il y a quatorze ans à peu près, ces sauvages du Nord-Amérique, conduits par le peintre Catlin, qui, même dans leur état de déchéance, nous faisaient rêver à l’art de Phidias et aux grandeurs homériques.