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1426. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Paul-Louis Courier. — I. » pp. 322-340

On peut dire qu’il n’avait embrassé ni senti à aucun instant l’esprit et le génie de cette grande époque ; le côté héroïque comme le côté social lui avait échappé ; il n’y avait vu partout que les excès et les désordres, les bassesses ou les ridicules. Allait-il mieux comprendre l’époque nouvelle qui succédait, et l’espèce de transaction qu’il eût convenu dès l’abord d’y ménager et d’y favoriser ?

1427. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Boileau. » pp. 494-513

Ce moment de maturité chez Boileau est aussi l’époque de son plus vif agrément. S’il a quelque charme à proprement parler, c’est alors seulement, à cette époque des quatre premiers chants du Lutrin et de l’Épître à Racine.

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