Il a été élevé par une génération dont la vie civique et morale a subi le joug de la France, un joug que la force militaire imposait et que le cœur n’acceptait pas.
La tige sur laquelle vient de s’épanouir la floraison de cent hardis poèmes, c’est lui qui l’a fait jaillir de la graine, qui l’a cultivée, élevée… — si différent qu’il fût de nous et que soit de son art le nôtre… Oh !