Sans nul interrègne sa vie posthume nous assiège, nous envahit de toutes parts : il semble qu’elle nous affronte à quelque insoutenable mystère de l’Église triomphante.
La scène des miraculés dans l’église des Saintes est une chose inoubliable ; certains rendez-vous sataniques sont digues de Shakespeare ; Il y a partout une énergie de style qui tord et qui fouette, du très bon style de race, sans excès et sans maniérisme, tirant sa force de sa propre sève, et sur tout cela une perpétuelle plainte apitoyée où l’on reconnaît les battements d’un cœur de poète.