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1207. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Geoffroy de Villehardouin. — II. (Fin.) » pp. 398-412

Il y a, dans ce récit de Nicétas, une parole d’estime pour Villehardouin, et je suis assuré que, s’il avait eu à parler de Nicétas à son tour, Villehardouin la lui aurait également rendue.

1208. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Le président Jeannin. — I. » pp. 131-146

Ainsi, peu avant la bataille d’Ivry (mars 1590), le président, qui est à l’affût d’un changement dans les dispositions du duc, s’empresse d’écrire à Villeroi, également jaloux d’attacher une négociation pour la paix publique, qu’il croit le moment propice, et le duc plus enclin à y prêter l’oreille que jamais : « Cette lettre me réjouit, dit Villeroi, étant dudit président qui était à la suite dudit duc, auquel il se confiait grandement, et qui était homme de bien et clairvoyant. » Mais la défaite d’Ivry, survenue dans l’intervalle, produit sur Mayenne un effet tout opposé à celui qu’on aurait pu croire : elle fait évanouir ses dispositions pacifiques ; il n’est plus question que de prendre une revanche.

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