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2636. (1774) Correspondance générale

Voltaire, qui nous cherchera et ne nous trouvera point, ces journalistes, et tous les écrivains périodiques, qui ne demandent pas mieux que de nous décrier, répandront dans la ville, dans la province, en pays étranger, que cette volumineuse compilation, qui doit coûter encore tant d’argent au public, n’est qu’un ramas d’insipides rognures. […] Assézat ayant annoncé qu’il donnerait la lettre de Voltaire à laquelle celle-ci répond, nous la publions ici, par exception ; pour les autres lettres ou réponses de Voltaire et de Rousseau, le lecteur voudra bien se reporter aux éditions complètes de ces deux écrivains.

2637. (1884) L’art de la mise en scène. Essai d’esthétique théâtrale

Si je n’ai parlé que des chefs-d’œuvre classiques, c’est d’abord qu’eux seuls nous font éprouver cette sensation dans toute son intégrité et qu’ensuite je n’ai pas la prétention de juger sommairement les écrivains et les poètes de mon époque. […] C’est par le commerce qu’elle entretient avec les grands écrivains du XVIIe siècle que la Comédie-Française maintient dans sa troupe d’élite les belles traditions et les principes les plus élevés de l’art dramatique, qu’elle agit à son tour sur les productions de l’esprit, et qu’elle exerce une influence intellectuelle et morale, non seulement sur la société française, mais encore sur l’Europe entière et sur tout le monde civilisé.

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