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402. (1925) Dissociations

Quant aux femmes jalouses, et elles le sont toutes, leur position est encore plus précaire : la conduite d’un mari ou d’un amant leur échappera toujours. […] Je souhaite aux bossus d’échapper à la chirurgie. […] Rien qu’à l’énoncer on donne l’idée d’une vielle femme destinée à l’assassinat, mais par miracle elle y échappa, s’étant d’elle-même vouée au suicide, disent les magistrats. […] Et que de choses échappent à la fameuse règle ! […] C’est un embêtement particulier auquel j’avais jusqu’ici échappé.

403. (1835) Critique littéraire pp. 3-118

Pressé de jouir, impatient de connaître, il s’échappe et tombe comme un brûlot dans le château de la marquise de Couaën. […] Sainte-Beuve a voulu échapper à cette facilité, à ce naturel ; il a voulu sortir du langage convenu, et il s’est donné un mal infini pour être faux, étrange, inintelligible : « Nous quittâmes Paris après beaucoup d’adieux à madame de Cursy. […] Pour échapper à ce supplice, il est obligé de se déguiser de la tête aux pieds. […] c’est enfin, à la bizarrerie près, une femme si séduisante que la princesse de Cavalcanti, que vraiment je tremble pour le cœur de notre pauvre Julien, échappé si jeune, si pur, si bon catholique des bras de son vieil instituteur, un vertueux curé de Basse-Normandie. […] que vos femmes échappent à la triste destinée de Valentine, qu’elles soient plus fidèles et plus fortunées qu’Indiana, essayez de ce mariage qui fait le bonheur du prince Max sans trop gêner la princesse Quintilia.

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