La comparaison jusqu’ici est fort belle, mais elle n’est juste encore que si l’on suppose la critique, dans toute sa profondeur et sa continuité, s’appliquant aux grands monuments des âges anciens.
Un âge aride, que la gloire et la vertu pouvaient honorer, mais qui ne devait plus être ranimé par les émotions du cœur, la vieillesse s’est enrichie de toutes les pensées de la mélancolie ; il lui a été donné de se ressouvenir, de regretter, d’aimer encore ce qu’elle avait aimé.