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708. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1869 » pp. 253-317

Pas de distraction pour nous enlever à notre état malingre, au tourment de notre santé, comme ces hautes élévations de la science, ces hypothèses médicales, ces rêves dans l’inconnu de la vie, et qui nous apportent les oublis et les étourdissements que donnent aux autres les enivrements d’une fête du monde, d’un bal, d’un spectacle. […] On disait que Berthelot avait prédit, que dans cent ans de science physique et chimique, l’homme saurait ce que c’est que l’atome, et qu’avec cette science, il pourrait à son gré modérer, éteindre, rallumer le soleil comme une lampe Carcel. Claude Bernard, de son côté, aurait annoncé qu’avec cent ans de science physiologique, on pourrait faire la loi organique, la création humaine, en concurrence avec le Créateur. Nous n’avons fait aucune objection, mais nous croyons bien qu’à ce moment-là de la science, le vieux bon Dieu à barbe blanche, arrivera sur la terre, avec son trousseau de clefs, et dira à l’humanité, ainsi qu’on dit au Salon, à cinq heures : « Messieurs, on ferme !  […] Il professe que le roman est la construction à grand effort d’un miracle, le contraire absolu de ce que fait la science historique, la grande défaiseuse de miracles.

709. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre onzième. La littérature des décadents et des déséquilibrés ; son caractère généralement insociable. Rôle moral et social de l’art. »

Vous savez pour combien de choses jusqu’ici j’ai été malheureux ou plutôt sous combien de formes le principe qui me tourmente s’est reproduit… Tantôt, vous le savez, c’était de n’être pas propre aux sciences ; plus habituellement encore de n’être pas riche, de lutter avec la misère et les préjugés, d’être inconnu… Eh bien ! […] Répétons, d’ailleurs, qu’à notre époque les idées marchent vite, la science se transforme sans cesse ; comment les écoles littéraires pourraient-elles échapper à ce mouvement continu ? […] Rien de plus stérile que de passer en revue tous les sentiments, poids et mesures en main, de les auner comme une pièce d’étoffe, de faire, par exemple, de la science et du raisonnement avec un amant ou une amante. […] Enfin Gautier, leur maître à tous dans l’art de versifier pour ne rien dire, avait écrit : « La poésie est un art qui s’apprend, qui a ses méthodes, ses formules, ses arcanes, son contre-point et son travail harmonique313. » Gautier oublie que le contre-point, sans l’inspiration, n’a jamais fait un musicien ; ce qu’il dit de la poésie s’applique simplement à la versification, laquelle en diffère comme la science de l’harmonie diffère du génie musical. […] Cela l’oblige souvent à travailler sur des sujets « gâtés », à descendre au milieu des misères et des folies humaines. « Aucune besogne ne saurait donc être plus moralisatrice que la nôtre, puisque c’est sur elle que la loi doit se baser… C’est ainsi que nous faisons de la sociologie pratique et que notre besogne aide aux sciences politiques et économiques.

710. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XVIII. J.-M. Audin. Œuvres complètes : Vies de Luther, de Calvin, de Léon X, d’Henri VIII, etc. » pp. 369-425

La Science y amène toujours la Discussion par la main, au milieu du récit des faits et de la citation des textes. […] Il s’est dit que l’historien n’était au-dessous, en candeur hardie, ni du savant, ni du juge, ni même de la simple jeune fille, et il a voulu que l’histoire eût la vérité de la Science, de la Justice et de l’Innocence. […] … Ne serait-elle pas plutôt dans l’accroissement de la moralité chrétienne, que ni les lettres, ni les arts, ni les sciences n’ont jamais élevée d’un degré ? […] Si le talent et la science, dans leurs superbes certitudes, sont de véritables prises de possession, on peut dire que la Réforme appartient à Audin, et jamais personne n’en parlera désormais sans être obligé de le citer. […] Audin était d’un mérite trop sérieux et d’une science trop occupée pour aller soigner sa renommée dans des boutiques de bruit public.

711. (1929) Les livres du Temps. Deuxième série pp. 2-509

Philosophie, art, science, jurisprudence, nous devons tout à la Grèce et à ses conquérants qu’elle a conquis. […] Il ne nie pas la science : mais il en voit les limites. […] L’agonie même pourrait être sinon abrégée, au moins adoucie par la science. […] La science est aristocrate. L’art aussi, bien qu’il soit le contraire de la science.

712. (1835) Critique littéraire pp. 3-118

Jacquemont voyageait donc pour la science, en dépit des soupçons de Runjet-Sing ; mais, bien qu’il ne cherchât pas les aventures, son voyage en fourmille : à chaque instant, l’aventure se présente et dispute le pas à la science ; la science est bien souvent obligée de céder. […] Jacquemont ne sait pas sacrifier les intérêts de la science au soin de sa conservation. Dès que la science l’appelle, il marche ; adieu la santé ! […] C’est ainsi que la science le tentait. Comment résister à la science ?

713. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Roederer. — III. (Fin.) » pp. 371-393

Ce directeur imprévu de l’enseignement, qui s’était formé lui-même, qui n’avait point hérité des anciennes traditions classiques, et qui n’était pas non plus du groupe polytechnicien proprement dit, mais homme d’esprit, rempli d’observations et d’idées fines, un peu particulières, se mit aussitôt en devoir de les appliquer : J’avais depuis longtemps remarqué, dit-il, les caractères qui distinguent l’esprit des géomètres et des physiciens, de celui des hommes appliqués aux affaires, et de celui des personnes vouées aux arts d’imagination ; dans les premiers (je ne parle que généralement), exactitude et sécheresse ; dans les seconds, souplesse allant quelquefois jusqu’à la subtilité, finesse allant quelquefois jusqu’à l’artifice ; dans les troisièmes, élégance, verve, exaltation portée jusqu’à un certain dérèglement… Ce que je projetais d’après ces observations, ajoute-t-il, était : 1º de faire marcher de front, dès les plus basses classes des collèges, les trois genres de connaissances, littéraires, physiques et mathématiques, morales et politiques, en mesurant à l’intelligence des enfants dans chaque classe les notions de chaque science ; 2º de faire enseigner dans chaque classe, même les plus basses, les trois sciences par trois professeurs différents, dont chacun serait spécialement consacré à l’une des trois… Le but était défaire cesser le divorce entre les diverses facultés de l’esprit, de les rétablir dans leur alliance et leur équilibre, et d’arriver à une moyenne habituelle plutôt que de favoriser telle ou telle vocation dominante. Mais, comme il ne fallait point non plus surcharger l’esprit des enfants, il en résultait qu’en enseignant trois ordres de sciences à la fois, il y avait à réduire la dose de chacune, à ne la donner pour ainsi dire que par couches très minces. […] Pourtant, Laplace, Biot, alors jeune, plein de zèle et de vivacité pour les sciences (comme il l’est encore aujourd’hui), ne l’agréaient pas ; les hommes du coin de Fontanes, et dont le cœur était pour les grands écrivains du xviie  siècle, ne le pouvaient agréer non plus.

714. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Œuvres françaises de Joachim Du Bellay. [I] »

C’était par le goût plus que par la science qu’on y était revenu, et longtemps ç’a été le goût, la fantaisie même plus que la méthode, qui a présidé à ces résurrections ou réhabilitations. […] Un savant homme, qui s’est appliqué depuis à l’histoire des sciences dans l’antiquité, M.  […] Il était nécessaire pour cela que les critiques qui s’occupent des poètes du xvie  siècle y arrivassent préparés par la connaissance des époques antérieures, par la pratique du moyen âge et par la science de l’antiquité. […] On le sait maintenant, grâce aux travaux qui se poursuivent avec ardeur et qui ne remontent guère au-delà de ces trente dernières années : dans le haut moyen âge, époque complète, époque franche, qui, sortie d’un long état de travail et de transformation sociale, avait rempli toutes ses conditions et s’était suffi à elle-même, la langue, la littérature française qui était née dans l’intervalle, qui était sortie de l’enfance, qui était arrivée à la jeunesse (de même que l’architecture, que la théologie, que la science en général et que les arts divers), avait eu son cours de progrès et de croissance, une sorte de premier accomplissement ; elle avait eu sa floraison, son développement, sa maturité relative : poétiquement, une belle et grande végétation s’était produite sur une très-vaste étendue, à savoir l’épopée historique, héroïque.

715. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. J. J. AMPÈRE. » pp. 358-386

Fils d’un père illustre, nourri au foyer le plus central des sciences, M. […] Je compare ces marches étroites, dans certaines gorges littéraires du moyen âge, à ces défilés où l’on ne va que pied à pied ; la science ne passe plus qu’à dos de mulet son bagage ; on est bien loin des carrousels à la Louis XIV, et le char d’Olympie s’y briserait. […] Un discours préliminaire expose l’état des sciences et des lettres dans les Gaules avant Jésus-Christ ; suivent par ordre de date, à partir de Pythéas, les divers savants et littérateurs ; on donne la biographie d’abord, puis la liste, l’analyse et la discussion des écrits. […] Il suffit même qu’il soit dit quelque part que tel Gaulois ou tel Français a écrit quelque chose pour qu’on lui accorde un rang dans la liste et qu’on en fasse mention dans le corps de l’ouvrage ; avoir été simplement homme de lettres, ou même avoir haï et persécuté les sciences (comme l’empereur Caracalla), est un titre pour avoir un article à part, et un digne éloge ou un juste blâme. » Osons le redire à notre tour ; oui, Prévost avait raison ; échappé lui-même des Bénédictins et de leur méthode, il en parlait pertinemment.

716. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « La jeunesse du grand Condé d’après M. le duc d’Aumale »

Cependant il n’y travailla pas seul ; l’écriture change souvent, et dans tout le volume il y a tant d’emprunts à l’antiquité et à la fable, une si grande abondance de figures de rhétorique, une telle variété de rythmes depuis l’hexamètre jusqu’à l’ode tricolos tétrastrophos, le tout mêlé à une si profonde horreur de l’hérésie, qu’on peut attribuer l’œuvre au corps enseignant de Bourges. » Puis le duc d’Anguien apprend la philosophie et tes sciences. « Toutes ces études furent poussées à fond. » Pousser à fond l’étude des sciences et de la philosophie entre onze et treize ans, cela est tout à fait remarquable. […] III A vingt et un ans, il se révéla grand homme de guerre, par la science déjà, mais surtout par un instinct merveilleux, par un don de nature. […] On se représente ordinairement le grand Condé comme un capitaine d’un génie tout spontané et qui devait plus à l’inspiration qu’à la science : M. le duc d’Aumale s’applique à nous montrer qu’il fut aussi un excellent tacticien, un ingénieur habile et savant, et nous le croyons sans peine.

717. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre quatrième »

La science politique et sociale dans Montesquieu, l’histoire dans Voltaire, l’exposition éloquente des découvertes scientifiques dans Buffon, sont comme autant de facultés nouvelles de l’esprit français. […] Le discours qui nous conseille d’être modérés en fait de science, de ne pas chercher à percer l’obscurité des choses, me fait songer à Virgile chantant le bonheur de connaître les secrets de la nature : Felix qui potuit rerum cognoscere causas ! […] Poète débutant, il avait manqué une des couronnes de l’Académie ; pauvre, les gens de lettres en renom l’avaient rebuté : Insensé, jusqu’ici croyant que la science Donnait à l’homme un cœur compatissant, Je courus à vos pieds plongé dans l’indigence ; Vous vîtes mes douleurs et mon besoin pressant. […] Après ces deux années d’une douce vie passée en compagnie de deux amis dignes de lui, c’est-à-dire en compagnie plus intime avec lui-même, il revint à Paris, la tête débordant de poèmes, de plans, d’esquisses, où sont mêlées la science, la politique, la Bible, l’Amérique ; ambitieux de tout sentir et de tout rendre, de faire de la poésie l’organe inspiré de toutes les idées modernes, l’écho du passé et du présent, la voix prophétique de l’avenir.

718. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — CHAPITRE XIV »

Son héros, Claude Ripert, n’est pas seulement un inventeur de génie, c’est aussi un juste doublé d’un stoïque, un cénobite de la science, aussi grand de coeur que d’esprit, le front illuminé d’un rayon divin. […] Dumas semble ignorer que l’exégèse biblique est devenue, aujourd’hui, une science presque exacte ; que, depuis plus d’un demi-siècle, elle est explorée pas à pas, scrutée, syllabe à syllabe, par des caravanes d’érudits. […] Il faut avoir passé par les initiations de la science pour y pénétrer. […] Ce moine de la science est fataliste, comme un vieux derviche.

719. (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Histoire » pp. 179-240

L’homme d’État, l’homme de guerre, le poète, le peintre, le grand homme de science ou de métier étaient montrés seulement en leur rôle, et comme en leur jour public, dans cette œuvre et cet effort dont hérite la postérité. Le xixe  siècle demande l’homme qui était cet homme d’État, cet homme de guerre, ce poète, ce peintre, ce grand homme de science ou de métier. […] Et qu’est-ce donc cette science sans dédains, cette peinture qui descend à tout sans s’amoindrir, cette sagacité déductive, cette reconstruction du microcosme humain avec un grain de sable ? […] Les lettres que nous annonçons au public sont déjà recommandables, comme on le voit, par le nom des personnages qui les ont écrites, et dont nous possédons les originaux ; mais quand on apprendra qu’elles renferment tout ce qu’il y a de plus instructif à la fois, de plus original et de plus piquant ; quand on saura que la science, la politique, la littérature, y ont leur compte avec de nouveaux aperçus, quand on y verra le vieux philosophe Adanson, l’homme le plus scientifique et le plus profond qui fût jamais, s’enivrer des regards d’une Dervieux, et tourner le fuseau presque à ses pieds ; Noverre, déployer toutes les ressources de l’imagination la plus riche ; Mme Beaumarchais, effacer presque les Ninon et les Sévigné ; et cette brillante Sophie Arnould, parer tour à tour son style de tout ce que l’esprit a de folle gaieté, de tout ce que le cœur a de sentiments les plus exquis, révéler avec cet abandon séduisant toutes les petites indiscrétions du boudoir et nous initier aux mystères de l’alcôve, c’est alors surtout que nos lecteurs nous sauront gré de notre entreprise. 2 vol. in-8, 12 francs.

720. (1864) William Shakespeare « Deuxième partie — Livre I. Shakespeare — Son génie »

La science, arrivée aux derniers abîmes, la rencontre. […] Je crois peu à la science des savants bêtes. […] À toutes ces profusions, analyse, synthèse, création en chair et en os, rêverie, fantaisie, science, métaphysique, ajoutez l’histoire, ici l’histoire des historiens, là l’histoire du conte ; des spécimens de tout : du traître, depuis Macbeth, l’assassin de l’hôte, jusqu’à Coriolan, l’assassin de la patrie ; du despote, depuis le tyran cerveau, César, jusqu’au tyran ventre, Henri VIII ; du carnassier, depuis le lion jusqu’à l’usurier. […] Leur passage, nous l’avons dit, renouvelle l’art, la science, la philosophie ou la société.

721. (1924) Critiques et romanciers

C’est à quoi leur servent les sciences, l’industrie et les arts. […] Depuis qu’Henri Poincaré a dit et a prouvé que, dans les mathématiques, la qualité maîtresse est l’imagination, les autres sciences nous paraissent moins inhumaines, se rapprochent de nous ; et la science qui est le moins science, ou l’histoire, nous devient plus traitable et familière. […] Par ailleurs, il est homme de science et administrateur. […] Estaunié, qui est un homme de science, qui restera un homme de science et qui seulement ne veut pas embrouiller toutes choses. L’œuvre d’art ne relève pas de la science.

722. (1874) Premiers lundis. Tome I « M. Mignet : Histoire de la Révolution française, depuis 1789 jusqu’en 1814. 3e édition. »

Il semble que la vraie destination, le rendez-vous naturel de tels esprits ne puisse être que la philosophie ou la science, et que dans l’une ou l’autre seulement, ils puissent se donner satisfaction ou du moins carrière. […] Mais son exemple n’en demeure pas moins fécond et mémorable ; encourageant pour les esprits supérieurs qu’un instinct invincible pousse en toute espèce d’étude à la recherche des principes et des lois, puisqu’il agrandit pour eux la carrière, en leur ouvrant l’histoire ; glorieux pour celle-ci, puisqu’il l’enrichit d’un genre nouveau, l’élève en quelque sorte au rang de science, et lui assure ainsi les veilles de ceux-là même qui autrement peut-être lui eussent refusé jusqu’à leur estime.

723. (1874) Premiers lundis. Tome II « La Revue encyclopédique. Publiée par MM. H. Carnot et P. Leroux »

Mais on sent combien il est profitable pour l’accélération des esprits que de telles questions de philosophie politique se traitent dans un recueil accrédité, avec développement, avec science, amour du bien, et un talent d’expression qui y répand lumière et chaleur. […] Aussi, tout en félicitant les écrivains de la Revue de leur noble effort pour replanter un véritable arbre encyclopédique au milieu de notre sol poudreux et tant de fois balayé, nous les louons de ne pas négliger les morceaux de science et de littérature positive qui s’adressent à tous les bons esprits, et qui sont, d’ici à un assez long temps encore, les seuls produits toujours possibles et d’une culture qui ne trompe jamais.

724. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre II. Distinction des principaux courants (1535-1550) — Chapitre III. Les traducteurs »

D’abord on commence à s’occuper de la langue elle-même, à la prendre comme objet de science, pour en découvrir les lois, ou lui en imposer. […] Par le Plutarque d’Amyot, des termes de politique, d’institutions, de philosophie, de sciences, de musique, ou sont entrés ou bien ont été définitivement implantés dans la langue française190.

725. (1887) Discours et conférences « Discours lors de la distribution des prix du lycée Louis-le-Grand »

La guerre, l’industrie, l’administration économique sont maintenant des sciences compliquées. […] Préparez-vous à porter dans ces grandes luttes la part virile de votre raison, cultivée par la science, et de votre courage, mûri par une saine philosophie.

726. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « IV »

Il faut le voir se démêler de tout cela, et la prétention scientifique qu’il donne à sa fantaisie, car ce critique littéraire, qui déclare que la science ne découvre rien, a la superstition de la science !

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