Charles Fuster Ce livre, on le sent, est d’un tout jeune homme, encore à l’âge des grands enthousiasmes.
Pour les jeunes poètes, Namouna est le plus dangereux des livres de chevet.
Car c’est surtout par ces dons de peintre et de voyant que le livre de M.
Ce Livre a eu plusieurs éditions, en France & dans les pays étrangers.
Ceux qui désireront des éclaircissemens sur le personnel de cet Auteur, si décrié par les ennemis que les Trois Siecles lui ont attirés, pourront consulter les articles Condorcet, Helvetius, Liger, Lacombe, Palissot, Robé, &c. ainsi que l'Avertissement de la seconde édition de ce Livre, le Discours préliminaire de la quatrieme, & les Lettres qui terminent celle-ci.
Billaud, Victor (1852-1936) [Bibliographie] Le Livre des baisers (1879).
François Coppée Le lecteur, en feuilletant votre livre, éprouvera la sensation que ressent le voyageur exténué, couvert de poussière et haletant, lorsqu’il découvre tout à coup, sous des feuillages ombreux, le filet d’eau cristallin d’une source à demi cachée parmi les roseaux.
De là cette note de douloureuse pitié qui circule à travers son livre.
Charles Fuster Ce petit livre (Les Matins roses) est né au pays du Morvan, dans la solitude de la campagne.
Paul Pionis Je dois convenir, après avoir lu ce livre, que le proverbe si connu : « Bon sang ne peut mentir », ne saurait être mieux appliqué qu’à l’auteur de ces poésies fraîches comme les fleurs d’avril, mais à l’allure martiale et chevaleresque comme celle des anciens preux.
Cet Auteur sera caractérisé, en disant que son Eloge de la Roture n’a rien de noble ; son Livre des Causes de la Dépopulation, & des moyens d’y remédier, rien que d’utile ; sa Traduction de l’Imitation de Jésus-Christ, rien que d’édifiant ; & celle des Œuvres d’Ausonne, rien que de médiocre.
Léonce Depont, l’auteur des Sérénités , pur, grave et noble livre, qui est, on le sent, le résultat d’un long travail, d’un choix sévère parmi beaucoup de pages condamnées.
Adam Ce que veut le lecteur dans un volume de vers, c’est de la grâce, ce sont des sentiments, des émotions ; c’est de la poésie, en un mot, et le livre de M. de La Grasserie (Les Rythmes) en déborde.
Raymond Roussel, l’auteur de la Doublure , tient à ce que ses lecteurs appellent son livre un roman.
Son Livre des Loix civiles dans leur ordre naturel, excellent dans son espece, très-estimé de ceux qui étudient le Droit & la Morale, n’est point dépourvu du mérite littéraire, par la maniere pure & lumineuse dont il est écrit, & sur-tout par l’Introduction qui est à la tête de l’Ouvrage.
Ce dernier Ouvrage lui a attiré les anathêmes de leur Chef ; mais cette étrange maniere de réfuter les bons Ecrits, n’a point nui au succès de ce Livre, & ne découragera pas sans doute le zele de l’Auteur.
Sans son fameux Livre de la Puissance ecclésiastique & Politique, on pourroit ignorer qu'il a été Syndic de la Faculté de Théologie, Grand-Maître du Collége du Cardinal le Moine, & qu'il a fait quelques autres Ouvrages, aujourd'hui entiérement inconnus.
Je dédie ce livre au rocher d’hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l’île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable.
C’est au pays d’Anjou qu’il dédie filialement son livre, et c’est à lui qu’il doit quelques-unes de ses plus belles envolées.