La vraie théodicée, c’est la science des choses, la physique, la physiologie, l’histoire, prise d’une façon religieuse.
Hérodote raconte encore d’elle une horrible histoire.
Devant la fenêtre ouverte d’une jolie maison située dans une des rues extérieures du chef-lieu du département d’O… (l’histoire se passe en 1842), étaient assises deux femmes, dont l’une pouvait avoir cinquante ans et l’autre soixante et dix. […] — à penser à sir Robert Peel, à l’histoire de France… à la victoire qu’il aurait remportée s’il eût été général ; il croyait entendre le canon et les cris de guerre.
Je ne suis pas même hostile au « vers libre » de parti pris, mais pour des motifs tirés de l’histoire de la langue et de la prosodie française. […] J’en pourrais citer dix encore qui, pour être restés fidèles au génie de la langue, aux exigences de l’œil et de l’oreille, à l’harmonie et à la raison rythmique, n’en sont pas moins des poètes de talent et plus sûrs de leur avenir dans l’histoire de la poésie française que ce petit nombre d’inharmonistes qui font des vers comme le héros de Huysmans faisait toute chose, « à rebours ».
Nous n’étions pas assez riches pour nous les donner, mais de temps en temps il nous en tombait quelques volumes dans les mains, et c’est alors qu’un voyageur, passant par Renève, auprès de Mirebeau, dans la Côte-d’Or, voyant notre enthousiasme, nous en laissa un volume intitulé : les Confidences, où nous lûmes toutes sortes de détails sur votre famille, et votre histoire si touchante de Graziella que ces demoiselles savent par cœur.
On sait la terrible histoire contée par Plutarque, des trois prisonniers persans de Salamine, admirablement beaux et couverts d’ornements en or, qu’on amena à Thémistocle, au moment où il sacrifiait sur sa trirème, avant la bataille
Dussault a très-bien dit de la Guerre des Dieux que ce poëme figurera dans l’histoire de la Révolution, encore plus qu’il ne marquera dans celle de la littérature, et à ce titre il réclame quelque considération sérieuse.
C’est une page d’histoire des scènes populaires qui vous transporte à Albano, à Terracine, à Fondi, dans les Abruzzes, et jusque dans les tavernes de la Calabre, en excellente compagnie de la cour d’Auguste.
Les Mémoires d’une femme ne sont-ils pas exclusivement l’histoire du cœur ?
Aussi est-il impossible de séparer la psychologie de la philosophie, pour la mettre sur le même plan que la chimie ou l’histoire naturelle.
Il est évident comme l’histoire, palpable dans la géographie de ce triste globe.
Wallace jetteront bientôt de grandes lumières sur l’histoire naturelle de cette région.
C’est alors que Karamsin écrit, d’une main encore novice, l’histoire nationale de la Russie ; que Pouschkine ou Lamanof chantent leurs poèmes, auxquels il ne manque que l’originalité ; c’est alors, enfin, que des écrivains à formes moins prétentieuses, comme Ivan Tourgueneff, dont nous nous occupons en ce moment, écrivent avec une originalité à la fois savante et naïve ces romans ou ces nouvelles, poèmes épiques des salons, où les mœurs de leur nation sont représentées avec l’étrangeté de leur origine, la poésie des steppes et la grâce de la jeunesse des peuples. […] Il est même impossible de méconnaître dans Tourgueneff une certaine ressemblance avec l’auteur du Lépreux de la vallée d’Aoste, le plus jeune et le plus original des deux de Maistre, surtout dans la touchante histoire de Mou-Mou et du Sourd-Muet.
Tous les degrés de cette marche ascendante se rencontrent dans l’histoire de l’humanité : les Fuégiens n’ont aucun terme abstrait. […] L’histoire tant citée d’Archimède, pendant la prise de Syracuse, vraie ou fausse en fait, est vraie psychologiquement.
et le rêve du poète le cherche dans toutes les villes du monde, dans tous les rêves de son imagination, dans l’histoire et dans le passé. […] Sa biographie… semble se réduire à l’histoire de ses sensations. » Et voilà ce qu’est l’instinct, ce mobile grossier des actes les plus bas.
Quoique cette première forme de la philosophie théologique se retrouve avec évidence dans l’histoire intellectuelle de toutes nos sociétés, elle ne domine plus directement aujourd’hui que chez la moins nombreuse des trois grandes races qui composent notre espèce. […] L’ensemble de cette formule encyclopédique, exactement conforme aux vraies affinités des études correspondantes et qui d’ailleurs comprend évidemment tous les éléments de nos spéculations réelles, permet enfin à chaque intelligence de renouveler à son gré l’histoire générale de l’esprit positif, en passant, d’une manière presque insensible, des moindres idées mathématiques aux plus hautes pensées sociales.
Elle aime surtout à revenir autour de cette histoire d’Ariane qui la tente, et qu’elle fait un peu semblant de ne savoir que confusément ; elle trouve même moyen d’éviter de nommer par son nom celle qu’elle appelle simplement la fille de Pasiphaé.
. — Continuez et suivez les classifications de l’histoire naturelle de l’espèce au genre, puis à la famille, puis à l’ordre, jusqu’à l’embranchement et au règne.
Son sentiment est sincère, sa fiction est une histoire ; ses enthousiasmes ou ses gémissements ne sont point des déclamations, mais des soupirs ; ses larmes ne sont point puisées dans les sources antiques de Castalie ou de Blanduse, mais dans ses yeux ; elles ont le sel et l’amertume des véritables larmes humaines.