Dans ses pièces mêmes de théâtre, il a, une ou deux fois, essayé d’un certain genre qui passe, avec raison, pour plus noble, plus sérieux et plus profond.
Le nom de l’auteur, proclamé à la fin au milieu des applaudissements, a réduit à néant les quelques murmures passagers et comme honteux d’eux-mêmes qui s’étaient çà et là essayés.
., il en est un qu’ils ont négligé et que je signale à leur attention ; celui-là, je l’ai observé de près depuis bien des années, et j’ai vécu avec lui, je pourrais dire, comme lui ; aussi suis-je en état de le décrire, et je l’essayerai même, puisque l’idée m’en est venue : c’est l’ouvrier littéraire.
Essaie-t-il de convaincre ou de persuader ?
Cette dégradation des femmes savantes sauvait Molière du danger d’essayer le ridicule contre des personnages sur lesquels le ridicule ne mordait point, et du danger des inimitiés puissantes, mais il n’allait point au but, qui était d’affaiblir la considération des gens du monde, dont le poids était incommode pour la cour et dangereux pour le spectacle de Molière ; et d’ailleurs il avait peu de succès à attendre d’un ouvrage qui reproduisait la préciosité au moment où elle venait de rassasier le public, et où, par l’influence du théâtre même, elle cessait d’exister dans le monde.
Il essaie parfois d’en transporter quelque chose dans ses œuvres.
Les motifs de l’adopter ainsi établis, l’ingénieux Fontenelle essaye de les détruire d’un seul coup.
C’est avec ce passage et ce qui va suivre, jusqu’à « … le prêtre donne… », que l’éditeur Brière a essayé de reconstituer cette faculté.
Ils désignent seulement des haches humaines dont le manche est dans la main de Dieu… Témoin plus que personne, par ses voyages et ses études, de cette stérilité historique dont l’Asie est frappée, Huc, qui n’est ni un panthéiste ni un matérialiste, puisqu’il est prêtre, a dédaigné de refaire sur des proportions sans justesse une histoire qu’on pourrait bloquer en quelques pages, tant elle est monotone et bornée, et il a choisi pour nous la raconter la seule chose qui soit vraiment digne d’une histoire, cette transfusion tant de fois essayée du Christianisme dans les veines du monde oriental, cette transfusion qui n’a pas réussi encore, mais qui doit réussir, si l’Asie n’est pas irrémissiblement condamnée !
Excepté Beattie l’Écossais, qui n’a pas le don de seconde vue en philosophie, ni même le don de la première ; excepté Beattie, lequel a essayé de frotter son museau rêveur de mouton philosophique à ce sujet qui s’est moqué de lui, personne ne s’est encore douté qu’il y avait là à faire flamber une page… illuminante !
Une telle vue, si elle est réelle, met à bas d’un revers de main toutes les philosophies de l’Histoire, toutes ces modernes théories qui essayent d’expliquer la vie des sociétés autrement que la vie de l’homme, comme si elle renfermait des éléments de plus, comme si, avec l’homme seul, ce n’était pas déjà, pour les plus forts, assez difficile, et pour les plus pénétrants, assez mystérieux !
L’historien qui a essayé de reproduire cette forte et sévère image peut avoir le sentiment de la vie historique, mais, à coup sûr, il n’en a pas la puissance.
ces mièvres artistes, voués au joli du temps qu’ils aiment, ont essayé de la reproduire !
ces mièvres artistes, voués au joli du temps qu’ils aiment, ont essayé de la reproduire !
C’était donc, avant tout, pour mettre la main fructueusement sur un pareil sujet, un esprit compétent aux choses de la politique qu’il fallait, dominant plus ou moins ce côté de l’esprit humain, et capable, non pas de raconter uniquement les faits et gestes du journalisme, qui furent, par parenthèse, bien plus souvent les Gesta diaboli que les Gesta Dei per Francos, mais aussi d’essayer une solution des grands problèmes que le journalisme a posés et n’a pas encore résolus.
Oui, on égorge, ou du moins on essaie d’égorger le christianisme, selon cette grande loi de précaution que le plus sûr est toujours d’égorger celui que l’on pille, et la doctrine assassine se revêt de la morale de la doctrine assassinée, et nous soutient que c’est à elle, cette morale volée, dont elle ne peut pas même se servir !
Pourquoi donc n’essaierait-on pas d’adapter à notre époque une institution de liberté, mais de liberté organisée, qui se recommande aux hommes de sens jusque par sa ruine ; car elle est due à l’esprit faux des économistes ?
Ils essaieront de l’écraser de leur silence et de l’étouffer dans son obscurité.
, le temps qu’il y touche, qu’a essayé d’entamer Maurice Bouchor, au risque d’y casser les beaux onyx de ses ongles de poète !