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1304. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XXI. Le littérateur chez les peintres » pp. 269-282

1º Ils ont eu du mérite à leur heure, et ils ont le droit de continuer à voir et à peindre, comme à vingt-cinq ans.

1305. (1890) L’avenir de la science « Sommaire »

Il faut le continuer.

1306. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XIX. Progression croissante d’enthousiasme et d’exaltation. »

A la veille de voir finir le monde, on regardait comme inutile tout ce qui ne sert qu’à continuer le monde.

1307. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXII. Machinations des ennemis de Jésus. »

On continuait à l’appeler « grand-prêtre », quoiqu’il fût hors de charge 1022, et à le consulter sur toutes les questions graves.

1308. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VII »

On va jusqu’à trouver la Chanson de Roland « plus réaliste qu’Homère »… « C’est, dit-on, de la réalité toute crue », La Chanson de Roland est, certes, un beau poème, pour l’élan, le souffle, l’accent héroïque, le ton de vérité émouvante et de grandeur continue.

1309. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre II. Mme Le Normand »

comme c’est l’usage, du reste, l’auteur de Coppet et Weymar n’a tenu nul compte de la critique, et elle continue son petit commerce de correspondances et de souvenirs.

1310. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXIII. Henry Gréville »

La mascarade des pseudonymes continue… Après monsieur Gustave Haller, voici monsieur Henry Gréville.

1311. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Taine » pp. 231-243

« Il y a peut-être moins de génie — dit-il — dans Macaulay que dans Carlyle, mais quand on s’est nourri pendant quelque temps de ce style exagéré et démoniaque, de cette philosophie extraordinaire et maladive, de cette histoire grimaçante et prophétique, de cette politique sinistre et forcenée, on revient volontiers à l’éloquence continue, à la raison vigoureuse, aux prévisions modérées, aux théories prouvées du généreux et solide esprit que l’Europe vient de perdre, qui honorait l’Angleterre et que personne ne remplacera. » Certes, je n’accepte nullement, pour mon compte, ce jugement sur Macaulay, qui tient probablement à une idée préconçue que M. 

1312. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Antoine Campaux » pp. 301-314

Ces bons tours, que j’appellerai mauvais, le xviie  siècle, le solennel xviie  siècle les continuait, en riant, quand Scapin volait cinq cents écus à Géronte et le bâtonnait dans son sac.

1313. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Ch. de Barthélémy » pp. 359-372

Il était Breton, il était du pays des dolmens immobiles et des pierres de Karnac, à la vibration continue et à l’équilibré éternel.

1314. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Gustave III »

il y a en Gustave III deux physionomies très distinctes et très différentes, et ces physionomies ont presque au même degré les deux sexes… Ce beau Sardanapale du Nord, qui, comme l’autre Sardanapale, aimait à s’habiller en femme dès son enfance et continua de pratiquer ce travestissement (qui ne le travestissait déjà pas tant !)

1315. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Madame de Maintenon » pp. 27-40

Seulement, si complet qu’il continue d’être, nous ne croyons pas que la seconde partie, qui nous est inconnue, ait pour personne l’intérêt si vif et si incessamment attisé de la première, et cela en vertu d’une foule de raisons.

1316. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Vauvenargues » pp. 185-198

Je vais vous lire encore… » « Votre état me touche (continuait-il en 1745), à mesure que je vois les productions de votre esprit si vrai, si naturel, si facile et quelquefois si sublime… » Et, en 1746, faisant toujours la boule de neige de ces incroyables éloges : « Je vais lire vos portraits, — lui mandait-il. — Si jamais je veux tracer celui du génie le plus naturel, de l’homme du plus grand goût, de l’âme la plus haute et la plus simple, je mettrai votre nom au bas… » Ailleurs, à propos de cette détestable et ridicule déclamation, fausse comme les larmes d’un catafalque, sur la mort d’Hippolyte de Seytres, tué dans la campagne de Bohême, il avait déjà comparé Vauvenargues à… Bossuet !

1317. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Abailard et Héloïse »

Oddoul continue ainsi, de ce style amphigouriquement superbe, dans toute l’étendue de sa dissertation.

1318. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Valmiki »

Le railleur continuait : « Il n’y a pas d’histoire humaine qui ne s’arrête à une époque où l’Inde florissante jouissait de tout le superflu de la société perfectionnée.

1319. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XV. Vauvenargues »

Je vais vous lire encore… Votre état me touche (continuait-il en 1745), à mesure que je vois les productions de votre esprit si vrai, si naturel, si facile et quelquefois si sublime… » Et en 1746, faisant toujours la boule de neige de ces incroyables éloges : « Je vais lire vos portraits, lui mandait-il.

1320. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XIX. Abailard »

Oddoul continue ainsi, de ce style amphygouriquement superbe, dans toute l’étendue de sa dissertation.

1321. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVI. Médecine Tessier »

le Matérialisme a continué d’être à peu de chose près, à cette heure, ce qu’il était quand La Mettrie publiait cette Histoire naturelle de l’âme, qui fit tant de bruit, et cet Homme-machine qui n’en fit pas moins !

1322. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « L’abbé Brispot »

Elle continue son œuvre éternelle.

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