Les autres grands écrivains — et les plus grands ! […] Beaucoup d’écrivains ont parlé de La Fontaine, et il y a eu des choses bien dites sur cet esprit et sur cette âme qui va à tant d’esprits et à tant d’âmes, et qu’on pourrait appeler le séducteur universel. […] Doué de cette faculté d’analyse que j’ai appelée la moitié du critique, il avait cette imagination à couleur vive qui fait l’écrivain. […] Seulement, lui, c’est le Gaulois par excellence, et comme il est, de tous les écrivains, celui qui a le mieux exprimé poétiquement le génie de cette race que l’Histoire a symbolisée sous le nom de Jacques Bonhomme, on lui a taillé, de reconnaissance, son titre littéraire dans ce nom.
Emile Montégut, assez vigoureuse pour compromettre cet écrivain à la Revue des Deux-Mondes, ce journal du pédantisme bourgeois, où, comme l’on sait, les dandys sont peu en honneur… Dandy lui-même pour le compte de son auteur, M. […] Inspiration ou imitation, mais imitation qui par sa spontanéité vaut nature, l’auteur de Guy Livingstone est un byronien incontestable, et c’est peut-être le plus byronien des écrivains que, depuis la mort de Byron, ait produits l’Angleterre. […] J’ai dit plus haut que l’auteur de Guy Livingstone était, comme tous les grands écrivains de son pays, un fils de la Bible, qui est la magna parens de tout ce qui est supérieur en Angleterre. La Bible, — cette éducation de l’Angleterre, ce livre grand et terrible où le Dieu jaloux frappe Satan, l’autre jaloux, — la Bible a empreint pour jamais l’imagination anglaise de sa grandeur et de sa terribilité, et c’est elle que je vois rayonner de son feu sombre et âpre aussi bien dans Richardson, qui a fait Lovelace, que dans Milton qui a fait Satan, aussi bien dans ce nouvel écrivain d’aujourd’hui qui vient d’ajouter dans Livingstone une grande figure à ces grandes figures aimées et hantées par l’imagination de son pays, que dans ce Byron dont il est l’enfant intellectuel.
Comme nous l’avons dit plus haut, le premier écrivain qui ait tenté d’établir que l’œuvre d’art dépend de l’ensemble social dont elle est contemporaine et son auteur de l’ensemble national dont il faisait partie, est M. […] Taine a tenté d’établir entre l’artiste et l’habitatdp soit de sa jeunesse et de sa famille, soit de sa race, à l’exemple de Sainte-Beuve qui avait déjà essayé d’expliquer par cette cause le talent de certains écrivains. […] Taine possèdent une apparence d’exactitude et entraînent la conviction, cela tient à l’art avec lequel cet écrivain dispose ses arguments et ses preuves, au fait que dans les principaux de ses ouvrages il traite de cas où ses principes sont en effet applicables sans erreur trop flagrante. […] En d’autres termes, quelle que soit l’influence d’un milieu, qu’elle existe ou qu’elle n’existe pas, à toute époque, un écrivain notable au moins sur deux, ne l’a pas subie. […] Enfin ce qu’on sait des lectures de quelques-uns des écrivains célèbres de ce siècle, montre qu’il existe chez ces hommes dont on peut reconnaître à la fois les goûts et les facultés, de frappantes ressemblances entre ce qu’ils aiment et ce qu’ils sont.
Tels sont pourtant les ornemens que l’Abbé de la Tour, Chanoine de Montauban, Ecrivain original, a employé dans ses Panégyriques publiés en trois volumes in-8°. […] On ne peut les regarder que comme des esprits justes, des écrivains exacts ; ils ont peu de chaleur & presque point d’éloquence. […] Il a eu, comme tous les bons Ecrivains, le style de sa pensée. […] Celui de nos Ecrivains qui a été le plus souvent couronné par cette Compagnie, a été M. […] On remarque presque dans tous de l’imagination & de l’esprit ; mais nos Ecrivains d’aujourdhui ne se défendent pas assez de l’emphase & du néologisme.
Parmi les cinq écrivains qu’il rassemble si singulièrement, et dont il fait les hommes forts de sa race (ce qui ne saurait se soutenir de deux d’entre eux, à qui ce caractère de force convient médiocrement), il en est qui n’ont pas obtenu du premier coup cette admiration religieuse et ce grand silence, en supposant qu’on les leur ait jamais accordés. […] Selon lui, en effet, il n’y a plus dans la littérature actuelle que de la forme, la pensée est absente ou sacrifiée : en architecture, en peinture, en sculpture, on ne rencontre, selon lui, que le pastiche, l’imitation du passé, une imitation confuse et entrecroisée des différentes époques, des différentes manières antérieures : « Il en est de même, dit-il, en littérature : on accumule images sur images, hyperboles sur hyperboles, périphrases sur périphrases ; on jongle avec les mots, on saute à travers des cercles de périodes, on danse sur la corde roide des alexandrins, on porte à bras tendu cent kilos d’épithètesa, etc. » Et dans ce style qui n’évite pas les défauts qu’il blâme, l’auteur s’amuse à prouver que tous, plume en main, jouent à la phrase et manquent d’une idée, d’un but, d’une inspiration : « Où sont les écrivains ? […] Car enfin si j’énumère dans ma pensée les différents écrivains et poètes qui ne sont point sans doute les cinq hommes forts proclamés par lui, mais qui, malgré cela, ont leur place au soleil, je trouve des talents élevés et distingués qui, lorsqu’ils s’expriment en vers, veulent dire chacun quelque chose et s’attachent à rendre de leur mieux des impressions, des sentiments. […] En revanche, il s’élève contre les écrivains de nos jours, semblables, dit-il, « à ces pianistes qui exécutent des impossibilités incompréhensibles, mais qui sont hors d’état d’inventer une mélodie, une ariette, une note. » Il s’élève contre les adorateurs idolâtres de la forme : « Cette forme il a fallu la changer, la varier, la modifier à l’infini ; il a fallu la rendre bien feuillue, bien plantureuse, bien luxuriante, afin qu’elle pût cacher le vide sans fond qu'elle recouvrait… Le gothique flamboyant fut le dernier effort de l’ogive mourante ; nous en sommes arrivés à la littérature flamboyante… » Mais prenez garde ! […] Schnitzler, en oubliant, dans sa précipitation, de le citer1, il n’est plus un écrivain sérieux.
Un homme de large et vive conception, montrant un jour à quelqu’un sa bibliothèque, qu’il avait fort belle, arrivé devant les écrivains ecclésiastiques du règne de Louis XIV, s’écria : « Fleury à côté de Bossuet ; et pourtant quelle distance ! […] Je sais des hommes d’étude et de lecture approfondie qui placent Fleury très haut, plus haut qu’on n’est accoutumé à le faire aujourd’hui, qui le mettent en tête du second 265 rang ; ils disent « que ce n’est sans doute qu’un écrivain estimable et du second ordre, mais que c’est un esprit de première qualité ; que ses Mœurs des israélites et des chrétiens sont un livre à peu près classique ; que son Traité du choix et de la méthode des études, dans un cadre resserré, est plein de vues originales, et très supérieur en cela à l’ouvrage plus volumineux de Rollin ; que son Histoire du droit français, son traité du Droit public de France, renferment tout ce qu’on sait de certain sur les origines féodales, et à peu près tout ce qu’il y a de vrai dans certains chapitres des plus célèbres historiens modernes, qui n’y ont mis en sus que leurs systèmes et se sont bien gardés de le citer ; que Fleury est un des écrivains français qui ont le mieux connu le Moyen Âge, bien que peut être, par amour de l’Antiquité, il l’ait un peu trop déprécié ; que cet ensemble d’écrits marqués au coin du bon sens et où tout est bien distribué, bien présenté, d’un style pur et irréprochable, sans une trace de mauvais goût, sans un seul paradoxe, atteste bien aussi la supériorité de celui qui les a conçus. » Pour moi, c’est plutôt la preuve d’un esprit très sain. […] En un mot, jeunes et en entrant dans la vie, on prend surtout les grands écrivains, orateurs ou poètes régnants, avec enthousiasme, par leurs qualités : vieux, on prend surtout les survenants et successeurs par leurs défauts. […] Il y a bien des années, et avant qu’une critique investigatrice eût rassemblé autour de cette figure de Bossuet tous les éclaircissements et toutes les lumières, un écrivain de beaucoup d’esprit, s’essayant à définir le grand évêque gallican, disait : « Bossuet, après tout, était un conseiller d’État. » Si par là on ne voulait dire autre chose, sinon qu’il y avait en Bossuet un homme politique, un homme capable d’entrer dans le ménagement des personnes et la considération des circonstances, on avait raison ; mais si l’on prétendait aller plus loin, toucher au fond de sa nature et infirmer l’idée fondamentale du prêtre, on se tromperait : car au fond de cette nature, telle qu’elle ressort aujourd’hui de tous les témoignages et qu’elle nous apparaît dans une continuité manifeste, il y a avant tout et après tout un croyant.
Ils sont persuadés que l’écrivain, borné au rôle d’historien-philosophe, doit mieux voir et mieux peindre ce qu’il voit ; qu’en cherchant moins à en imposer aux autres, il en impose moins à lui-même ; que celui qui veut embellir, exagère ; qu’on perd du côté de l’exacte vérité tout ce qu’on gagne du côté de la chaleur ; que pour être vraiment utile, il faut présenter les faiblesses à côté des vertus ; que nous avons plus de confiance dans des portraits qui nous ressemblent ; que toute éloquence est une espèce d’art dont on se défie ; et que l’orateur, en se passionnant, met en garde contre lui les esprits sages qui aiment mieux raisonner que sentir. […] Je sais qu’il y a beaucoup de différence entre l’orateur qui parle, et l’écrivain qui ne doit être que lu. […] Mais pour l’écrivain, tout est calme. […] Osez mêler un ton mâle aux chansons de votre siècle ; mais surtout ne vous abaissez point à d’indignes panégyriques : il est temps de respecter la vérité ; il y a deux mille ans que l’on écrit, et deux mille ans que l’on flatte ; poètes, orateurs, historiens, tout a été complice de ce crime ; il y a peu d’écrivains pour qui l’on n’ait à rougir : il n’y a presque pas un livre où il n’y ait des mensonges à effacer. […] Ô écrivains !
n’auroient pas encore paru, dans notre Langue, avec la perfection dont nos bons Ecrivains l’ont enrichie. […] On a aussi de lui des Mémoires, qui seront estimés de quiconque est capable de connoître le prix d’une narration claire, méthodique, naïve, qualités préférables au ton embarrassé ou à la fausse chaleur que plusieurs Ecrivains n’ont pas su éviter dans leurs récits.
Il est vrai que M. de Sacy fut toujours plus jaloux des sentimens du cœur, que des talens de l'esprit ; mais si ses Plaidoyers & son Traité de l'Amitié n'ont rien qui le distingue de la foule des Ecrivains, le Traité de la Gloire méritoit certainement des éloges, quoique l'élocution en soit fatigante, parce qu'elle est trop maniérée, quoiqu'il y regne un choc presque continuel de contrastes & d'antitheses. […] De tels exemples devroient bien corriger ceux de nos Ecrivains qui sont possédés de la manie des phrases brillantes & du faux bel-esprit.
En effet, tantôt les écrivains reproduisent dans leurs œuvres cette vie intime, le jeu compliqué des sentiments qu’elle suscite et les conflits de volontés qu’elle amène ; tantôt, comme nous l’avons vu déjà, opposant leur idéal à la réalité, ils travaillent à changer dans le sens de leurs prédilections les traditions consacrées par l’usage ou l’organisation sanctionnée par le Code. […] C’en est assez pour montrer que les écrivains ne furent pas innocents de la haute idée que les femmes d’alors se firent de leurs prérogatives et du rôle qu’elles s’arrogèrent en conséquence. […] Il y a encore là bien des sentiments, bien des situations, bien des luttes qui ont fourni aux écrivains de tous les temps une abondance inépuisable de sujets. […] C’est au théâtre surtout et ensuite dans le roman et la chanson qu’il y a lieu de suivre les gens de maison, et de Scapin jusqu’à Ruy Blas en passant par Figaro, de Martine jusqu’à la servante-maîtresse de Maître Guérin en passant par Lisette et Marton, la liste est longue des personnages en qui les écrivains ont incarné cette classe populaire si intimement liée à la vie des classes supérieures. […] Quand elle est en honneur dans une société, elle agit doublement sur les écrivains, d’une part, en les marquant eux-mêmes de son empreinte, d’autre part, en les déterminant à donner à leurs œuvres la teinte toute particulière qui peut plaire à un public soucieux de ces qualités familiales.
Si bien qu’on peut résumer ainsi la conduite de cette élite sociale qui seule importe aux écrivains d’alors : brèves victoires de la passion sur le devoir ; mais victoires mêlées de tremblement, de remords et suivies d’une pénitence finale. […] Le danger est aussi que l’écrivain, désireux de prêcher ses lecteurs, de les diriger en un certain sens, oublie ou dédaigne de plaire, provoque l’ennui, sacrifie la beauté, froisse et dégoûte par une intolérance mesquine. […] Mais il a raison de rappeler aux écrivains qu’ils manient des armes dangereuses, dont la portée dépasse leurs prévisions ; qu’une idée lancée par le monde est, comme la balle du fusil, une force déchaînée qui va sans qu’on puisse la faire rentrer dans sa prison ; que par suite il convient, avant de la laisser aller, de s’assurer, par tous les moyens dont on dispose, qu’elle est conforme à ce qui est ou à ce qui doit être. […] Parfois tout un parti, toute une école, toute une secte crie son admiration pour une œuvre ou un écrivain ; quand des gens se proclament calvinistes, byroniens, stendhaliens, tolstoïstes, que sais-je encore, ils avertissent qu’on doit chercher sur eux l’empreinte d’un maître ; et de fait, dans leur conduite et leur pensée, si l’on connaît bien ce maître, on retrouve aisément les traces de l’ascendant qu’ils ont subi. […] Bourget, dans ses Essais de psychologie, essaie de démêler quelles ont été les idées dirigeantes suggérées à un homme de sa génération par les écrivains de la génération précédente ; il aboutit de la sorte à des constatations précieuses ; car elles sont incontestables pour lui-même et valent encore pour bon nombre de contemporains qui se sont reconnus en lui.
Pour rendre son travail encore plus utile, M. l’Abbé Brotier l’a enrichi de plus de six mille notes, toutes nécessaires pour l’intelligence de l’Ecrivain de l’ancienne Rome le plus rempli de difficultés par la nature de son Ouvrage. […] Ne méritent-ils pas en cela plus de reconnoissance que la plupart des Ecrivains de nos jours, qui ne se lassent point de grossir le nombre des productions médiocres ?
Et ne seroit-ce que par l’obscurité qu’on pourroit prétendre à la gloire de bien écrire dans une Langue dont les plus célebres Ecrivains ont fait de la clarté leur objet principal ? […] Les Ecrivains Latins s’abandonnoient chacun en leur maniere, en ne songeant qu’à rendre leur expression juste, nette, élégante, & précise.
Aucun écrivain ne porte et ne soutient plus haut sa pensée et son cœur. […] Nous jugerons l’écrivain librement, comme nous aurions aimé à l’admirer librement aussi. […] La vanité de ces écrivains subalternes y trouve son compte. […] Il semblait, dit un écrivain moderne, que l’image ne pouvait plus qu’appesantir la pensée. […] Dans ces longs intervalles, l’écrivain et le public se renouvellent.
Nous userons de la même liberté à son égard, & nous ne craindrons pas de dire qu’il auroit dû laisser aux autres Ecrivains le soin de parler de lui. Cet égoïsme, si fort à la mode parmi les Journalistes & les Auteurs critiques de ce siecle, est d’autant plus déplacé & plus ridicule, qu’il blesse l’amour-propre des Lecteurs, sans tourner au profit de celui des Ecrivains qui se le permettent, puisqu’il ne décele en eux qu’une vanité capable d’affoiblir le mérite de leurs bonnes qualités.
Nous ne prétendons pas garantir la justesse de toutes les observations de ce sublime Historien ; il a reconnu lui-même qu’il s’étoit égaré quelquefois ; mais on ne peut disconvenir de sa supériorité sur presque tous nos Ecrivains les plus célebres, qui ont trop négligé les graces de l’élocution, pour s’attacher à l’appareil du raisonnement. Les efforts de la raison se sont sentir dans les Ouvrages de la plupart, par la gêne & les convulsions du style : dans l’Histoire Naturelle, l’Ecrivain raisonne & peint tout à la fois.
Parmi les écrivains du Parnasse, M. […] D’ailleurs, l’indifférence de ces écrivains se comprend jusqu’à un certain point. […] Mallarmé et où cet écrivain n’use pas d’une syntaxe exclusivement personnelle. […] De ces écrivains, deux viennent de publier leurs souvenirs ; M. […] Montfort nous permettra, sans doute, bientôt d’apprécier complètement cet écrivain.
On croyait à une escarmouche de plume, à un feuilleton de combat des Débats, sur n’importe quel thème, à un spirituel engagement de l’écrivain orléaniste avec le nouveau César. […] Nous nous sommes demandé s’il y avait encore pour l’écrivain et pour le lecteur, en ces années d’égalité où nous sommes, des classes indignes, des malheurs trop bas, des drames trop mal embouchés, des catastrophes d’une terreur trop peu noble. […] Zola, et peut-être moi-même, avons apportée dans le peinture du bas de la société, sera reprise par un écrivain de talent, et employée à la reproduction des hommes et des femmes du monde, dans des milieux d’éducation et de distinction, — ce jour-là seulement, le classicisme et sa queue seront tués. […] Les lecteurs se plaignent des dures émotions que les écrivains contemporains leur apportent avec leur réalité brutale ; ils ne se doutent guère que ceux qui fabriquent cette réalité en souffrent bien autrement qu’eux, et que quelquefois ils restent malades, nerveusement, pendant plusieurs semaines, du livre péniblement et douloureusement enfanté. […] Et peut-être l’espèce d’hésitation du monde lettré à accorder à Balzac la place due à l’immense grand homme, vient-elle de ce qu’il n’est point un écrivain qui ait un style personnel ?
Et c’est ainsi qu’en se tuant d’efforts l’écrivain qui, avec les mots seuls, et leurs entassements et leurs surcharges, croit arriver aux résultats du peintre plastique, comme M. […] Mais ce qu’il est tous les jours, c’est un écrivain matériel et matérialiste, qui public de bien autres choses que les quelques porcheries innocentes du Ventre de Paris. […] Zola, cet homme de mots, cet écrivain d’un temps de trissotinisme et de décadence, n’en est pas moins — comme tous les amollis et les ramollis de son temps — l’ennemi de toutes les forces qui le gênent. […] Qui peut le savoir avec un écrivain dont l’outrance en tout est suspecte ? […] Il n’en faut pas trop… Lui qui avait montré dans ses autres romans de l’invention et du langage (plus de langage que d’invention, il est vrai), n’est plus, dans celui-ci, comme inventeur, qu’une espèce de Paul de Kock, et, comme écrivain, qu’un Père Duchesne.