Victor Hugo écrit l’histoire, non seulement pittoresque, mais morale de l’humanité.
J’écrivais ce morceau à Ischia, dans l’automne de 1875.
Catulle Mendès écrivait naguères : « Les théories de M.
Je conviens que qui ne sçait pas les admirer où ils sont admirables, n’écrira jamais rien que de médiocre.
C’est un grand art de faire que l’aparté influe sur la pièce même, comme dans le Préjugé à la mode, où, tandis que Durval écrit un billet qui va le réconcilier avec sa femme, son valet répète un rôle d’une comédie où tout ridiculise les maris amoureux de leurs femmes, et empêche ainsi la réconciliation.
« Malheur, écrit un éloquent historien des religions, malheur au savant qui aborde les choses de Dieu sans avoir au fond de sa conscience, dans l’arrière-couche indestructible de son être, là où dort l’âme des ancêtres, un sanctuaire inconnu d’où s’élève par instants un parfum d’encens, une ligne de psaume, un cri douloureux ou triomphal qu’enfant il a jeté vers le ciel à la suite de ses frères et qui le remet en communion soudaine avec les prophètes d’autrefois25 !
On écrit le plus souvent ainsi l’expression de l’invariant (plutôt que de la manière adoptée dans le livre), pour éviter que s2 soit négatif, comme il arriverait dans le cas le plus fréquent, celui où la distance des deux événements dans l’espace est plus petite que le chemin parcouru par la lumière pendant l’intervalle de temps qui les sépare.
Claude Bernard écrit : « Il est clair que cette propriété évolutive de l’œuf, qui produira un mammifère, un oiseau ou un poisson, n’est ni de la physique ni de la chimie. » M. […] Marey écrit : « Pour ma part, je ne connais pas les phénomènes vitaux ; je ne constate que deux sortes de manifestations de la vie : celles qui sont intelligibles pour nous ; elles sont toutes d’ordre physique ou chimique, et celles qui ne sont pas intelligibles ». […] Le nombre de personnes sachant lire et écrire est-il une mesure fidèle du développement de l’instruction dans un pays ?
Sachons pourtant qu’en parlant si plaisamment de Malherbe et en traçant le portrait du poète-grammairien auquel il oppose celui d’un libre et naïf génie, c’est-à-dire le sien propre, Régnier jugeait bien plus son adversaire d’après ses propos que sur ses écrits et ses œuvres mêmes.
Probablement, le son que j’écris oua-oua est double pour elle, selon la signification double qu’elle y attache ; mais mon oreille ne peut saisir cette différence ; les sens des enfants, bien moins émoussés que les nôtres, perçoivent des nuances délicates que nous ne distinguons plus.
LXXX Un vieux petit pèlerin tout mince et tout vêtu de noir, d’un habit râpé avec un rabat mal blanchi autour du cou et une plume à écrire derrière son oreille, l’écoutait en l’approuvant finement du sourire.
si nous avions su écrire !
il fut trompé encore ; le lendemain à mon réveil, le bargello me dit négligemment, comme je passais pour mon service dans le préau, que le prince venait d’écrire à son ministre qu’il ne fallait pas l’attendre et qu’il était retenu en Bohême par les chasses.
L’artiste, après six mois de poursuites stériles, est rentré dans son atelier, morne, épuisé, blessé au cœur ; il a écrit, pas de réponse, et, de cette grande passion si désespérément poursuivie, il ne lui reste que du temps perdu, des nerfs malades, une vie déroutée, une fatigue immense.
Elle écrivait alors avec une verve virile sa belle tragédie de Cléopâtre, dont le style a la solidité et le poli du marbre.
Mais on peut affirmer que tout ce qui, dans leurs écrits, ne consiste pas, suivant la judicieuse expression d’un illustre philosophe positif (M.
C’est ainsi, par exemple, que l’éducation d’un géomètre de l’antiquité consistait simplement dans l’étude successive du très petit nombre de traités originaux produits jusqu’alors sur les diverses parties de la géométrie, ce qui se réduisait essentiellement aux écrits d’Archimède et d’Apollonius ; tandis qu’au contraire, un géomètre moderne a communément terminé son éducation, sans avoir lu un seul ouvrage original, excepté relativement aux découvertes les plus récentes, qu’on ne peut connaître que par ce moyen.
Le calcul est écrit au tableau, la solution est imprimée dans un livre ou exposée de vive voix ; mais les chiffres que nous voyons ne sont que des poteaux indicateurs auxquels nous nous reportons pour nous assurer que nous ne faisons pas fausse route ; les phrases que nous lisons ou entendons n’ont un sens complet pour nous que lorsque nous sommes capables de les retrouver par nous-mêmes, de les créer à nouveau, pour ainsi dire, en tirant de notre propre fonds l’expression de la vérité mathématique qu’elles enseignent.
Cette lacune dans la poésie populaire avait vivement frappé le grand esprit à la fois métaphysique et réaliste de Goethe, comme elle nous frappa vivement nous-même, il y a quelques années, quand nous écrivîmes le poème domestique et familier de Jocelyn.