Les onze volumes qui font de lui, contiennent quatorze Vies ; &, sans qu’on puisse les comparer à des Ouvrages du premier mérite, ils ne laissent pas d’annoncer des talens.
Antony Valabrègue Les Voix de la glèbe, de Paul Harel : un volume où nous avons remarqué tout d’abord un petit chef-d’œuvre de sentiment et d’imagination, la Nuit de Noël.
Il y a apparence que si elles eussent été connues avant les deux volumes qu’on a faits pour enseigner la maniere de se servir de cette baguette, elles auroient épargné au Public un ridicule Ouvrage, & à certains Lecteurs le ridicule d’y ajouter foi.
Les Pieces justificatives, qui forment elles seules un volume peu intéressant pour le Lecteur, doivent être d’un grand poids en faveur de l’Historien.
Nous ne pouvons nous empêcher de remarquer, au sujet de ce dernier, qu’à force d’avoir cherché à l’enrichir, on l’a tellement surchargé d’exemples & augmenté de volumes, qu’on en a rendu l’usage aussi difficile que l’acquisition couteuse.
Tel est son Voyageur François, dont il a publié vingt-quatre volumes, & qui jouit d’un succès d’autant mieux mérité, que c’est la plus variée, la plus intéressante & la mieux écrite des Collections de ce genre.
Augier de] Abbé, mort en 1762, Auteur d’une Histoire des Arabes, en quatre volumes, où l’on rapporte des conversations ridicules, des anecdotes puériles, des combats bizarres, des contes, des fables, des visions, & toutes les rêveries des Peuples Orientaux.
Il est en 3 volumes in-8°, & celui de M. d’Origny, en 6 vol.
Si jamais ce volume nouveau trouve une place, — sa place d’une goutte d’eau dans la mer, — vous le lirez tout entier inédit ; n’est-ce pas, monsieur ? […] En reprenant les lettres par elle écrites à son frère de Douai à la date où je les ai laissées, nous retrouvons les gênes obscures, les humbles misères consolées, et tout d’abord cette modique pension qu’elle touchait auparavant avec une sorte de pudeur, mais qu’elle appelle maintenant comme un bienfait : « (26 octobre 1847)… Il y a deux jours enfin, j’ai reçu le trimestre qui me semblait autrefois si pénible à recevoir, par des fiertés longtemps invincibles, et que j’ai vu arriver depuis d’autres temps comme si le Ciel s’ouvrait sur notre infortune… « Ne nous laissons pas abattre pourtant, il faut moins pour se résigner à l’indigence quand on sent avec passion la vue du soleil, des arbres, de la douce lumière, et la croyance profonde de revoir les aimés que l’on pleure… « En ce moment, je n’obtiendrais pas vingt francs d’un volume : la musique, la politique, le commerce, l’effroyable misère et l’effroyable luxe absorbent tout… « Mon bon mari te demande de prier pour lui au nom des pontons d’Écosse. […] Quand il faut de part et d’autre travailler durement pour ne pas tomber dans la dernière indigence, les ailes de l’âme se replient et remettent tous les élans à l’avenir. » Dans des lettres à une amie, Mme Derains, elle revient sur cette misère des logements à trouver, et elle exprime en vives images le trouble moral et le bouleversement de pensées qui résulte de ces déplacements continuels : Ma bonne amie, vous me dites des paroles qui résument des volumes que j’ai en moi. […] Sainte-Beuve a composé un dernier article sur Mme Tastu, — et ç’a été le dernier travail qu’il ait pu achever, et dont il n’a pas vu la publication, — pour l’un des volumes de Galerie de Femmes que l’on réimprimait sur la fin de 1869 (chez MM.
Dès l’abord, avouons-le, si, au sortir de la lecture de l’Illustration, nous ouvrons le petit volume de Poésies qu’il se hâta de publier dans le même temps, nous tombons de haut. […] Certainement, si l’on n’avait que le premier volume de Du Bellay, publié par M. […] Le volume d’étrennes qu’il se réjouissait d’envoyer à chacun de ses amis ce jour-là, et qu’il avait lui-même préparé, ne leur arriva point de sitôt ; il ne fut imprimé et publié que quelques années plus tard. […] Le cardinal Du Bellay, quand il se fâcha contre le poète, n’avait donc encore reçu que le volume des Regrets, et il n’avait pas vu les Poèmes latins qui, bien que portant à l’impression la date de 1558, purent bien ne paraître qu’en 1559.
Dans ses volumes récemment publiés sur l’histoire de France, M. […] Les deux volumes, qui composent la première livraison des Mémoires, traitent de la vie privée de Mirabeau durant les trente et une premières années jusqu’en 1780, et le laissent au milieu de sa captivité de Vincennes. […] Lui, qui hier encore était tout rassasié de Mirabeau et ne croyait avoir rien d’important à apprendre sur cet homme si controversé ; lui, lecteur, qui hier ne connaissait le marquis économiste que par quelques ennuyeux volumes ou quelques épigrammes, et ne connaissait pas du tout le bailli, le voilà tout d’un coup épris d’eux, altéré de leur vie, de leurs opinions, de leur langage ; le voilà qui se fâche presque contre M. […] Si inférieur et inégal que semble le style de Mirabeau, le morceau le plus curieux des deux premiers volumes publiés par M.
Verlaine, qui a débuté dans le Parnasse sous l’influence de Leconte de Lisle, en est devenu l’une des deux colonnes avec ses derniers volumes : Sagesse, Romances sans paroles, Jadis et naguère. […] Ces questions demanderaient un volume de commentaires ; disons donc que Charles Baudelaire doit être considéré comme le véritable précurseur du mouvement actuel ; M. […] C’est sur ces façons de dire qu’il fit un volume de Remarques. […] Le libraire Léon Vanier, qui semble ambitionner de devenir le Lemerre de cette poésie nouvelle, a publié quelques-uns des volumes de M.
Oscar Comettant consentira-t-il à réunir en volume, sous le titre croustillant de Wagner pharmacien, ces brillants articles du Siècle où il a condensé tant de fois le meilleur de lui-même ? […] Il fait partie d’une description des fêtes de Weimar en 1849 et a été réuni, sous la rubrique de Souvenirs de Thuringe, à quelques autres articles dans un volume aujourd’hui très rare, Lorely Souvenirs d’Allemagne. […] Bibliographie11 [I] Richard Wagner jugé en France, par Georges Servières (un volume in-18, à la Librairie Illustrée, 3 fr. 50). […] Le remarquable volume de M.
Elle a conservé à Paris ses habitudes de réclusion de la femme italienne, et pour s’occuper, quand elle a découvert dans Le Constitutionnel, un roman qui ne dure pas vingt-quatre volumes, elle le traduit pour elle toute seule, en pur toscan. […] Et il tire des rayons un volume : Théâtre de M. le comte de Montalembert, joué sur le théâtre de Montalembert… Votre tableau de Paris m’a vivement intéressé, c’est bien curieux… Je vous ai écrit… Oui…. […] L’éditeur non encore assuré après nos deux volumes d’histoire. […] » * * * — Vendu 300 francs à Dentu nos Portraits intimes du xviiie siècle (deux volumes), pour la fabrication desquels nous avons acheté deux ou trois mille francs de lettres autographes.
Dans ce volume, j’ai noté un délicat sonnet sur Édel, cette Édel qu’a chantée M.
Tel est le défaut ordinaire de ces Ecrivains féconds, plus jaloux de multiplier les volumes, que d’acquérir la solide gloire de se rendre utiles aux Lecteurs, en mettant des bornes à leur malheureuse fécondité.
Les principales sont celles de l’Histoire Ecclésiastique d’Eusebe, de Socrate, de Sofomene, de Théodoret, & de celle de l’Histoire Bisantine, qui forme seule neuf volumes in-4°.
Le volume qu’il a ajouté auxMémoires chronologiques du P. d’Avrigny, son Confrere, a le même mérite.