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825. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLI » pp. 167-171

— L'abbé Combalot vient, à son tour, de publier sa brochure sur la liberté de l’enseignement et contre l’Université.

826. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LI » pp. 198-202

On s’accorde à penser que le tour de M. de Vigny maintenant ne sera plus reculé.

827. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Note. »

La publication de ces Lettres de Benjamin Constant, commencée dans le journal la Presse après la mort de Mme Récamier, a été interrompue par un procès dans lequel l’avocat de Mme Colet s’est fait à son tour le défenseur de Benjamin Constant contre ce qu’il appelait nos interprétations trop fines et subtiles.

828. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pailleron, Édouard (1834-1899) »

Pailleron, Amours et haines, paru en 1869, vaut bien mieux, et pour le fonds et par le tour.

829. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Theuriet, André (1833-1907) »

Theuriet nous donnait, en recueillant, dans des strophes d’un tour achevé, ses impressions et ses souvenirs de tous genres.

830. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 527-532

Personne n’a plus que lui réuni l’abondance des idées & des raisonnemens, la plénitude du savoir & de la raison, aux richesses de l’expression à la variété des tours, & sur-tout à ce sentiment intime qui sait mettre la justice & la vérité dans tout leur jour, les faire aimer même de ceux qu’il combat.

831. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 381-387

Dans ses Odes héroïques, il manque, de l’aveu de tout le monde, de cette élévation de pensées, de cette chaleur d’expression, de cette vivacité d’images, de cette énergie de tours, qui sont l’ame de la Poésie lyrique.

832. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 532-537

L’Eloge historique du Duc de Bourgogne est un morceau d’éloquence qui nous retrace la noble simplicité des Anciens ; son Discours de réception à l’Académie, malgré tout le persifflage qu’il lui attira, peut être regardé comme la production de l’honnête homme, du sage Littérateur, du vrai Philosophe ; ses autres Discours Académiques offrent par-tout l’Ecrivain élégant, & assez formé sur les bons Modeles, pour en devenir un à son tour.

833. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 51-56

Rapin, [René] Jésuite, né à Tours en 1621, mort à Paris en 1687.

834. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre second. Poésie dans ses rapports avec les hommes. Caractères. — Chapitre XII. Suite du Guerrier. »

Cette haute valeur est devenue si commune, que le moindre de nos fantassins est plus courageux que les Ajax, qui fuyaient devant Hector, qui fuyait à son tour devant Achille.

835. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre VII. Des Saints. »

« Ces héros pleins de bonté et de lumière pensent toujours à leur Créateur, et sont tout éclatants de la lumière qui rejaillit de la félicité dont ils jouissent en lui. » — Et plus loin, « héros vient d’un mot grec qui signifie amour, pour marquer que, pleins d’amour pour Dieu, les héros ne cherchent qu’à nous aider à passer de cette vie terrestre à une vie divine et à devenir citoyens du ciel69. » Les Pères de l’Église appellent à leur tour les saints des héros : c’est ainsi qu’ils disent que le baptême est le sacerdoce des laïques, et qu’il fait de tous les chrétiens des rois et des prêtres de Dieu 70.

836. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Hallé  » pp. 127-130

Mais auparavant j’observerai qu’à parler à la rigueur un peintre quelquefois par un tour de tête particulier préférera un moment tranquille à un moment agité [.]

837. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxiiie entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff »

Mais au sentiment religieux qui le soutient et le guide dans sa pénible carrière le paysan russe joint un tour d’esprit gracieux et poétique ; les pages charmantes intitulées la Prairie semblent avoir pour objet principal de mettre en évidence cette disposition naturelle. […] Mais celles-ci s’éteignent à leur tour ; le ciel jusqu’alors empourpré bleuit de plus en plus. […] Les rouges-queues et les jeunes pies sont les seuls qui sifflent encore par moments ; mais ils se taisent à leur tour. […] laisse-le, Foma, — m’écriai-je à mon tour, — cela n’en vaut pas la peine. […] — Tu chantes bien, frère, très-bien, dit Nikolaï Ivanovitch d’un air aimable. — À ton tour Iachka, et surtout n’aie point peur.

838. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre septième »

L’état de la société française à cette époque, presque autant que le tour de son génie, lui avait donné le goût des sujets héroïques et lui fournissait des ressemblances pour les comprendre et les traiter. […] » Tous ces propos hardis, d’un tour si fin et si charmant, où l’esprit n’est que le sel d’une courageuse raison, ne firent que le rendre plus agréable au roi. […] Telle était, en effet, l’exactitude des descriptions du prédicateur, qu’il passa pour mettre les personnes dans ses sermons, et que chacun put craindre d’être à son tour étalé, du haut de la chaire de vérité, en exemple au prochain. […] Cette sévérité chrétienne, plus mondaine par le tour, moins hérissée de théologie, fit incliner le cœur du roi du désenchantement des choses du dehors au mécontentement de soi-même. […] Par les impressions qu’il recevait, comme par les comparaisons qu’il faisait du monde selon la gloire humaine, et du monde au regard de Dieu, il se nourrissait, pour ainsi parler, du sublime, qui fut comme le tour naturel de son esprit.

839. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1866 » pp. 3-95

— Et il montre le moyen de cacher aux sergents de ville son argent, en le faisant filer dans ses manches et en le cachant dans ses souliers. — Elle, ma sœur… elle n’a pas cette chance-là, elle est d’hier à la Tour Pointue (la Préfecture)… C’est la neuvième fois, moi je n’y ai été encore que deux fois. […] Un cigare sur la terrasse, un tour sur la plage, et retravail jusqu’à minuit, deux heures du matin. […] Le quadrille fini, Doré reconduit sa danseuse, la salue comme à un bal chez Passoir, vient à nous deux, nous demande à faire un tour sur la jetée. […] * * * — C’est une chose curieuse que les trois grands peintres français du xviiie  siècle : Watteau, Chardin, La Tour, soient les trois seuls peintres du temps qui n’aient point été en Italie. […] 12 octobre Notre impression en entrant dans le Musée de Saint-Quentin, devant les La Tour.

840. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 juin 1886. »

ERRATA — Du dernier numéro de la Revue Wagnérienne (IV, mai 1886), quelques fautes à corriger dans les « notes sur la Peinture Wagnérienne » : page 103  3e ligne  lire : touffes      au lieu de : souffles id    25    à l’homme noir      à l’homme de voir ; 105  10      Dehodencq      Dehodeucq id    18      à son tour      à leur tour 110  18      rêche        riche id    24      poignante      prévoyante 113  1      intéressantes donc,    intéressantes, donc           intéressantes      intéressantes L’œuvre de Bayreuth — 1871-1876 Les lettres et les documents que nous allons analyser ont été réunis par le baron Hans de Wolzogen et publiés par lui dans les Bayreuther Blaeter (1886, janvier). […] Wilder accomplit un tour de force : reproduire en des poèmes élégants, clairs, certes exacts, les intenses et profonds drames de Wagner ! […] Les signes de l’art plastique avaient été les sensations visuelles de certaines lignes ou couleurs : la Littérature, art des notions, eut pour signes les mots, sensations d’abord auditives, devenues ensuite visuelles, à leur tour, sous l’usage de l’écriture. […] Puis vint le tourbillon où tout s’abîma : et les lettres, qui avaient longtemps survécu à leur utilité, durent à leur tour s’effacer.

841. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre quatrième. Éléments sensitifs et appétitifs des opérations intellectuelles — Chapitre deuxième. Les opérations intellectuelles. — Leur rapport à l’appétition et à la motion. »

Ainsi arrivaient, à l’appel d’un chant, selon la fable antique, et s’arrangeaient, comme d’eux-mêmes, en murailles et en tours, de dociles matériaux101. » De Hartmann dit semblablement que, la volonté ayant posé le but, « l’inconscient » intervient pour le réaliser. […] Une fois les idées produites, elles peuvent servir de base à leur tour pour de nouveaux jugements et raisonnements. […] En un mot, le paysage intérieur est altéré dans ses éléments et dans son plan même par les émotions et les volontés ; il en résulte que la vision interne est elle-même altérée et que la réaction consécutive l’est à son tour. […] Supposez une lettre écrite en écriture sympathique capable de devenir manifeste par la chaleur ; je projette un rayon de chaleur sur un point, un mot apparaît, mais, comme le calorique s’irradie, le mot contigu se dessine à son tour. […] Les lois de la chute des corps, à leur tour, se déduisent de la gravitation universelle, et celle-ci se rattache probablement aux lois mécaniques du choc.

842. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre quatrième. L’idée du temps, sa genèse et son action »

L’image de cette appréhension totale subsiste dans l’appréhension du second moment empirique ; celle-ci, plus la première, subsiste à son tour dans l’appréhension du troisième moment empirique. Si on répète l’éternelle objection qu’à chaque moment la conscience est fixée sur la représentation présente, nous répéterons à notre tour que cette complète séparation du présent avec le passé est une fiction mathématique. […] C’est donc, en somme, des résidus laissés dans la conscience par la succession combinée avec l’intensité et la clarté, que se tire la représentation du temps : supposez que je regarde un phare tournant qui ramène à intervalles réguliers un feu blanc et un feu rouge ; au bout de plusieurs tours il y aura à la fois, dans un même état général de conscience, une image faible et indistincte du rouge à l’état évanouissant, une image vive et distincte du blanc, et une image faible du rouge à l’état naissant, c’est-à-dire trois degrés et trois espèces de représentations différemment orientées ; mais, pour avoir le sentiment même du temps, il faut agir, vouloir et mouvoir. […] Celle-ci, à son tour, a été en partie refoulée et diminuée dans son intensité par la sensation nouvelle de fenêtre ouverte. […] Sans doute cet avenir est présent à sa façon sous forme d’une idée actuelle, et cette idée même a ses concomitants cérébraux qui sont des mouvements actuels dans l’espace ; mais l’idée, comme telle, n’existerait pas sans certaines conditions de changement interne et externe qui se sont produites, et cette idée à son tour, une fois née, devient une condition de changement interne et externe.

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