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287. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE CHARRIÈRE » pp. 411-457

De là son premier roman. […] N’as-tu pas lu quelques romans, et n’as-tu jamais partagé le sentiment de quelque héroïne ? […] Ce roman a l’air de ne pas finir ; il finit pourtant. […] Ce roman de M. de Constant est philosophique et très-agréable : en voici l’idée. […] Roman hollandais.

288. (1889) La bataille littéraire. Première série (1875-1878) pp. -312

En deux mots, le nouveau roman que M.  […] Le roman de M.  […] Le roman de M.  […] Le roman de M.  […] Personne ne sera déçu, le roman de M. 

289. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XVII. Rapports d’une littérature avec les littératures étrangères et avec son propre passé » pp. 444-461

L’admiration de la France contemporaine pour le roman russe a témoigné d’une amitié naissante entre la troisième République et l’Empire des Tsars. […] Le roman russe de nos jours a induit beaucoup de nos écrivains à se demander, après Tolstoï, quel est le sens de la vie et à prêcher « la religion de la souffrance humaine ». […] Il est avéré que Rousseau prit aux Anglais le cadre commode du roman par lettres. […] Victor Hugo fut lancé dans le roman historique par l’exemple de Walter Scott : il se proclama l’adorateur de Shakespeare ; il n’existe cependant entre son œuvre et celle des devanciers dont il suivit les pas qu’une ressemblance générale et lointaine. […] De là, ces épidémies de pièces ou de romans, qui, à quelques mois de distance, traitent le même sujet avec des variantes insignifiantes.

290. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Appendice sur La Fontaine »

Et, d’abord, on a droit de regarder comme non avenus, par rapport à La Fontaine et à son époque, les anciens poëmes français antérieurs à la découverte de l’imprimerie, si l’on excepte le Roman de la Rose, dont le souvenir s’était conservé, grâce à Marot, durant le xvie  siècle, et qu’on lisait quelquefois ou que l’on citait du moins. […] Marot, le premier, en disciple reconnaissant et respectueux, voulut sauver de l’oubli quelques-uns de ceux qu’il appelait ses maîtres : il restaura à grand’peine et publia Villon ; il donna une édition du Roman de la Rose, dont il rajeunit, comme il put, le style. […] Un critique éclairé du Journal des Débats, séduit par quelques traits de vague ressemblance, et cédant aussi à cette influence secrète qu’exerce le paradoxe sur les meilleurs esprits, estime que La Fontaine doit beaucoup « et à nos contes, et à nos poëmes, et à nos proverbes, depuis le Roman de Renart, dont on ne me persuadera jamais qu’il n’ait pas eu connaissance, jusqu’aux farces de ce Tabarin qu’il cite si plaisamment dans une de ses fables. » Quant aux farces de Tabarin, quant à nos contes, à nos poëmes imprimés, je pourrais tomber d’accord avec le savant critique ; mais le Roman de Renart, alors manuscrit et inconnu, où le bonhomme l’eût-il été déterrer ? […] On voit dans le Ménagiana que Ménage (ou peut-être La Monnoye ; je ne sais trop si l’endroit ne se rapporte pas à l’éditeur) eut communication, pendant deux jours, d’un vieux roman-manuscrit in-folio, intitulé le Renart contrefait, espèce de parodie du Roman de Renart. […] Nous persisterons donc à croire, jusqu’à démonstration positive du contraire, qu’en matière de poëmes et de romans d’une pareille date, l’aimable conteur était d’une ignorance précisément égale à celle de Marot, de Rabelais, de Passerat, de Regnier et de Voiture ; on pourra même trouver que ces derniers le dispensaient assez naturellement des autres.

291. (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre VIII. Quelques étrangères »

Considérées comme des romans, les interminables fantaisies livresques d’Annunzio apparaissent encore plus fausses et plus puériles que les fantaisies scéniques de Hugo quand on essaie de les regarder comme des drames. […] Puisque, au désordre vivant de ses odes et au désordre inorganique de ses romans, l’auteur de l’Intermède de rimes et du Feu ne sait parler que de lui-même, examinons qui il est. […] Madame Bovary est moins un roman réaliste qu’une parodie du romantisme, une longue raillerie de l’imagination et de la sensibilité, de la passion et du rêve, de toute la poésie. […] Les personnages de Matilde Serao appartiennent, comme d’ailleurs beaucoup de fantoches des romans actuels, à la famille qui produisit d’abord Emma Bovary, Homais, Bouvard et Pécuchet. […] Étudions son cas dans Jude l’Obscur, le plus complet peut-être et le moins mal composé de ses romans.

292. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Raymond Brucker. Les Docteurs du jour devant la Famille » pp. 149-165

Balzac lui-même, le plus grand et le meilleur de tous, qui amis tout le monde de son temps dans l’immense cercle de sa Comédie humaine soit dans les romans, sous des noms supposés, soit sous les vrais noms, dans ses préfaces, n’a pas, que je me rappelle, écrit une seule fois le nom de Brucker. […] Il n’était pas, d’ailleurs, de vocation absolue, un romancier, quoiqu’il ait fait aussi des romans, et, entre autres, ces Docteurs du jour, qui ont un cadre romanesque dessiné pour y mettre bien autre chose que des romans, et qui pourtant en contiennent un, si ce n’est deux… Brucker avait d’autres facultés que celles-là avec lesquelles on crée des fictions intéressantes ou charmantes, et ces facultés impérieuses et précises avaient trop soif de vérité pour s’arrêter beaucoup aux beautés du rêve, qui traversèrent cependant son imagination dans la chaleur de sa jeunesse, quand, par exemple, il écrivit en collaboration ce roman des Intimes, oublié, comme s’il l’avait fait seul, malgré les diamants d’esprit qu’y jeta Gozlan et qui ne firent point pâlir les rubis que lui, Brucker, plaça à côté… La gerbe de facultés différentes qu’avait Brucker et qui se nuisaient peut-être les unes aux autres par le fait de leur nombre, avaient, au centre du magnifique bouquet qu’elles formaient, deux fleurs superbes et excessivement rares : la métaphysique, — non pas froide chez lui comme chez les autres métaphysiciens, mais de feu, — et une puissance de formule algébrique qui donnait à ses idées et à son style — même littérairement — une rigueur et une plénitude incomparables. […] Une fois demandé, il jaillit, comme tout jaillissait dans Brucker, cet homme-source, qui avait en lui tous les agissements et tous les bouillonnements de l’esprit humain… Mélange de tous les genres de livres dans un seul livre, tout à la fois roman et histoire, critique d’idées et de systèmes, invention de caractères et de personnages pour rendre plus vivantes et plus entraînantes ses théories ; dramatique, poétique, descriptif, mettant des tableaux de mœurs dans des paysages, naturel et intime, et, au milieu de tout cela, débordant de questions, d’explanations, d’argumentations, de démonstrations et de conversations qui roulent dans une verve de style semblable à un battement précipité d’artères, ce livre est peut-être un chaos de puissant ces trop alchimiquement entassées, mais c’est un chaos auquel il faut appliquer cet éternel mot de génie qu’on peut appliquer pour tout à Brucker, — à cet ébaucheur rapide et sublime ! […] Eh bien, c’est cette force de la Paternité, dont Brucker n’avait pas seulement que l’idée dans la tête, mais dont il avait aussi le sentiment dans la poitrine, c’est cette force de la Paternité qu’il résolut de réapprendre au monde, en la lui peignant… Et puisqu’il avait accepté la forme du roman dans son ouvrage, il y introduisit un père comme on n’en connaissait plus, un père qui relevait la Paternité de tous les avilissements qu’elle subissait, depuis des siècles, dans les mœurs et dans les comédies !

293. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

Et si les deux romans maritimes populaires de M.  […] Et le roman picaresque ? […] Il l’a avoué pour le Maître qu’il a suivi dans ses romans. Et si l’art des romans de M.  […] Seulement « Balzac a fait deux choses : il a agrandi le roman de caractères et il a fondé le roman de mœurs ! 

294. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — F — Fuster, Charles (1866-1929) »

Charles Fuster qualifie : roman lyrique, l’ouvrage qu’il vient de publier sous le titre de Louise. De fait, il s’agit d’un roman ou plutôt d’une nouvelle développée, mise en vers, tout comme le Jocelyn de Lamartine. […] Charles Fuster, qui est poète, a cherché et trouvé prétexte à des élans poétiques, conduisant son roman un peu à la façon des livrets d’opéras où l’auteur a pour principal souci de créer ce qu’on appelle des situations musicales à son collaborateur.

295. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Han d’Islande » (1823-1833) — Préface de janvier 1823 »

Roman, tome I, Paris, Imprimerie nationale, Librairie Ollendorff, 1910, p. 5-6. […] Ce n’est que tout à l’heure, au moment où, selon l’usage des auteurs de terminer par où le lecteur commence, il allait élaborer une longue préface, qui fût comme le bouclier de son œuvre, et contînt, avec l’exposé des principes moraux et littéraires sur lesquels repose sa conception, un précis plus ou moins rapide des divers événements historiques qu’elle embrasse, et un tableau plus ou moins complet du pays qu’elle parcourt ; ce n’est que tout à l’heure, disons-nous, qu’il s’est aperçu de sa méprise, qu’il a reconnu toute l’insignifiance et toute la frivolité du genre à propos duquel il avait si gravement noirci tant de papier, et qu’il a senti combien il s’était, pour ainsi dire, mystifié lui-même, en se persuadant que ce roman pourrait bien, jusqu’à un certain point, être une production littéraire, et que ces quatre volumes formaient un livre. […] Il se bornera seulement à faire remarquer que la partie pittoresque de son roman a été l’objet d’un soin particulier ; qu’on y rencontre fréquemment des K, des Y, des H et des W, quoiqu’il n’ait jamais employé ces caractères romantiques qu’avec une extrême sobriété, témoin le nom historique de Guldenlew, que plusieurs chroniqueurs écrivent Guldenloëwe, ce qu’il n’a pas osé se permettre ; qu’on y trouve également de nombreuses diphtongues variées avec beaucoup de goût et d’élégance ; et qu’enfin tous les chapitres sont précédés d’épigraphes étranges et mystérieuses, qui ajoutent singulièrement à l’intérêt et donnent plus de physionomie à chaque partie de la composition.

296. (1905) Études et portraits. Sociologie et littérature. Tome 3.

Ce lecteur tombe sur un roman qui date de 1837. […] Tous ses romans sont l’histoire d’une volonté. […] Ayant profondément étudié la technique de son métier, il savait qu’une nouvelle n’est pas un roman court et qu’un roman n’est pas une longue nouvelle. […] Il n’en va plus de même pour un roman. […] Dans l’entre-deux il composa ses trop rares romans.

297. (1890) La bataille littéraire. Troisième série (1883-1886) pp. 1-343

le roman lui-même. […] que d’heures terribles dès le jour où je commence un roman ! […] Mais le roman de M.  […] La fabulation du roman est fort simple. […] C’est là le roman.

298. (1896) Les époques du théâtre français (1636-1850) (2e éd.)

Connaissez-vous les romans de Mlle de la Force ou ceux de Mme de Villedieu ? […] Car, vous dirai-je de quoi l’on s’amusait, aux environs de 1630, dans le roman et au théâtre ? […] Oui bien, les romans de Le Sage, — très différents en ce point des romans de Prévost, par exemple, de Manon Lescaut ou de l’Histoire d’une Grecque moderne, — seront des romans où l’on mange. […] n’est-ce pas plutôt un roman, et un roman naturaliste ? […] Or, au commencement du xviiie  siècle, le roman, vous le savez, prenait justement conscience de lui-même… Roman de mœurs avec Gil Blas, roman d’amour ou de passion avec Manon Lescaut, roman psychologique avec Marianne, le roman, d’un genre inférieur qu’il avait été jusqu’alors, et regardé comme uniquement bon à divertir les enfants et les femmes, s’élevait à la dignité d’un genre littéraire.

299. (1895) Histoire de la littérature française « Sixième partie. Époque contemporaine — Livre III. Le naturalisme, 1850-1890 — Chapitre IV. La comédie »

Dans ces livrets d’une bouffonnerie énorme et pourtant fine898, dont la fantaisiste irréalité semble se rapprocher parfois de la comédie de Musset, dans cette « blague » enragée qui démolit tous les objets de respect traditionnel, en politique, en morale, en art, et qui ne reconnaît rien de sérieux que la chasse au plaisir, revit ce monde du second empire que les romans et les comédies, plus brutalement ou plus sévèrement, s’efforceront de représenter : monde effrénément matérialiste, si vide de conviction qu’il ne croyait même pas à lui-même, se moquant du pouvoir et de l’argent qu’il détenait, et se hâtant, avant de les perdre, d’en acheter le plus possible de plaisir. […] Dumas fils sa Dame aux Camélias (1852) : non point la comédie classique, joyeuse et générale, mais une comédie dramatique, enveloppant quelque thèse morale dans une peinture exacte des mœurs contemporaines, une comédie émouvante et réaliste, qu’influençait fortement le voisinage du roman de Balzac. […] Plus de factice roman, plus de raide logique : la comédie de Francillon ne nous offre que réalité et humanité. […] Halevy on a des études satiriques, des nouvelles et des romans qui sont d’un écrivain délicat ; de M.  […] Dumas (né en 1824), fils du fameux dramaturge et romancier, a commencé par des romans.

300. (1836) Portraits littéraires. Tome I pp. 1-388

De ses romans il n’est pas dit un mot. […] Les romans de high life, auxquels M.  […] Ce roman est d’ailleurs plus voisin du mélodrame que de la tragédie. […] Il n’y a pas une page de ce roman, si toutefois c’est un roman, et pour ma part j’ai grand-peine à le croire, qui ne donne lieu à une sorte d’examen de conscience. […] Tout le roman est là.

301. (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — Analyse sociologique »

Dans le roman, par exemple, la nature des héros, des lieux, de l’action, la manière dont l’auteur présente ses acteurs et ses décors, devront agir, entraîner la persuasion et l’intérêt par leur aspect de vérité même, et sans qu’il soit permis d’en rien conclure pour l’esprit du lecteur qui aura été touché. […] Il faut donc qu’un roman, pour être cru d’une certaine personne et, par conséquent, pour l’émouvoir, pour lui plaire, reproduise les lieux et les gens sous l’aspect qu’elle leur prête ; et le roman sera goûté, non à cause de la vérité objective qu’il exprime, mais en raison du nombre de gens dont il réalisera la vérité subjective, dont il rend les idées, dont il ne contredit pas l’imaginationds. […] Nous avons pris le réalisme et le roman comme bases de notre raisonnement, car ces cas sont ceux où le caractère individuel, les facultés, les capacités du lecteur paraissent réduits à jouer le moindre rôle. […] Comme celui d’Ohnet, le nom de Feuillet symbolise le roman bourgeois par excellence contre lequel se dresse le roman naturaliste. […] Ludovic Halévy (1834-1908), librettiste d’Offenbach et de Bizet, père de Daniel Halévy, est aussi l’auteur de comédies, des romans, et de contes.

302. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Raphaël, pages de la vingtième année, par M. de Lamartine. » pp. 63-78

Il y aura nécessairement une part de roman encore mêlée à des sentiments vifs et réels. […] Non ; nous aurons une demi-réalité, de la poésie encore, mais de la poésie de seconde veine, de la poésie mise en roman. […] Il a essayé de combiner ce qu’il croyait devoir à la mémoire d’Elvire, et ce qu’il devait à l’intérêt actuel du roman. […] Je n’insisterai pas sur les grandes scènes du roman, pas même sur celle du suicide, qui est encadrée magnifiquement, comme toujours, mais qui, telle qu’elle nous est racontée, manque son effet, et qui finit d’ailleurs assez ridiculement. […] Trois endroits m’ont particulièrement frappé en bien dans le volume, et ils ne se rapportent point au roman : c’est d’abord la visite aux Charmettes, où M. de Lamartine a parlé de Rousseau avec éloquence et vérité.

303. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Œuvres françaises de Joachim Du Bellay. [I] »

Cette vogue usurpée, imméritée, presque inexplicable, du Roman de la Rose, et l’imitation à satiété qui en fut la conséquence, jetèrent l’esprit français dans une route de traverse où il s’empêcha et s’empêtra durant près de deux siècles. […] Anatole de Montaiglon, a pu dire : « Le Roman de la Rose, qui n’était d’abord qu’une glose le l’Art d’aimer d’Ovide, vint apporter un élément nouveau, un nouveau contingent dans la poésie française : l’allégorie philosophique. […] Aussi, en voyant la manière dont cette influence a duré dans la poésie jusqu’au xvie siècle et dans les romans jusqu’au xviie , bien des gens ont dit et diront encore longtemps que la littérature française commence au Roman de la Rose. […] Voilà une gloire et des services dont la postérité se passerait bien. » Quoi qu’il en soit de ces vues si nettement exprimées et de ce qui peut y entrer de conjectural, l’importance excessive du Roman de la Rose et de toutes les ramifications qu’il engendra est un fait qui domine notre poésie durant ces âges médiocrement poétiques. […] En conscience, on ne saurait demander aux hommes d’avoir des horizons historiques tout à fait hors de leur temps, de savoir ce que nul alors ne savait, de deviner ce qui était caché et ce qui s’était perdu ou altéré au point d’être méconnaissable ; je reviendrai, à l’occasion d’un chapitre de Du Bellay, sur cet article des romans de chevalerie sons lesquels on aurait voulu qu’il retrouvât les chansons de geste.

304. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre II. Le Roman (suite). Thackeray. »

Le Roman (suite). […] Vous voyez par quel mécanisme Thackeray a changé en satire le roman. […] Il fait dans le roman ce que Hobbes fit en philosophie. […] C’est pourquoi les romans de Thackeray sont une guerre contre l’aristocratie. […] Entre tous ces romans altérés paraîtra un roman véritable, élevé, touchant, simple, original, l’histoire de Henry Esmond.

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