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803. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Liégeard, Stéphen (1830-1925) »

Victor Delaporte C’est une guirlande de quarante-cinq poèmes qui répondent bien au double titre : Rêves et combats, inspiré par le double amour des lettres et de la France ; avant de chanter les combats de son pays, il en défendit avec vigueur les intérêts comme orateur et député de la Moselle.

804. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 431-433

La seconde est foible de versification ; mais l’intérêt en est si touchant, qu’on l’a toujours revue avec plaisir.

805. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 520-522

Gustave plaira toujours, à cause de la vivacité & de l’intérêt des situations.

806. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 174-175

On doit observer, pour l'intérêt de la vérité, que l'épouse de M. de la Sabliere n'a jamais composé aucun des Vers qu'on lui attribue, quoiqu'elle eût beaucoup d'esprit.

807. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 286-288

Elle a l'art de faire partager tous ses sentimens à son Lecteur ; on rit ou l'on s'afflige avec elle, on adopte ses intérêts, on souscrit à ses louanges & à ses censures, on applaudit aux jugemens qu'elle porte sur les plus célebres Auteurs de son Siecle ; mais on ne croit pas toujours ses prédictions, sur-tout quand elle dit de Racine, qu'on s'en dégoûtera comme du Café.

808. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 427-429

Son Histoire de Malthe, quoiqu'abondante en rapports avec ses objets favoris, n'a plus la même vigueur ni le même intérêt, dès qu'il est question d'entrer dans les détails ordinaires.

809. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Note préliminaire » pp. 5-6

Le Constitutionnel n’a jamais cessé de songer à l’intérêt littéraire ; mais il croit que le moment est venu d’y insister plus particulièrement.

810. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Bug-Jargal » (1826-1832) — Préface de 1826 »

Cependant une ébauche de cet opuscule ayant été déjà imprimée et distribuée à un nombre restreint d’exemplaires, en 1820, à une époque où la politique du jour s’occupait fort peu d’Haïti, il est évident que si le sujet qu’il traite a pris depuis un nouveau degré d’intérêt, ce n’est pas la faute de l’auteur.

811. (1887) George Sand

On ne peut pas dire précisément que le talent ait baissé dans les œuvres de la seconde manière ; mais, à coup sûr, l’intérêt est moins vif, la sympathie, à chaque instant déconcertée, se refroidit. […] Que deviendrait la société si chacun, armant sa passion de la force, la jetait en guerre à travers les intérêts légitimes ou les droits contraires ? […] Toute cette seconde partie du roman est une série de drames vulgaires et forcenés où l’invraisemblable tue l’intérêt. […] Elle avait suivi avec intérêt les débuts d’Edmond About, elle y avait applaudi non sans quelques protestations contre le système de la raillerie perpétuelle. […] « Ouvrage très fort, très beau, disait-elle, mais qui n’a vraiment d’intérêt que pour les artistes et les érudits.

812. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXIV » pp. 95-96

Eugène Sue, livre inspiré par l’amour du peuple, par l’intelligence des vrais intérêts démocratiques. »

813. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 222-224

Il faut donc regarder comme des inconséquences les déclamations de nos Philosophes, qui veulent qu’on tolere toutes les façons de penser, parce que leur premier intérêt est d’être tolérés.

814. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 259-261

Sans le surcharger ridiculement d’un sentiment froid & puérile, sans y étaler une philosophie vaporeuse, propre à faire hurler la musique ou la dénaturer, sans le parsemer de ces petits riens à prétention, qui ne sont accueillis qu’au défaut de quelque chose, il a su y répandre de l’intérêt, du naturel, de la gaieté, de la finesse, & tous les agrémens dont il est susceptible ; il a su, en un mot, y peindre le vrai caractere de la Nation, que ses Rivaux ne s’occupent qu’à abâtardir & à défigurer.

815. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 63-64

Le goût est plus difficile à contenter ; il exige de l'ordre, de la clarté, de la méthode ; il demande de la chaleur & de l'intérêt dans l'exposition des faits, du discernement dans le choix des autorités, & une noblesse d'expressions assorties aux événemens qu'on raconte : or, c'est ce que M. 

816. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 171-172

Il est sans doute dans la regle que la foiblesse & la timidité ne jouissent point, aux yeux du Public, de la gloire d'un Ecrit qui ne peut être que l'effet du zele & du courage ; mais cette timidité va jusqu'à la crainte servile, quand elle s'empresse avec affectation de désavouer ce que tout honnête Littérateur voudroit avoir fait pour l'honneur des Lettres, les intérêts de la justice & de la vérité.

817. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 406-407

Il faut donc conclure que la vaine gloire, écueil ordinaire des talens, n'a jamais produit que l'odieux ou le ridicule, & qu'il seroit à souhaiter que les exemples n'en fussent pas trop multipliés, pour l'honneur des Lettres & le véritable intérêt des Auteurs.

818. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 424-425

Vernes à le faire disparoître entiérement, & pour le succès de ses bonnes intentions, & pour l'intérêt de sa gloire.

819. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 513-514

On doit encore à cet Auteur un petit Ouvrage en faveur de la Religion, qui se fait lire avec intérêt : il a pour titre, Motifs de ma Foi.

820. (1854) Causeries littéraires pp. 1-353

L’épisode des faux Démétrius, qui résume ces divers traits dans un cadre à part, et avec tout l’intérêt d’un roman, ne pouvait manquer d’attirer l’attention de M.  […] qu’un pareil sujet renfermait des conditions d’intérêt suffisantes, et qu’il était inutile de multiplier les ressorts d’une action si heureusement choisie et si nettement indiquée. […] Nous le répétons, cet ensemble ne manque ni d’intérêt, ni d’émotion, ni de vérité ; mais il n’y a pas là de comédie. […] Si tant de gens appelés primitivement à des destinées meilleures se sont rejetés sur cette vie commode, sur ces intérêts matériels qui énervent et amoindrissent tout, et dont M.  […] Pour que l’on accordât à sa vie un intérêt plus sérieux et une pitié plus ardente, il lui a manqué qu’on fût plus sûr de sa mort.

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