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16. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « M. Rodolphe Topffer »

Au dernier jour, comme il y a vingt ans, voué tout entier à ce qu’il appelait le charme obscur des affections solides , on l’eût vu accoudé, le soir, entre son vénérable père, sa digne compagne, ses nombreux enfants et quelques amis de choix, confondre le sérieux dans la gaieté, et faire éclore la leçon en passe-temps. […] Aussi, malgré ses souffrances des derniers temps, malgré les douleurs si légitimes et si inconsolables qu’il laisse en des cœurs fidèles, pourrait-on se risquer à trouver que cette fin même est heureuse, et que sa destinée tranchée avant l’heure a pourtant été complète, si un père octogénaire ne lui survivait : les funérailles des fils, on l’a dit, sont toujours contre la nature quand les parents y assistent. […] En 1842, il fit avec son pensionnat son dernier grand voyage alpestre au mont Blanc et au Grimsel. […] Ses yeux, qui s’étaient opposés dès sa jeunesse à ce qu’il continuât, il n’avait plus à les ménager désormais, et il leur demandait comme une dernière sensation d’artiste ce jeu, cette harmonie des couleurs vers laquelle il se sentait irrésistiblement appelé ; il s’enivrait d’un dernier rayon. […] C’est ainsi que lui-même nous les a montrés autrefois dans son gai récit de la Peur ; c’est ainsi qu’il y revenait plus mélancoliquement dans son dernier roman de Rosa et Gertrude.

17. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « La marquise de Créqui — III » pp. 476-491

Cela est vrai des deux derniers siècles, et depuis Mme Cornuel jusqu’à Mme de Créqui. […] On l’eût retrouvé, par exemple, au suprême degré dans le salon de la princesse de Poix, un de ses derniers asiles. Je viens de lire une très agréable et fidèle description de ce monde-là par une personne plus jeune et qui en avait reçu dès le berceau les dernières et intimes élégances, par une personne de notre temps, et qui n’a disparu que d’hier. […] Son fils mourut deux ans avant elle, lui laissant des ennuis derniers et des embarras d’affaires, et prolongeant ses torts envers elle jusqu’au-delà de la mort. […] mais elle avait eu une très jolie taille, la peau très blanche et des yeux très éclatants, qui avaient conservé leur vivacité jusque dans ses derniers jours ; avec ces avantages, c’est trop de dire qu’elle était laide.

18. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (6e partie) » pp. 129-176

Il espéra jusqu’au dernier moment dans un retour de l’amitié. […] Il avait repris son calme au dernier moment. […] Ce furent ses derniers mots. […] Elle fit en peu de mots ses derniers adieux et ses pieuses recommandations à sa nièce. […] Sa dernière pensée fut un scrupule de pudeur.

19. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — [Note.] » pp. 444-445

Quoique le résultat de mes dernières lectures et de mes réflexions sur la cause réelle qui a pu déterminer le suicide de Léopold Robert soit le doute et que je n’exclue aucune explication, je suis de ceux qui ne font pas la part la plus grande, dans son acte fatal, à un désespoir d’amour, et je ne puis m’empêcher de donner raison à M.  […] Que notre pauvre ami ait été amoureux de la princesse Bonaparte, c’est possible ; mais, dans tous les cas, cet amour n’aurait occupé que les trois dernières années de sa vie, et dans ces trois années il n’a fait que Les Pêcheurs. […] C’est ce besoin qui le fait gratter, changer et refaire si souvent son dernier tableau : car depuis son dernier voyage à Paris et l’immense succès de ses Moissonneurs, il avait perdu la naïve bonhomie de Rome.

20. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre cinquième »

Corneille, Racine, Molière, les deux derniers surtout, avaient été les plus savants dans leur art. […] Le drame voulait une dernière explication entre Orosmane et Zaïre ; la vérité voulait un dernier combat. […] Pour dernier malheur, la plupart de ses retouches lui étaient suggérées par ses amis. […] Il survit au malheur, à la vieillesse ; les derniers actes de Louis XIV sont d’un héros, les dernières lueurs du génie de Corneille sont des vers sublimes. […] J’ai lu Tibère une dernière fois, dirais-je pour la dernière fois ?

21. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Appendice. »

« Dans les derniers temps, ayant usé cette passion qu’il avait eue pour les grandes dames et les héroïnes de la Fronde, M.  […] Thiers ; mais dans les dernières années M.  […] Sous ces dernières formes il était bien assez fécond et inépuisable. […] Les dernières années si remplies pour elle de vicissitudes, les dernières révolutions auxquelles elle assista, la laissèrent calme, tranquille, non étonnée, raisonnable toujours. […] Guizot a été indigne pour moi », répétait-il jusque dans les derniers temps.

22. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « M. Viguier »

M.Viguier, ancien inspecteur général de l’Université, ancien directeur des études et maître de conférences à l’École normale, est mort le 11 octobre dernier à Précy-sur-Oise, où il vivait retiré depuis quelque temps. […] J’en serais pourtant fâché, et je ne voudrais pas, avec ce faux air de cosmopolite, perdre la sympathie des amis de mon village et de mon voisinage, auxquels je pense sans cesse et que je reviendrai voir à temps, j’espère, avant les glaces de l’âge infirme et solitaire ; mais laissez-moi courir ma dernière course. » Cette course dernière ne venait jamais. […] Promeneur amusé de Munich à Vienne, de Vienne à Venise, de Venise à Milan, et se reprochant les agréments mêmes du séjour, un certain charme de sociabilité qu’il rencontrait d’autant mieux chez les autres qu’il le portait avec lui, il écrivait encore : « Dans le voyage de la vie, il ne faut pas trop s’approcher aux stations de passage où l’on ne peut pas compter de retourner, parce qu’après tout, et avant tout, il faut compter sur le poste final de la famille et des vieux amis, où nous attendent le dernier banc au soleil ou à l’ombre, et nos derniers tisons. » Il a eu son dernier banc au soleil. […] Il m’a été donné de le voir dans les dernières phases de sa maladie, et de représenter, auprès de son lit de mort et de son cercueil, ses anciens camarades absents ou informés trop tard de la catastrophe. […] Théodore Gaillard, le parfait traducteur du De Oratore et dont le travail, une dernière fois revu et retouché, venait de paraître : « (Heidelberg, 25 décembre 1852)… Vous avez aussi très-bien fait de voir M. 

23. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Correspondance de Lammenais » pp. 22-43

Car la Vérité triomphera, cette Vérité « qui seule, dit-il, a eu ses premières années, et qui aura ses dernières » ; mais quellevérité ? […] Ce n’est que de guerre lasse et de désespoir qu’il se jeta dans les bras du parti contraire : il ne prit pour nouvelle et dernière formule : Tout pour le peuple et par le peuple ! […] On sait le reste ; on sait que sa dernière navigation ne fut pas plus exempte que l’autre de bourrasques et de tempêtes. […] Les Lettres de Lamennais publiées déjà ou encore à publier, corrigeront heureusement ce que ses derniers excès de parole en 1848 avaient pu laisser de trop défavorable dans les esprits à son sujet ; elles le montrent au naturel, avec tous ses défauts, avec ses compensations et ses avantages. […] L’avenir ne le reniera pas ; sa dernière forme, dégagée de quelques violences qui de loin, déjà, nous font seulement sourire, prévaudra dans la mémoire ; son dernier geste, dès qu’on veut bien oublier l’énergumène ou l’enfant colère, est d’un ami touché de tendresse jusqu’au fond de l’âme pour ceux qui viendront.

24. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Malherbe et son école. Mémoire sur la vie de Malherbe et sur ses œuvres par M. de Gournay, de l’Académie de Caen (1852.) » pp. 67-87

Celles-ci sont des derniers temps de sa vie ; car sa vieillesse est allée jusqu’au terme en s’affermissant et se perfectionnant. […] Le piquant, c’est qu’il ne démasque son intention que dans les derniers vers de la pièce : rien jusque-là n’avertit que ces peintures vives et riantes ne soient qu’un transport de l’imagination et un caprice de l’esprit chez celui qui s’y livre. Les meilleurs critiques ont repoussé l’idée que, même en étant averti, on pût y saisir de l’ironie jusqu’au dernier instant où seulement elle éclate. […] Jeune, il avait été attaché comme secrétaire à la reine Marguerite, la première femme de Henri IV, lorsqu’elle vint dans les derniers temps habiter à Paris. […]     Tu vois de près ta dernière saison ; Tout le monde connaît ton nom et ton visage, Et tu n’es pas connu de ta propre raison.

25. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Gibbon. — II. (Fin.) » pp. 452-472

Ce premier volume fut suivi de cinq autres dont deux parurent en 1781, et les trois derniers en 1788. […] C’est là qu’il écrit les derniers volumes de son Histoire, et qu’il se réjouit d’être sorti de ces luttes publiques où il n’était qu’un spectateur souvent fatigué, un acteur sans éclat et sans vertu. […] Au retour d’un voyage qu’il fit en Angleterre dans l’année 1788, pour la publication de ses derniers volumes, il retrouva son ami Deyverdun malade, sujet à des attaques d’apoplexie qui bientôt l’enlevèrent, et il fut longtemps à se réconcilier avec l’habitation charmante, veuve désormais de son ami. […] La Révolution française, dont les premiers événements jetèrent tant d’émigrés français au bord du lac de Genève, fut la grande préoccupation des dernières années de Gibbon. […] Quelques lettres même, les dernières, ont des accents d’émotion qu’on n’attendrait pas ; celle qu’il écrit à lord Sheffield à la première nouvelle de son malheur, et au moment de partir pour le rejoindre, est belle et touchante ; on dirait presque qu’un éclair de religion y a passé.

26. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Ma biographie »

Il y avait en dernier lieu organisé l’octroi, et il était contrôleur principal des droits réunis lorsqu’il mourut. […] Vers le temps de Pâques et pendant les derniers mois, M.  […] Madame, je n’ai point écrit en réponse à votre lettre du dernier trimestre. […] Sainte-Beuve, à l’autre extrémité de sa vie, à ses derniers mois, lorsque M. de Lamartine est mort (le 28 février 1869), M.  […] Cette publication doit compter en dernier lieu dans sa Bibliographie. — Son dernier article, et qu’il n’a pas achevé, a été sur les Mémoires de M. le comte d’Alton-Shée, son cousin.

27. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite et fin.) »

Il avait ses quatre-vingt-quatre ans sonnés ; il voulut honorer publiquement sa fin et, avant le tomber du rideau, ménager à la pièce une dernière scène. […] De là cette séance académique qui fut son dernier succès et qui couronna sa carrière. […] Le brouillon revu par lui fut trouvé bon à Rome ; mais, quand il en revint, M. de Talleyrand le garda dans son secrétaire, décidé à ne le signer qu’au dernier moment. […] Pendant toute la journée du mercredi, l’effort de ses proches fut pour hâter sa détermination et l’exhorter à ses derniers devoirs. […] J’ai lu vos deux derniers articles sur ce bon sujet de Talleyrand, comme disait M. de Maistre dans ses lettres.

28. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Œuvres françaises de Joachim Du Bellay. [III] »

Poétiquement, il employa les années qui suivirent son retour à mettre en ordre ses derniers vers et à les publier : vers français, vers latins, il donna tout. […] Revillout et provenant de la bibliothèque du président Bouhier, ont mis en lumière tout ce côté ecclésiastique et contentieux des dernières années de notre poète. […] La santé de Du Bellay, ne l’oublions pas, était totalement ruinée dans les dernières années de sa vie. […] Que ne dut-il pas dire à plus forte raison lorsqu’on lui fit voir ce dernier Recueil tout plein, dans sa dernière partie, d’amourettes et de légèretés ? […]  Le tome second et dernier des Œuvres françoises de Du Bellay, données par M. 

29. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Le président Jeannin. — III. (Fin.) » pp. 162-179

Les archiducs étaient sincères ; leurs habiles députés désiraient véritablement une conclusion : mais on était loin de Madrid, qui ne disait pas son dernier mot, et qui le retenait jusqu’au dernier instant. […] Grâce au président Jeannin et à son ménagement habile, à ses expédients ou, pour mieux dire, aux ressources de ce bon sens continu, entremêlé et aidé d’éloquence, le projet d’une trêve de douze ans alla à bon port : le traité entre les députés des archiducs et ceux des États-Généraux de Hollande fut conclu en avril 1609, par l’entremise des ambassadeurs de France et d’Angleterre, et garanti par ces deux dernières puissances. […] Sully, lui écrivant dans les derniers mois, n’avait pu s’empêcher de le louer : J’ai toujours fort estimé la vivacité de votre esprit et la solidité de votre jugement, lui disait ce témoin difficile, mais ces dernières actions m’en donnent meilleure opinion que jamais, ayant su vous débarrasser de tant de diversités et opinions différentes qui tombent d’heure à autre dans l’esprit de toutes les parties avec lesquelles vous avez à traiter ; car non seulement il faut concilier deux ou trois partis fort éloignés de désirs et intentions les uns des autres, mais il semble que vous ayez à faire autant de traités qu’il y a de personnes d’autorité de tous bords, y ayant autant d’opinions que de têtes. […] La faveur du président auprès de Henri IV dans les dernières années était grande. […] Il se préparait à aller jouir du repos en sa maison de Montjeu près d’Autun, et d’où l’on a une des plus belles vues sur la ville et le pays, lorsqu’il mourut à Paris, le 31 octobre 1622. disent toutes les biographies ; cependant, comme il y a des lettres de lui qu’on présente comme datées des deux premiers mois de 1623, j’incline à croire que la vraie date de sa mort est des derniers jours de février ou peut-être de mars de cette même année.

30. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XIII. Dernière semaine de Jésus. »

Il partit, en effet, avec ses disciples, pour revoir une dernière fois la ville incrédule. […] Une grande tristesse paraît, en ces dernières journées, avoir rempli l’âme, d’ordinaire si gaie et si sereine, de Jésus. […] Tout ce qu’il est permis de dire c’est que, durant ses derniers jours, le poids énorme de la mission qu’il avait acceptée pesa cruellement sur Jésus. […] Le soir, il fit avec ses disciples son dernier repas. […] Ce qu’on se rappelle le mieux d’une personne chère, ce sont ses derniers temps.

31. (1854) Préface à Antoine Furetière, Le Roman bourgeois pp. 5-22

Les malheurs qui l’ont assailli dans ses dernières années ne l’excusent que trop de s’être manqué de parole à lui-même. […] Les démêlés de Furetière avec l’Académie ont été, en dernier lieu, analysés par M.  […] Dernier placet et très humbles remontrances à monseigneur le chancelier. […] Dernier placet. […] Dernier placet.

32. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Waterloo, par M. Thiers (suite) »

Napoléon lui ordonne d’attendre pour une dernière attaque, et lui envoie provisoirement les cuirassiers de Milhaud. […] Au dernier terme, il ne faut plus à Ney qu’un effort pour saisir la victoire ; les lignes anglaises sont trouées ou ébranlées de toutes parts ; la première ligne, la seconde est rompue, il ne reste à percer que la troisième et dernière ; un peu d’infanterie déciderait tout : Ney en fait demander en toute hâte à Napoléon par son aide de camp Heymès. « De l’infanterie ! […] Quelles furent les dernières heures de la bataille ? […] Celui-ci semble en être au dernier quart d’heure de résistance. […] J’ai souffert, je l’avoue, de cette discussion dernière si prolongée au sujet de ce cri suprême.

33. (1875) Premiers lundis. Tome III « Profession de foi »

Aujourd’hui que le Globe est placé plus qu’il ne l’a jamais été depuis la révolution de Juillet sur un terrain solide et nettement dessiné ; aujourd’hui que sa nouvelle position en politique, en économie, en philosophie, en art et en religion, devient de plus en plus appréciable et notoire ; aujourd’hui enfin, pour tout dire, que le Globe est le journal reconnu et avoué de la doctrine saint-simonienne ; nous, qui ne l’avons abandonné dans aucune de ses phases, nous qui avons assisté et contribué à sa naissance il y a sept ans, coopéré à ses divers travaux depuis lors, qui avons provoqué et produit plus particulièrement ses transformations récentes ; nous qui avons suivi toujours, et, dans quelques-unes des dernières circonstances, dirigé sa marche ; qui, sciemment et dans la plénitude de notre loyauté, l’avons poussé et mis là où il est présentement, nous croyons bon, utile, honorable de nous expliquer une première et dernière fois par devant le public, sur les variations successives du journal auquel notre nom est demeuré attaché ; de rendre un compte sincère des idées et des sentiments qui nous ont amené où nous sommes ; et de montrer la raison secrète, la logique véritable de ce qui a pu sembler pur hasard et inconsistance dans les destinées d’une feuille que le pays a toujours trouvée dans des voies d’honneur et de conviction. […] S’affranchissant des liens étroits d’une nationalité égoïste, il admirait et glorifiait aux yeux de la France les grands poëtes de l’Angleterre et de l’Allemagne ; il généralisait les idées d’art, les tirait de l’ornière des derniers siècles, provoquait des œuvres, applaudissait sans flatterie aux essais nationaux et méritait que Goethe déclarât apercevoir dans cet ensemble de travaux et d’efforts les symptômes d’une littérature européenne nouvelle. […] C’est qu’en effet il y avait quelque vague dans ces idées, quelque nuage étendu devant les conséquences dernières vers lesquelles on se poussait avec plus de foi que de clairvoyance. […] Les derniers événements d’ailleurs nous avaient appris à ne plus désespérer du progrès, quelque lointain qu’il parût, et à croire au règne, tôt ou tard nécessaire, des idées les plus vraies et des sentiments les plus larges. […] Car, nous y insistons, il y a, depuis le premier numéro du Globe jusqu’au dernier, dans sa pensée première, dans le but général qu’il poursuivait, dans une portion constante de sa direction et de ses travaux, une raison profonde pour qu’il ait suivi la marche qu’il a suivie, pour qu’il ait passé par ses transformations diverses, et pour qu’il soit aujourd’hui aux mains dans lesquelles il est.

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