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477. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Mélanges religieux, historiques, politiques et littéraires. par M. Louis Veuillot. » pp. 64-81

« Il est doué d’une haute taille, d’une voix assez nette, d’un beau galon d’officier du roi, qui se voit même sur ses habits bourgeois. […] voilà l’orateur en personne, au verbe enflammé, à la voix pénétrante comme un glaive, au timbre inflexible et sonore ; et des armes si belles sont au service d’une sainte cause. […] Nous y retrouvons de petits romans dans lesquels tout est beau et parfait d’une part, tout est laid et gâté de l’autre, selon qu’on est ou qu’on n’est pas bon catholique. […] Il y a un certain progrès de civilisation, un certain résultat de lumières (vous avez beau rire) qui a filtré jusqu’à lui, et qui me le fait très-bien supporter quelque temps, à travers ses ridicules. […] Ai-je, d’un jour si beau, vu le doux lendemain ?

478. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Lettres d’Eugénie de Guérin, publiées par M. Trébutien. »

Les nouvelles lettres n’ajouteront rien d’essentiel à l’idée qu’on avait pu se faire d’elle, mais elles contribueront à développer l’aimable portrait, ce modèle de belle âme religieuse et poétique, et à le mettre de plus en plus dans tout son jour. […] Nous autres gens du moins beau monde, nous avons besoin qu’on nous parle clair et de savoir vite et avec netteté de qui il s’agit. […] Type est un assez vilain mot, bien sec et bien roide, mais c’est une belle chose. L’avantage qu’il y a à passer à l’état de type, c’est que quand vous n’avez pas tout ce qu’il faut pour remplir la condition, on vous le prête ; on vous donne le coup de pouce en beau et l’on vous achève. […] Savez-vous que nous sommes bien aveugles, bien insensés, bien bêles de ne nous occuper que do ce monde, de nous amuser à des bagatelles, de prendre racine ici-bas, comme si l’éternité nous y était promise, et d’oublier cet autre monde, ce beau royaume ?

479. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Mémoires du comte Beugnot »

Ainsi en mesure et en règle à ses propres yeux, il le faisait bien vite payer aux autres ; il en est quitte pour se rattraper sur autrui : et, par exemple, le pauvre avocat, Me Doitot, qui, à son refus, accepte la défense de Mme de Lamotte, se voit drapé par lui de la belle manière. […] Beugnot, celui pour lequel il était le plus fait par la nature de son esprit et par ses goûts, c’est la fin des belles années de Louis XVI, au lendemain de la guerre d’Amérique, l’heure de la popularité suprême et du dernier éclat des parlements. […] Dambray au Palais ; c’est un jeune avocat qui suit les cours du Lycée et qui fait de beaux mémoires. […] Je sais toutes les exceptions qu’on peut faire, elles me reviennent et se lèvent devant moi en ce moment : je salue tous ces grands beaux hommes spirituels ; mais en fait il n’en est pas moins vrai que cela semble une singularité de trouver l’esprit d’un abbé Galiani dans le corps d’un grenadier. […] Mais il a beau en être l’auteur, il a beau être le souffleur tout trouvé en chaque rencontre pour ces sortes d’à-propos monarchiques, il est mal récompensé.

480. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « GLANES, PÖESIES PAR MADEMOISELLE LOUISE BERTIN. » pp. 307-327

Les Roches, terrain neutre, asile hospitalier, prêtèrent leurs beaux ombrages, leurs allées tournantes, leur gaie rivière et leur île des Conférences à ces essais, bientôt désintéressés et plutôt affectueux, qu’on fit des esprits et des personnes. […] Je voudrais pouvoir citer tout entière la pièce intitulée Prière, qui joint à l’essor des plus belles harmonies une réalité et une intimité de sentiments tout à fait profondes. […] dans ce beau lieu paré De tes plus charmantes étoiles, Cache mon âme ; elle a pleuré ; Couvre-la bien de tes longs voiles ! […] A la manière dont le corps de bataille m’apparaît rangé et comme en si bel ordre après la lutte, il est évident que je ne considère point la bataille elle-même comme perdue. […] Un bel âge littéraire complet, ou du moins une vraie gloire de poëte de premier ordre, serait un bonheur et un coup de fortune pour tous ceux de valeur qui l’auraient précédé.

481. (1936) Réflexions sur la littérature « 6. Cristallisations » pp. 60-71

Camille Mauclair vient de reprendre dans la Magie de l’amour le beau problème de la cristallisation amoureuse. […] J’ai lu le raisonnement suivant de Mme Aurel, que je mets en syllogisme pour être plus court : « il n’y a rien de plus beau qu’une belle lettre d’amour. — Les plus belles lettres d’amour sont écrites par des femmes. — Donc le jour où les femmes feront imprimer des lettres d’amour de 300 pages in-18 sous couverture jaune-paille, elles auront écrit les plus beaux livres du monde. » Attendons. […] Son Charles Baudelaire, ses monographies sur la peinture du XVIIIe siècle, sa Religion de la musique, montrent excellemment à quel point cette place centrale dans le monde du beau permet une critique riche et vivante. […] Mauclair qui ne s’en souvenait sans doute pas à ce moment, nous en a rendu le sens et même un peu le mouvement dans son très beau morceau sur la Vieillesse des amants. […] Mais la cristallisation amoureuse et la cristallisation artistique seraient-elles si belles et iraient-elles si haut, si elles n’avaient devant elles, parfois comme leur mur de prison et parfois comme leur image idéale, la cristallisation sociale ?

482. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIVe entretien. Cicéron (3e partie) » pp. 257-336

De quelle manière vous traiteriez un si beau sujet ! […] Que l’éloquence est belle ! […] On dirait que la lumière d’une belle âme y découle sans ombre sur le plus bel esprit de tous les temps. […] Montaigne a sa grâce gauloise, mais il n’a pas sa grâce attique et sa conviction dans le juste et le beau. […] C’est le plus beau nom de toutes les littératures dans tous les âges ; il a écrit, parlé, achevé la plus belle des langues occidentales ; et, quand l’Italie n’aurait produit que Cicéron, elle serait encore la reine des siècles.

483. (1856) Cours familier de littérature. I « IVe entretien. [Philosophie et littérature de l’Inde primitive (suite)]. I » pp. 241-320

Ce n’est donc pas l’utile qui constitue la poésie, c’est le beau. […] Le beau et le saint sont sérieux. Il s’agit du beau. […] Hâte-toi, ô bel arbre, de me délivrer de mes souffrances ! […] Ô bel arbre, que ton nom soit une vérité pour moi ! 

484. (1932) Le clavecin de Diderot

Après ce beau début, je m’abstins plusieurs mois d’aller puiser aux sources du vieux français. […] du 1er janvier 1932 (les belles étrennes !) […] Une Africaine, belle d’indolence, dans sa collection quel joyau ! […] Les évangélistes ont eu beau mettre les bouchées doubles, en un siècle, ou deux, ou même trois, on ne saurait obtenir ces belles angoisses, dont, deux mille années ont si joliment flétri la chair du monde catholique. […] Alors, les doigts ont beau s’exercer, nulle oreille ne peut, de ces exercices, être nourrie.

485. (1906) Propos de théâtre. Troisième série

Il n’y a rien de plus beau au monde. […] C’est bien plus beau comme cela. […] Ce n’est que beau. […] L’une et l’autre est belle et peu salutaire. […] C’est beau ; et ce n’est pas seulement beau, ce qui ne serait rien ; c’est juste ; c’est parfaitement juste.

486. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Massillon. — I. » pp. 1-19

Ces premiers sermons du père Massillon (comme on l’appelait alors), son Avent, son Grand Carême, composent la partie la plus considérable et la plus belle de son œuvre oratoire. […] Telle est l’impression que me fait Massillon, lu aujourd’hui et étudié dans ses pages toujours belles, mais régulières et calmées. […] Est-ce Massillon, est-ce Bernardin de Saint-Pierre plus chrétien, est-ce Chateaubriand faisant parler le père Aubry à la mourante Atala, mais dans un langage plus pur et que Fontanes aurait retouché, — lequel est-ce des trois, on pourrait le demander, qui a écrit cette belle et douce page de morale mélodieuse, cette plainte humaine qui est comme un chant ? […] Cette bouche d’or, qui avait rempli le Temple, ce beau vase sonore et qui rendait des sons si humains et si divins tout ensemble, n’était point destiné à être la colonne pour porter le faix. […] M. de Sacy, à qui l’on doit cette remarque, s’étonne que personne n’ait jamais indiqué ce sermon au nombre des meilleurs et des plus beaux de Massillon.

487. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Bossuet. Lettres sur Bossuet à un homme d’État, par M. Poujoulat, 1854. — Portrait de Bossuet, par M. de Lamartine, dans Le Civilisateur, 1854. — II. (Fin.) » pp. 198-216

— Le second point est tout moral et très beau. […] Montaigne (il le nomme en chaire) a beau dire, il a beau tenir en échec la foi, rabaisser la nature humaine, et la comparer aux bêtes en lui donnant souvent le dessous : Mais dites-moi, subtil philosophe, qui vous riez si finement de l’homme qui s’imagine être quelque chose, compterez-vous encore pour rien de connaître Dieu ? […] À la vérité, chrétiens, ils sont dignes d’être distingués des autres, et ils font un des plus beaux ornements du monde. […] Comme particularité littéraire, il est à noter que dans ces sermons de Bossuet il y a de très beaux endroits qu’on rencontre répétés jusqu’à deux et trois fois d’un discours à l’autre. […] Il y a des beautés dans ces deux discours ; on cite souvent, de l’Oraison funèbre du père Bourgoing, un beau morceau sur l’institution de l’Oratoire.

488. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Charron — II » pp. 254-269

Prud’homie parfaite, selon lui, a pour fondement « un esprit universel, galant, libre, ouvert et généreux, un esprit voyant partout, s’égayant par toute l’étendue belle et universelle du monde et de la nature ». […] On citerait de Charron quantité de beaux et judicieux passages pour la tolérance et contre les dogmatistes opiniâtres, qui veulent donner la loi au monde : « Où le moyen ordinaire fait défaut, l’on y ajoute le commandement, la force, le fer, le feu. » Il parle avec bien de l’humanité et du bon sens contre la question et la torture : avec bien du sens aussi contre l’autorité en matière de science. […] En retraçant un portrait du parfait souverain en ces belles années de Henri IV, il semble quelquefois dessiner d’après nature, mais il laisse aux lecteurs les applications à faire, et il ne le dit pas. […] Il est ici fort loué ; on dit qu’il écrit presque aussi bien que Balzac. » Ce dernier éloge portait à faux ; Chanet n’écrit point pour faire de belles phrases ni en rhétoricien, mais seulement pour exprimer sa pensée. […] On a beau admettre toutes les formes de maturité et d’expérience ; on a beau se dire que Charron était un de ces esprits à qui il n’est pas donné de faire leur initiation par eux-mêmes, de se donner l’impulsion, qui l’attendent d’autrui, mais qui n’ont besoin que de ce premier mouvement, de cette chiquenaude du voisin, pour prendre leur assiette et arriver à la pleine possession de leur pensée ; on a beau se donner cette explication, il reste un coin d’obscurité et d’incertitude.

489. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Henri IV écrivain. par M. Eugène Jung, ancien élève de l’École normale, docteur es lettres. — I » pp. 351-368

La comtesse de Guiche, ensuite de Grammont, appelée la belle Corisandre, fille d’un brave seigneur, M. d’Andouins, fut, avant Gabrielle, la maîtresse en titre de Henri tandis qu’il chevauchait dans le Midi et qu’il faisait son rude métier de roi de Navarre. […] La terre très pleine de blés et très beaux. […] Je baise mes beaux yeux par millions de fois. […] C’était bien celui qui écrivait à la comtesse de Grammont : « Bonsoir, mon âme, je voudrais être au coin de votre foyer pour réchauffer votre potage. » Il lui aurait fallu une femme belle, accorte, pas trop jalouse et d’agréable humeur, douce à vivre, et sachant le prendre, comme on dit. […] Il ne faut pas trop voir le lendemain de ces belles passions.

490. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Œuvres inédites de P. de Ronsard, recueillies et publiées par M. Prosper Blanchemain, 1 vol. petit in-8°, Paris, Auguste Aubry, 1856. Étude sur Ronsard, considéré comme imitateur d’Homère et de Pindare, par M. Eugène Gandar, ancien membre de l’École française d’Athènes, 1 vol. in-8°, Metz, 1854. — I » pp. 57-75

Et, en effet, à ce grand moment de la Renaissance, lorsqu’au sortir de l’étude fervente des belles œuvres de l’Antiquité on s’était retrouvé en présence d’une poésie française naturelle, élégante, mais peu élevée, on avait eu conscience à cet égard de la pauvreté domestique ; on avait fait effort pour en triompher, et pour monter une lyre au ton des plus graves et des plus héroïques desseins. […] Il est de belle taille, de mine élégante, alerte et adroit aux exercices du corps, le front ouvert, l’air noble et généreux ; il a la conversation agréable et facile. […] Il a à cœur d’illustrer, de promouvoir notre langue, et de montrer aux étrangers qu’elle devancerait la leur, si ces beaux diseurs médisants, qui s’attaquent déjà à lui et qui combattent proprement des ombres (il les appelle d’un mot grec effrayant, Sciamaches), voulaient aussi bien s’appliquer à la défendre et à la propager. […] […] Quand vous serez ensemble bien unies L’Amour, la Foi, deux belles compagnies, Viendront ça bas le cœur nous échauffer : Puis sans harnois, sans armes et sans fer, Et sans le dos d’un corselet vous ceindre. […] le temps non, mais nous nous en allons, Et tôt serons étendus sous la lame : Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle : Pour ce aimez-moi cependant qu’êtes belle.

491. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Salammbô par M. Gustave Flaubert. Suite et fin. » pp. 73-95

L’auteur s’est refusé là un beau contraste et une lumière. […] Ce dont il faudrait plutôt s’étonner, c’est de la force, de l’habileté, des ressources qu’il a déployées dans l’exécution d’une entreprise impossible et comme désespérée ; mais il a eu beau faire appel de toutes parts à l’érudition et aux descriptions, il a eu beau, en fait d’inventions personnelles, entasser Ossa sur Pélion, Pélion sur Ossa, il n’a pu communiquer à son œuvre l’intérêt réel et la vie. […] Il y a de bons et beaux paragraphes, et j’en ai cité, mais peu d’heureuses pages. […] Pourquoi l’auteur si en quête des moindres bribes d’érudition, n’a-t-il pas commencé par se pénétrer du beau chapitre de Montesquieu sur le Parallèle de Carthage et de Rome ? […] Voilà la forme juste et vraie dans laquelle pouvait se produire un beau travail d’érudit et d’artiste sur la civilisation carthaginoise.

492. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Études de politique et de philosophie religieuse, par M. Adolphe Guéroult. »

  On aura beau dire, on ne me fera pas croire que la presse ne remue pas en ce moment. […] Lisez dans ce volume qu’il vient de publier le beau chapitre sur la musique religieuse, qui remonte à 1832. […] Cependant vous avez eu le temps de remarquer que les chœurs mollissent et que les voix de femmes surtout manquent de vigueur dans l’attaque, qu’un trombone a émis un son d’une justesse douteuse ; et, la messe finie, vous sortez en vous demandant comment il se fait que les chœurs français soient si inférieurs à ceux de l’Allemagne et en regrettant vivement qu’une musique aussi belle ne soit pas rendue avec toute la perfection désirable. […] Vous sortez dilettante et non pas chrétien. » Belle et très-belle page, qui tiendrait son rang en tout lieu et en toute compagnie ! […] ce seul nom cependant est si beau, et la chose en elle-même si digne d’envie ; elle est si chère à ceux qui l’ont adoptée à l’heure où l’on croit et où l’on aime, et qui sont restés fidèles à ce premier idéal trop souvent brisé ; elle a été tellement notre rêve à tous, notre idole dans nos belles années ; elle répond si bien, jusque dans son vague, aux aspirations des âmes bien nées et trouve si bien son écho dans les nobles cœurs, qu’on hésite à venir y porter l’analyse, à la vouloir examiner et décomposer.

493. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « La reine Marie Legkzinska »

— Non, ma fille, reprit Stanislas : le Ciel nous est bien plus favorable, vous êtes reine de France. » La jeune fille, douce, modeste, soumise, assez peu aimée de sa mère, adorée de son père, voyait se réaliser le plus beau songe. […] Ni belle ni laide, laide même, si l’on veut, mais assez agréable d’ensemble, ce fut l’impression générale qu’on eut d’elle à première vue, et chacun se louait de sa modestie, de sa raison, de sa bonté. […] On avait remarqué dès son arrivée que Mme de Prie, dont elle était assurément le plus bel ouvrage et qui devait en être fière, l’accompagnait partout et ne la quittait non plus que son ombre. […] On a dansé après souper ; et, si cela recommence souvent, il n’est pas impossible que quelque belle courageuse ne mette la main sur le roi. » Mais il fallut quelques années de stage encore. […] J’avoue ma perplexité : nous sommes ici avec la reine devant des portraits assez différents ; c’est bien la même personne, mais elle est vue par les uns bien en beau, et par les autres assez en laid.

494. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Réception de M. le Cte Alfred de Vigny à l’Académie française. M. Étienne. »

Il s’avisa, à son entrée (1640), d’adresser un si beau remercîment à la Compagnie, qu’on obligea tous ceux qui furent reçus depuis d’en faire autant. […] Perrault, qui mettait les modernes si fort au-dessus des anciens, comptait parmi les plus beaux avantages de son siècle cette cérémonie académique, dont il était le premier auteur. […] Molé, où rien n’est hors d’œuvre, me rappelle à cette séance de tout à l’heure, qui avait commencé par être des plus belles et qui a fini par être des plus intéressantes. […] quand on a la voix belle, pourquoi ne pas chanter juste toujours ? […] Molé, parlant au nom de l’Académie, a donné un bel exemple : « Le moment n’est-il pas venu, s’est-il écrié en finissant, de mettre un terme à ces disputes ?

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