Il l’a fait avec une entière générosité, et j’ai pu passer plusieurs matinées, seul et entouré de notes manuscrites, d’essais philosophiques, de projets de constitutions, et surtout de lettres intimes, de confidences familières, de celles que le plus confiant ne fait qu’à soi-même et que le plus méfiant n’épanche sur le papier qu’en ses heures de grande amertume. […] Cet art social, que Sieyès se piquait d’avoir découvert, ou du moins professé le premier, consistait surtout dans la division du travail, appliquée aux diverses fonctions et aux divers pouvoirs de la société. […] Dès qu’elles sont pleines de sottises ou de vérités, elles sont contentes. » Il y a des sciences entières fausses, c’est-à-dire fondées sur ce qui n’est pas (on voit bien qu’il en veut surtout à la théologie et à l’ancienne métaphysique), et ces sciences doivent leur origine à de faux rapports revêtus de mots dont se paye ensuite le vulgaire et même la foule des lettrés : Les signes restent, dit-il, et portent dans les générations suivantes l’existence des chimères et l’épouvante qu’elles causent. […] À la suite de ces vers, où l’on reconnaît l’ami de La Fontaine, je lis, écrites de la main de Sieyès également, des pensées latines extraites de Salluste et surtout de Lucain ; entre autres : « Jusque datum sceleri » (Le crime eut force de loi), dont il a fait usage dans la Notice qu’il publia sur sa propre vie en l’an III, et cet autre passage : « … Ruit irrevocabile vulgus », qui exprime la force fatale de la démocratie triomphante. […] C’est donc folie que de parler avec eux, et surtout que de chercher à les instruire.
Aussi, « ce qui doit mériter la gloire dans l’art, et il faut comprendre sous ce mot toutes les créations de la pensée, c’est surtout le courage ; un courage dont le vulgaire ne se doute pas ; penser, rêver, concevoir de belles œuvres, est une occupation délicieuse, c’est mener la vie de courtisane occupée à sa fantaisie, mais produire ! […] Le génie est caractérisé, soit par un développement extraordinairement intense et extraordinairement harmonieux de toutes les facultés, surtout des facultés synthétiques (imagination et amour), qui produisent l’invention, soit par le développement extraordinairement intense d’une faculté spéciale et c’est ici que le génie peut simuler la manie ; — tantôt enfin par une harmonie extraordinaire entre des facultés suffisamment intenses. […] Là où des divergences considérables se manifestent entre l’œuvre et la vie, comme pour Bacon ou Sénèque, c’est l’œuvre surtout qui doit fixer l’attention ; on doit se dire qu’on a là l’essentiel de l’homme en même temps que le meilleur. […] Le génie n’est pas seulement un reflet, il est une production, une invention : c’est donc surtout le degré d’anticipation sur la société à venir, et même sur la société idéale, qui caractérise les grands génies, les chorèges de la pensée et du sentiment. […] » — Nullement, nous sommes un peuple léger, à passions souvent superficielles comme les feux de paille ; nos idées sont malheureusement trop peu stables, surtout en politique.
La science et surtout la philosophie demeureront donc toujours poétiques, d’abord par le sentiment des grandes choses connues, des grands horizons ouverts, puis par le pressentiment des choses plus grandes encore qui restent inconnues, des horizons infinis qui ne laissent entrevoir que leurs commencements dans une demi-obscurité. […] Mais c’est surtout dans la philosophie qu’il y a un fond toujours poétique, précisément parce qu’il demeure toujours insaisissable à la science : le mystère éternel et universel, qui reparaît toujours à la fin, enveloppant notre petite lumière de sa nuit. […] Il est dans la nature même du poète d’être grand surtout en surface : il doit voir et sentir plus que s’appesantir, il doit tout effleurer et tout comprendre ; il reflète ; c’est le miroir d’une génération, d’une époque ; sa profondeur est le plus souvent intuition. […] La vraie poésie est surtout dans les grands symboles philosophiques et même dans les mythes ; l’imagination poétique se confond avec l’imagination religieuse : la poésie est une religion libre et qui n’est qu’à demi dupe d’elle-même ; la religion est une poésie systématisée qui croit réellement voir ce qu’elle imagine et qui prend ses mythes pour des réalités. […] La conclusion pratique est de ne pas compter sur le bien et le bonheur, de ne pas espérer. — « Il est bon et salutaire de n’avoir aucune espérance… ; il faut surtout anéantir l’espérance dans le cœur de l’homme.
Ils savent trop bien leur métier, les poètes dramatiques surtout, qui sont obligés de plaire aux instincts, aux passions, aux penchants de la multitude, et qui savent que, surtout dans l’art de la comédie, il arrive souvent que celui-là ne prouve rien, qui veut trop prouver. […] Convenez surtout que ce petit rôle d’Agnès est peut-être le rôle le plus égrillard du théâtre. […] — Il se mit au travail tout de suite, et il appela à son aide tous les comédiens dont il plaidait la cause : Brécourt, La Grange, Ducroisy, et ces belles comédiennes dont on répète encore les grâces et les amours : mademoiselle du Parc, mademoiselle de Brie, la Béjart, spirituel débris d’une beauté qui se défend encore, et surtout mademoiselle Molière, sa femme, si pleine d’adorables caprices et de charmantes bouderies, et qui avait un si grand air ! […] On venait leur apporter, des plus beaux salons, toutes sortes de petits ridicules frais éclos, dont ces messieurs et surtout ces dames faisaient leur profit immédiat.
La question est de la plus grande importance ; car de la solution qu’on en donne dépend l’idée qu’on se fait du rôle qui revient à la science, surtout à la science de l’homme. […] Enfin et surtout, ce critère est le plus souvent inapplicable. […] Il y a surtout un ordre de variations dont il importe de tenir compte parce qu’elles se produisent régulièrement dans toutes les espèces, ce sont celles qui tiennent à l’âge. […] Il ne faut pas oublier, en effet, que, s’il y a intérêt à distinguer le normal de l’anormal, c’est surtout en vue d’éclairer la pratique. […] Enfin et surtout, s’il est vrai que tout ce qui est normal est utile, à moins d’être nécessaire, il est faux que tout ce qui est utile soit normal.
Était-ce parce qu’il lui ressemblait moins et que nous admirons surtout ce dont nous sommes incapables ? […] Composée surtout de notes ajoutées à des notes, son Œuvre critique me fait l’effet d’un interminable obélisque de notes sur notules et de notules, sur notes, sur la pointe duquel il y aura toujours de la place pour d’autres notulettes qui viendront… Sûr de rien et curieux de tout, comment voulez-vous qu’un homme puisse être jamais un critique, — un juge intellectuel de ce qui fait la beauté ou la laideur des œuvres humaines ? […] Ces qualités, c’est la vivacité d’impression, l’imagination coloriante, la sensibilité nerveuse, la subtilité de l’analyse, la finesse déliée jusqu’à ce qu’elle arrive au rien, la science corrompue des décadences, que, d’ailleurs, même le critique le plus pur est obligé d’avoir dans les siècles de décadence, et enfin et surtout l’anecdote, l’amusette, la bagatelle de la porte, le cancan cher à mon joli siècle, voilà ce qui l’a fait proclamer si facilement et si universellement un grand critique par ceux qui ne se doutent pas de quelle pureté, de quelle fermeté et de quelle profondeur de marbre la notion de la critique est faite. […] … Quand madame Lenormand publia le premier volume : Souvenirs et Correspondances tirés des papiers de Madame Récamier, il y a déjà quelques années, elle pouvait encore rêver à ces lettres une valeur qu’elles n’avaient pas… Elle pouvait encore être fascinée par la femme récemment perdue, qui avait étendu si longtemps surtout le voile enchanté de son charme. […] Après cela, il n’est pas besoin d’insister pour qu’on soit bien sûr qu’il n’avait pas ce qu’il faut de grâce et de légèreté et de souplesse pour enlever une lettre à une femme, — cette chose ailée qui se pose surtout et qui n’y pèse pas.
L’un des plus inattendus n’est-il pas de voir un philosophe qui ne s’était guère occupé que de psychologie et de métaphysique ; qui, s’il n’a pas eu d’idées en propre, un système construit à la façon de Hegel ou de Schelling, a du moins eu de belles parties de discussion, souvent de l’aperçu entre deux idées fausses et surtout un style, beaucoup trop admiré, il est vrai, car il n’est pas sincère, oublier, tout à coup, ce qu’il est et ce qu’il fut, abandonner la philosophie qui meurt plus par le fait de ses partisans que de ses adversaires, laisser là l’habituel sujet de ses méditations et se jeter obstinément dans les petits et obscurs détails de la biographie, et de quelle biographie encore ! […] que dans les arts, et surtout dans l’art de penser et d’écrire, une manière convenue, une imitation quelconque, plaisent naturellement à l’homme, pris en masse, et ne troublent pas ce singe humain qui n’est un homme que dans de sublimes distractions, nous aurons une explication très satisfaisante du succès actuel de la Mme de Longueville de M. […] Nous disons, nous, que la poésie est surtout dans le poète et que Childebrand est épique, si le poète est épique ; ou bien que serait l’invention ? […] Il est vrai que pour que sa collection fût complète, pour donner surtout un repoussoir vigoureux à Mme de Chevreuse, il fallait à toute force une vertu à M. […] Tel est surtout le secret de ce nunc dimittis qu’il entonne à la fin de ses consécrations historiques.
Ceux-là demanderont, au contraire, au romancier, de leur dire où l’on souffre et surtout pour quelle cause précise on souffre au fond de la mine, dans la carrière, l’usine, l’échoppe, dans la chambre où il y a plus d’enfants que de lits et plus d’appétit que de pain. […] Il faut un siège en règle pour conquérir ce héros défiant, et c’est la cordialité seule qui fait parler ce silencieux, l’habitude de faire partie du même horizon restreint, d’être rencontré par lui au détour des routes et surtout la lente persuasion qu’on aime la terre, comme lui, depuis le trèfle d’en bas, depuis la graine non germée, jusqu’au nid de pie qui fleurit noir au sommet des vieux chênes. […] On a surtout l’inappréciable avantage de donner à l’œuvre le plus ample et le moins fragile des cadres. […] Je serais heureuse qu’un être plus fort que moi, plus fort surtout par l’amour que j’aurais pour lui, fût mon guide et m’absorbât toute. » « Au contraire des autres, je mesure l’affection qu’on me donne, et que je donne, aux tristesses éprouvées. » Voulez-vous enfin des impressions d’artistes, écrites par de simples employées de la mode ? […] Mais n’aperçoit-on pas qu’elles pouvaient servir d’indication, et comment le rôle des cahiers et des carnets ne consiste pas simplement à rappeler des termes, des détails, des fragments d’histoire que la mémoire aurait pu perdre, mais surtout à renseigner l’écrivain sur la manière de traiter l’œuvre, sur ce qu’on nomme en peinture les valeurs ?
De là, et surtout avec les progrès de l’érudition, ces histoires littéraires qui ne sont que de vastes répertoires disposés en un ordre arbitraire, avec ici ou là quelques chapitres où les rapports intimes de la littérature et de la vie apparaissent comme par hasard ou comme une exception. […] Je sens vivement les difficultés de cette exposition : elles sont dans l’immensité de la matière même, dans les difficultés de la terminologie, et surtout dans cette fatalité de l’expression verbale qui dit les choses une à une, tandis que dans la réalité les choses sont un bloc. […] C’est un peu ainsi que je voudrais procéder. — Pour commencer, considérons l’homme surtout comme être social et comme effet, tout en y mêlant déjà, forcément, l’individu-cause. […] Je n’ai pas à développer ici une conception philosophique qui m’est personnelle ; je dirai simplement qu’à mon avis nous serrerons le problème de près en nous attachant surtout à la vie intellectuelle de l’homme ; à l’esprit de l’homme, non point dans son « essence » qui nous échappe, mais dans ses manifestations, dans son évolution séculaire, dans son progrès, dont le rythme nous apparaît. […] C’est ainsi que Machiavel et surtout Montesquieu ont pu établir des vérités constantes.
C’est un certain nombre de systèmes plus ou moins liés dans le temps, mais liés surtout par une certaine ressemblance de principes et de vues. […] adressez-vous au monde et surtout à l’homme, car l’effet doit réfléchir plus ou moins la cause. […] Il était naturel aussi que celui qui parmi les éléments de l’histoire avait vu surtout l’élément politique, considérât surtout les époques où cet élément joue un rôle important, et négligeât celle que domine la religion, à savoir, l’époque orientale. […] Ici surtout l’intelligence historique est en raison directe de l’intelligence scientifique. […] C’est là sans doute un mérite, mais qu’il faut surtout rapporter au temps où Tiedemann écrivait.
J’indiquerai surtout la chanson alternative des lutins et des sylphes autour de l’amant, qui a su être plus fort que son amour même. […] C’est dans le cœur de l’homme qu’éclate surtout l’admirable variété de la nature. […] Voyez surtout L’Égyptienne. […] Il a réussi sans lutte, ce qui est rare en ce monde et surtout en ce temps. […] Une surtout me frappe.
Tout le monde en France, surtout les premiers qui doivent l’exemple à tous, avaient manqué à leur mission, et la France elle-même avait manqué à sa mission en Europe. […] Tout se passe entre une intelligence que Dieu a créée capable de recevoir et de former les idées, surtout par la parole, et les intelligences qui la lui transmettent comme elles l’ont elles-mêmes reçue. […] Ce qui avait surtout séduit dans le système de Condillac, c’était son extrême simplicité et l’harmonie qui unit toutes ses parties. Mais, en faisant un retour sur ce système, M. de Laromiguière et surtout M. […] Il se réfugia dans la science, où il restait maître de sa pensée, et ce furent surtout les sciences exactes qui occupèrent ses veilles.
Ainsi surtout doit-on faire s’il s’agit d’un lieu de quelque renom, d’une fondation destinée précisément à perpétuer la mémoire des hommes et des choses. […] Il croit surtout à la crédulité humaine, et s’en retire en répétant pour son compte : ……Credat Judaeus Apella, Non ego……….. […] Joubert y parle surtout au nom de l’amateur qui veut lire. […] A côté des anciens qu’il vénère, il n’oublie les novateurs qui le font penser, qui lui suggèrent toutes les conceptions imaginables, et surtout lui ôtent l’admiration, ce vrai signe de notre faiblesse. […] » Naudé n’oubliait jamais cette pensée en lisant l’histoire ; il en faisait surtout l’application aux grands esprits cultivés depuis la renaissance des lettres, et ce qu’il avait en Italie sous les yeux l’y confirmait.
Je crois que Raphaël dessine bien, et que Titien est un admirable coloriste, que Voltaire écrit comme pense un homme d’esprit, et que Byron chante comme l’humanité pleure, surtout dans Don Juan ! […] Lorsque midi surtout a versé sa lumière, Que ce n’est que chaleur et soleil et poussière ; Quand il n’est plus matin et que j’attends le soir, Vers trois heures, souvent, j’aime à vous aller voir ; Et là vous trouvant seule, ô mère et chaste épouse ! […] Elle me parlait donc et de mon père et d’elle ; Et ce qu’aimait surtout sa mémoire fidèle, C’était de me conter leurs destins entraînés Loin du bourg paternel où tous deux étaient nés. […] « Même lorsqu’il arrivera, plus tard, à toute la grandeur de sa manière, il excellera surtout à peindre de grands paysages reposés. […] Il rejoint en chemin Mécène et Horace ; il a pour compagnons Plotius et Varius, et l’agréable narrateur les qualifie tous trois (mais nous aimons surtout à rapporter l’éloge à Virgile) les âmes les plus belles et les plus sincères que la terre ait portées, celles auxquelles il est attaché avec le plus de tendresse.
Croce a protesté ; avec raison. — Il a prouvé que l’élément essentiel dans toute création artistique est un élément personnel, qui échappe aux définitions exactes et surtout aux prévisions. […] Là vraiment dans le cœur d’une Hermione, d’une Phèdre ou d’une Roxane, — là surtout, — l’amour exerce ses fureurs, et va pour ainsi dire d’une course ininterrompue jusqu’au bout de ses ravages. […] C’est surtout contre la règle des trois unités que la critique s’est acharnée. Seule l’unité d’action a trouvé grâce, et encore est-elle souvent élargie en unité d’intérêt ; quant aux unités de temps et de lieu (la dernière surtout) on a prouvé par a + b qu’elles étaient une contrainte ridicule. […] À remarquer que chez Maupassant, Flaubert et quelques autres, D’Annunzio semble préférer les œuvres moins connues : les Vers de Maupassant (et surtout La Vénus rustique), La Tentation de saint Antoine.
Il y eut là, tout au sortir de l’enseignement de Malherbe, dans notre poésie française lyrique, une veine trop peu abondante, trop tôt distraite et interrompue, mais très pure, très française, neuve, élevée et douce : il en est resté quatre ou cinq odes au plus, mais dignes d’Horace, qu’on y retrouve imité sans servilité et avec génie, et bien faites surtout pour enchanter et inspirer, comme cela a dû être, la jeunesse de La Fontaine. […] Ce plan lui eût fourni un poème grand, noble, varié, plein d’âme et d’intérêt, et plus flatteur pour une jeune princesse, surtout s’il eût su lui parler de sa beauté moins longuement et d’une manière plus simple, plus vraie, plus naïve qu’il ne l’a fait. […] Dans ses œuvres rares, difficiles, toujours remaniées, qu’il prise haut, mais qu’il n’estima jamais assez terminées pour en publier lui-même le recueil, il semble avoir cherché surtout à donner des exemples d’une nouvelle et meilleure manière de faire : on dirait qu’il n’a voulu que changer le procédé et remonter l’instrument plutôt que d’en user largement lui-même. […] Sa poésie pastorale me paraît surtout manquer de naïveté franche, et de cet amour des champs qu’avait Racan.
Guizot, en étant venu à un examen plus particulier sur quelques points, avoue qu’il eut des mécomptes ; il y rencontra quelques erreurs soit dans les citations, soit dans les faits, mais surtout, par places, des veines et des teintes générales de partialité qui l’amenèrent presque à une conclusion toute rigoureuse. […] Guizot déclare en être demeuré à apprécier, dans ce vaste et habile ouvrage, « l’immensité des recherches, la variété des connaissances, l’étendue des lumières, et surtout cette justesse vraiment philosophique d’un esprit qui juge le passé comme il jugerait le présent », et qui, à travers la forme extraordinaire et imprévue des mœurs, des coutumes et des événements, a l’art de retrouver dans tous les temps les mêmes hommes. […] Puis il lui montre en perspective une maison charmante à la porte de Lausanne et donnant sur la descente d’Ouchy, onze pièces tant grandes que petites tournées au levant et au midi, une terrasse, une treille, le fameux berceau ou l’allée couverte d’acacias, tous les accidents d’un terrain agréablement diversifié à l’œil, les richesses d’un jardin anglais et d’un verger, surtout la vue du lac et des monts de Savoie en face. Gibbon est séduit ; il a fort à faire à Londres pour rompre ses engagements, pour se délier avec ses amis, avec l’un surtout qui lui est bien cher, lord Sheffield.