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191. (1896) Les idées en marche pp. 1-385

Cette réalité se déformera plus ou moins suivant sa qualité cérébrale. […] Ils modifient et enchevêtrent les spectacles suivant des lois générales et personnelles infiniment variées. […] Il bâille sa vie, suivant le mot admirable de Chateaubriand. […] Cette fougue est ornée quand elle veut, malicieuse ou brutale suivant un rythme original et rare. […] Eût-il organisé la terre suivant sa volonté, qu’il eût convoité les planètes et les soleils.

192. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

J’y joindrai les deux passages suivants, tirés également des lettres à M. de Latour : ils seront désormais inséparables du nom de Mme Tastu ; le souvenir auquel elle a droit dans la série des femmes poètes et son médaillon définitif nous y sont donnés en quelques mots : « Lyon, 7 février 1837. […] Ce qui avait un tout autre caractère et bien autrement poignant, ce sont les stances suivantes, écrites sous l’impression même de l’atroce spectacle qu’elle avait sous les yeux, et qu’offre dans tous les temps, — à l’époque de la Ligue, comme à la nôtre, — le cynisme des guerres civiles. […] Sainte-Beuve le respectable billet suivant, qui a conservé son cachet noir avec la devise, honneur de la carrière de M.  […] Sainte-Beuve n’a pas publié la lettre suivante, qui lui fut adressée lors du funeste moment : « Parmi tous, vous seul, je crois, devinez l’étendue de ma douleur. […] Sainte-Beuve, au suprême période de sa carrière et de sa vie, était bien autorisé à parler ainsi de lui-même et du rang qu’il tenait dans la Littérature, lui que ses amis, les gens de lettres, appelaient mon maître , — quelques-uns même (le bien-aimé Théo) continuaient à l’appeler mon oncle comme au temps romantique, lui laissant sa place à côté du père , qui est Hugo. — Ce qui me décide (outre l’amitié qui m’y autorise) à publier la lettre suivante, est l’appréhension intellectuelle qui y est exprimée, et qui se déduit assez logiquement de ce qu’un homme, bien placé pour cela, peut, observer de plus en plus en littérature tous les jours : « Mon cher maître, , écrivait le correspondant de Sainte-Beuve, vous avez dû recevoir de nombreux compliments à propos de votre belle étude sur Mme Valmore ; et cependant chacun ne saurait trop vous dire quelle portée prend (dans ce temps plus que jamais) l’analyse si intime de ce caractère de femme. — Il est à craindre que vous ne soyez le dernier homme de lettres du siècle.

193. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Août 1886. »

Les représentations de la Tétralogie à Munich et à Dresde tiennent toujours32 ; à Dresde, un Cycle Wagnérien complet sera donné pendant le mois de septembre ou d’octobre, suivant l’ordre chronologique. […] Ce défaut n’est pas aux chanteuses, mais le contraire ; les trois chanteuses ont d’admirables voix, mademoiselle Malten plus impressionnante, madame Sucher plus simple, mais les trois continuent à jouer suivant tout le faux des usages scéniques ; défaut sensible surtout chez madame Materna qui toujours semble jouer l’Africaine aq. […] Dans la première semaine d’août, la première représentation de l’œuvre entière doit avoir lieu de la façon suivante : Dimanche : à 7 heures du soir, le rheingold ; Lundi : à 4 heures, premier acte de la Walküre, à 6 heures deuxième, à 8 heures troisième ; (de longs entractes offriront un repos au public dans les environs du théâtre, et aux artistes dans des locaux arrangés près de leurs loges). […]   Dans la seconde partie de cet article (spéciale à l’œuvre de Richard Wagner), les deux pages suivantes donnent une interprétation de l’Anneau du Nibelung ; de Tristan et de Parsifal. […] (Parsifal vers 14070 et suivants).

194. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre IV. Comparaison des variétés vives et de la forme calme de la parole intérieure. — place de la parole intérieure dans la classification des faits psychiques. »

A l’appui de cette dernière affirmation, nous citerons l’observation suivante, déjà préjugée plus haut, mais sur laquelle il est bon de revenir et d’insister : La parole intérieure calme, écho d’un écho, n’a point elle-même d’écho ; elle ne saurait être plus basse, plus évanouie que nous ne l’avons décrite ; entre l’intensité de la parole intérieure dans la rêverie la plus tranquille, dans l’ennui entrecoupé de bâillements, et le silence intérieur absolu, nous pouvons concevoir un milieu ; mais ce milieu est une pure conception mathématique de notre entendement, et notre imagination, c’est-à-dire notre souvenir, se refuse à la confirmer par les moyens qui lui sont propres. […] Cette division correspond assez imparfaitement aux distinctions suivantes : Reproduction avec innovation : — des sensations : imagination proprement dite ou sensible ; — des autres états de conscience : imagination psychologique. […] Il est évident que la parole intérieure se rattache, suivant les cas, tantôt à la mémoire sensible, tantôt à l’imagination sensible. […] Il faudrait dire que le penseur solitaire, que le paysan taciturne entend des voix intérieures, que nous sommes tous, suivant le sexe, des Socrate ou des Jeanne d’Arc. […] L’habitude totale se réalise par leur réalisation successive et continue ; cette réalisation a lieu suivant un ordre réglé tantôt par des suscitants extérieurs (comme dans la lecture), tantôt par la raison (comme dans la méditation), et elle ne cesse que lorsqu’elle est devenue, en présence de la parole extérieure d’autrui, qu’il faut écouter et comprendre, inutile ou même nuisible.

195. (1885) Le romantisme des classiques (4e éd.)

Je ne sais si ce furent les vers suivants qui arrachèrent des larmes au Cardinal-ministre. […] Corneille, en mettant plus de décence dans le dialogue, substitua aux nourrices les suivantes, qui purent être jouées par des femmes. […] Matamore, par exemple, s’entretenant avec son suivant Clindor, celui-ci l’interroge, sur la rêverie où il le voit plongé. […] Suivant lui, le Cid pèche contre l’unité d’action, contre la vraisemblance et contre les bonnes mœurs. […] L’invraisemblance redouble et s’aggrave lorsqu’on voit que le père n’est pas encore détrompé à l’acte suivant.

196. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Villars — IV » pp. 103-122

Durant cette campagne de 1709, elle lui écrivait agréablement qu’en lui voyant faire tant de miracles, on le regardait à Saint-Cyr comme un saint : « Je vais demander à Dieu, avec les dames de Saint-Cyr, de vous protéger et de vous rendre tel qu’elles croient que vous êtes. » Je serai plus bref sur les deux campagnes suivantes (1710-1711). […] Villars, après avoir étudié le terrain, suivant son principe « que, quand on doit jouer une furieuse partie de paume, il faut au moins connaître le tripot », vit bien que d’attaquer Eugène dans ses lignes commencées de Landrecies était chose téméraire, et il se décida à porter son effort contre le camp de Denain, qu’il savait plus abordable, et dont le maréchal de Montesquiou (d’Artagnan) lui avait le premier parlé11. […] L’année suivante, 1713, l’empereur hésitant encore à signer sa paix particulière, Villars fut envoyé à l’armée d’Allemagne, et, poussant sa veine, il n’y eut que des succès. […] [NdA] On lit dans l’ouvrage intitulé : Mes rêveries, du maréchal de Saxe, le récit suivant qui a tout son prix, étant d’un grand homme de guerre et qui, lui-même, avait dû causer de l’affaire avec Villars et avec le prince Eugène : À l’affaire de Denain, le maréchal de Villars était perdu, si le prince Eugène eût marché à lui, lorsqu’il passa la rivière en sa présence, en lui prêtant le flanc.

197. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Mémoires de l’abbé Legendre, chanoine de Notre-Dame secrétaire de M. de Harlay, archevêque de Paris. (suite et fin). »

L’histoire suivante se répandit dans Paris et courut sur la fin de 1679. […] L’Académie l’était allée féliciter en corps dans son palais archiépiscopal le 22 mars suivant, et avait parlé par la même bouche de Pellisson avec le zèle, l’effusion et le transport quasi-apostolique d’un nouveau converti. Le chancelier Séguier étant mort au commencement de l’année suivante (1672), M. de Harlay fut, auprès de Louis XIV, l’interprète du vœu de l’Académie pour que le roi en personne voulût bien agréer dorénavant le titre de son Protecteur. […] On peut, entre autres passages de cette singulière oraison funèbre, citer le suivant, pour montrer à quel point l’opinion était alors défavorable à M. de Harlay, et quelle clameur publique il y avait à surmonter et à combattre lorsqu’on en venait à toucher l’article de ses mœurs : « Quand du côté de la paix et de la vérité, disait l’orateur, il n’aurait rien eu à se reprocher, est-il pour cela entièrement justifié ?

198. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Catinat (suite et fin.) »

Tessé écrivait à Barbezieux, à la fin de janvier 1694 : « L’important, c’est de cacher sur cette frontière l’indigence d’argent ; il y a six mois que nous vivons d’emprunt. » Cet état de pénurie se prolongea ; au mois de mai suivant il y avait tout à craindre du manque de payement des troupes ; dans une apostille de lettre au ministre. […] Vers l’automne de 1695, le roi voyant que le duc de Savoie le lanternait toujours et qu’or, ne concluait pas, voulut décidément être en mesure d’agir la campagne suivante ; et Tessé, qu’il fit interroger sur cet article et sur le point précis où gisait la difficulté, répondait avec sa finesse habituelle, et à la fois avec tout le respect qu’il devait et qu’il portait en effet à Catinat ; — c’est un dernier jour ouvert, et selon moi définitif, sur l’esprit et le moral du très brave, mais très prudent maréchal : « Je vais parler franchement, écrivait donc Tessé (16 septembre 1695), puisque le roi l’ordonne. […] Il fit demander au roi que, tout en restant à l’armée pour la fin de cette campagne, il lui fût permis de se retirer après, et il en donna les raisons suivantes, ne craignant point de fournir lui-même des motifs d’excuses et presque des armes à la sévérité dont il était l’objet : « Je ne suis.plus jeune, écrivait-il à Chamillart (28 août), je suis près d’entrer dans ma soixante-quatrième année. […] La campagne suivante ne fut pas plus heureuse pour lui ni plus flatteuse.

199. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite.) »

Le coup de tonnerre du 5 mars, la nouvelle de la rentrée en scène de Napoléon, qui brusqua la séparation du congrès, donna fort à réfléchir à M. de Talleyrand, et il mit dans toutes ses démarches des mois suivants une singulière lenteur. […] On ne pensera pas encore de quelque temps au successeur : les Chambres n’étant pas assemblées, rien ne presse. — On dit que la première cause de la maladie a été un dîner chez l’ambassadeur de Naples : il y avait, suivant son usage, beaucoup trop mangé : ensuite est arrivée une inflammation dont on n’a jamais pu se rendre maître. — J’irai vous voir mardi 14 avec M.  […] Quand on parle de goût et qu’on célèbre celui de l’ancienne société, celui de quelques hommes en particulier dont M. de Talleyrand était comme le type accompli, il faut bien s’entendre et se garder de confondre le goût social et le goût littéraire ; car en matière de littérature et surtout de poésie, ces gens d’esprit en étaient restés aux formes convenues de leur jeunesse et aux lieux communs de leur éducation première ; on en a une singulière preuve dans la lettre suivante : « 18 (août 1828) Bourbon. […] La lettre suivante qu’il écrivait confidemment à Mme de Dino (?)

200. (1874) Premiers lundis. Tome I « M. A. Thiers : Histoire de la Révolution française. Ve et VIe volumes. »

Sans doute, en le lisant, il est bien vrai qu’on sent naître en soi une idée de nécessité qui subjugue ; dans l’entraînement du récit on a peine à concevoir que les événements aient pu tourner d’une autre façon, et à leur imaginer un cours plus vraisemblable, ou même des catastrophes mieux motivées ; la nature humaine, ce semble, voulait que les choses se passassent dans cet ordre, que les partis se succédassent dans cette génération ; étant donnée chaque crise nouvelle, on dirait qu’on en déduit presque irrésistiblement la suivante, et qu’on procède à chaque instant par voie de conclusion, du présent à l’avenir : non pas, au moins, que dans sa manière purement narrative ; M.  […] Quant aux hommes, il est vrai, l’historien ne s’occupe guère de les gourmander ou de les louanger à propos de chaque action, il les prend pour ce qu’ils sont, les laisse devenir ce qu’ils peuvent, les quitte, les retrouve, suivant qu’ils s’offrent ou non sur sa route, et se garde surtout de faire d’aucun son héros ou sa victime.

201. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre premier. Les signes — Chapitre premier. Des signes en général et de la substitution » pp. 25-32

Je remplace mes premiers ouvriers par le chiffre quatre, leur premier travail par le chiffre douze, tous mes ouvriers ensemble par le chiffre dix, l’ouvrage inconnu qu’ils me feront par le signe X, et j’écris la proportion suivante : À partir d’aujourd’hui, sauf accident ou ivrognerie, si les nouveaux ouvriers travaillent comme les anciens, si tous ensemble travaillent comme les premiers ont travaillé d’abord, mes dix ouvriers feront chaque jour trente mètres de mon mur. — Rien de plus commun qu’une pareille opération ; tous les calculs pratiques se font de même. […] Dorénavant je remplace le premier chiffre par A, le second par B, le troisième par C, et j’écris la proportion suivante : Et je vois que dans tout cas semblable, pour savoir l’ouvrage total, il me suffira de multiplier le nombre des ouvriers réunis par le chiffre de l’ouvrage des premiers, puis de diviser le produit par le nombre de ces premiers.

202. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Chapitre II. Comment les nations parcourent de nouveau la carrière qu’elles ont fournie, conformément à la nature éternelle des fiefs. Que l’ancien droit politique des romains se renouvela dans le droit féodal. (Retour de l’âge héroïque.) » pp. 362-370

la pag. suivante.) […] On y retrouve aussi les biens ex jure optimo que les feudistes érudits définissent de la manière suivante : biens allodiaux, libres de toute charge publique et privée.

203. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Le Brun »

Les suivants, pires encore, sont trop atroces pour que je les transcrive. […] En fait de mythologie, rien n’égale chez Le Brun la strophe suivante, tirée de l’ode sur le triomphe de nos Paysages, et que Charles Nodier aime à citer avec sourire : La colline qui vers le pôle Borne nos fertiles marais, Occupe les enfants d’Éole A broyer les dons de Cérès. […] Il serait dur, mais pas trop invraisemblable, de conjecturer qu’en écrivant les vers suivants (voir l’édition d’Eugène Renduel), Chénier a pu songer au jour où il se sentit déçu et blessé dans son admiration première pour Le Brun : Ah !

204. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — Chapitre XI »

Vingt ans plus tard, aux actes suivants, Jacques Vignot, qui se croit Jacques de Boisceny, fils légitime d’une veuve, et qui a vingt-cinq mille livres de rente, par suite d’un incident que nous rappellerons tout à l’heure, devient amoureux de mademoiselle Hermine Sternay, laquelle est la nièce de son père. […] Nous apprenons, à l’acte suivant, que Clara Vignot doit ses cinq cent mille francs, et la terre de Boisceny, dont son fils porte le nom, à ce personnage élégiaque. […] La rupture est consommée, à l’acte suivant.

205. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — Se connaître »

Il provient, je crois, de ce fait que la France ne voit qu’elle-même dans le monde, et qu’il lui est, dès lors, impossible de se juger, suivant la réalité ; manquant de points de comparaison, elle s’illusionne jusqu’à se croire d’une manière permanente et, pour ainsi dire, cosmique, à la tête de la civilisation et de l’humanité.‌ […] Il y aurait là, suivant son intime sentiment, une sorte de prédestination divine ou fatale, que nulle force humaine ne pourra contrarier. […] Jules Lemaître, l’ironiste bien connu, qui n’a pas craint de prononcer les paroles suivantes : « Ce qui ressort de cet exposé52 aussi convaincant que lamentable, c’est l’immense supériorité sociale, politique, commerciale, industrielle, financière et morale de la race anglo-saxonne ; et c’est notre faiblesse, notre misère, notre néant.

206. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre III. Le lien des caractères généraux ou la raison explicative des choses » pp. 387-464

Entre autres procédés, il en est un fort commode qui consiste à prendre sur un plan deux axes fixes AB, BC, qui se coupent suivant un angle connu, à mener de ces axes des parallèles au point, et à donner la longueur de ces parallèles. […] Tous partent d’un état antérieur dénoté par des indices convergents ou attesté par des documents transmis, et, de cet état probable ou certain, ils déduisent, d’après les lois actuelles, l’état suivant, puis encore le suivant, et ainsi de suite jusqu’à l’état actuel. […] I, p. 282 et suivantes. […] Voir à ce sujet Helmholtz, Mémoire sur la conservation de la force, traduit par Pérard, p. 31, 34 et suivantes. […] Introduction à l’étude de la médecine expérimentale, p. 115 et suivantes.

207. (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXe entretien. Mémoires du cardinal Consalvi, ministre du pape Pie VII, par M. Crétineau-Joly (2e partie) » pp. 81-159

« Ayant reçu les ordres du pontife, je fis convoquer, pour le jour suivant, la congrégation générale des cardinaux, dans les appartements de Sa Sainteté, et l’envoyé français fut averti qu’il pouvait aller voir le Pape, ainsi qu’il en avait témoigné le désir. […] On convint donc de tenir le jour suivant, à midi juste, au même lieu, cette nouvelle séance, comme on avait tenu la précédente, qui fut si amère et si déplorable. […] « Le jour suivant, qui était le dimanche, on célébra le mariage civil à Saint-Cloud. […] « Le jour suivant était réservé pour la quatrième invitation, celle relative à la présentation aux souverains assis sur leurs trônes. […] La fonction consistait à entrer lentement un à un, à s’arrêter au pied du trône, à faire une profonde inclination et à sortir par la porte de la salle suivante.

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