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265. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 447

Ce fut sans doute par cette étude soutenue, qu’il acquit ces connoissances qui faisoient dire à François I, que, de tous les Savans avec lesquels il avoit vécu, Castellan étoit le seul dont il eût trouvé la science inépuisable.

266. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 482-483

On a oublié les Ouvrages qu’il fit pour soutenir cette mauvaise cause, mais on se souvient encore de l’Epigramme de Boileau.

267. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 199

Les Ouvrages des uns sont, dans la République des Lettres, ce que sont, dans les édifices, ces peintures délicates qui les ornent, les embellissent, & qui ont besoin d’être renouvelées : ceux des autres doivent être regardés comme les fondemens solides qui les soutiennent, & ne peuvent périr qu’avec eux.

268. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 200

Cette Piece intéressante & bien conduite eut seize représentations, & est restée au Théatre quoiqu’on ne l’ait pas donnée depuis long-temps ; le caractere de Tharès, entre autres, est neuf & bien soutenu.

269. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 510

La maniere dont il soutient ce paradoxe, est analogue à la tournure d’esprit qui l’avoit produit.

270. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 404-405

Son Heptameron est le seul de ses Ouvrages qui se soit soutenu jusqu'à nous.

271. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250

        La bagatelle, la science, Les chimères, le rien, tout est bon ; je soutiens         Qu’il faut de tout aux entretiens : C’est du parterre où Flore épand ses biens ; Sur différentes fleurs l’abeille s’y repose,         Et fait du miel de toute chose. […] « On était hier, dit-elle, sur votre chapitre chez madame de Coulanges, et madame Scarron se souvint avec combien d’esprit vous avez soutenu autrefois une mauvaise cause, à la même place et sur le même tapis où nous étions.

272. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Troisième Partie. De la Poësie. — II. La versification, et la rime. » pp. 257-274

Les partisans de l’illustre Fénélon ont fait le contraire ; ils ont soutenu que la versification n’est pas de l’essence de la poësie Croyant assurer à la nation la gloire d’avoir enfin un poëme épique, ils décorèrent de ce nom le Télémaque, quoique l’auteur lui-même ne l’ait jamais fait paroître sous ce titre, mais sous celui d’ Aventures de Télémaque. […] Le président Bouhier soutient que cet ennui ne se fait pas plus sentir dans les ouvrages de longue haleine que dans les petites pièces.

273. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VII »

Que le meilleur de leur style soit perdu pour nous, il est très possible, et nous l’avons dit ; mais que leur émotion, leurs images, leur vie descriptive, leurs fortes qualités intérieures ne se puissent plus sentir, c’est, je crois, ce que personne ne soutiendra. […] On a essayé, depuis Léon Gautier, d’acclimater ce jugement flatteur pour notre amour-propre national ; tout compte fait, il a fallu en rabattre et, à l’heure qu’il est, peu de gens oseraient soutenir ce parallèle.

274. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVI. Médecine Tessier »

Elles s’appuient sur ces grandes généralités qui soutiennent tout, dans le monde intellectuel et moral. […] Tessier a osé relever et soutenir.

275. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Henri Cantel »

Toutes les inspirations ne peuvent pas être égales à ses yeux, elles ne peuvent pas faire équation entre elles ; le dire, le soutenir, ce serait dire, ce serait soutenir que le travail des facultés humaines et sa puissance font tout le poète (ce qui n’est pas), et que la substance sur laquelle le poète accomplit son merveilleux travail n’est rien ou peu de chose, — quelque chose de grossier ou d’inerte, quelque argile.

276. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 144

Ce mérite, soutenu d’une diction noble, élégante & toujours correcte, a fait regarder cet Avocat comme le Cochin du Barreau de Rennes, & doit faire désirer qu’on imprime ses Plaidoyers.

277. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 168-169

Ce n’est pas qu’elle n’offre plusieurs traits d’esprit ; mais cet esprit est si volatil, qu’il n’est pas capable de soutenir un Ouvrage.

278. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre I. Le Roman. Dickens. »

Le seau remonte un corps qui n’a presque plus de forme, et l’on voit la figure pâle, épuisée, patiente, tournée vers le ciel, tandis que la main droite, brisée et pendante, semble demander qu’une autre main vienne la soutenir. […] Rien de plus accablant que ces longs chapitres d’ironie soutenue où le sarcasme s’enfonce à chaque ligne plus sanglant et plus perçant dans l’adversaire qu’il s’est choisi. […] Il les a considérées comme des forces, et, jugeant que la force est belle, il les a soutenues de leurs causes, entourées de leurs circonstances, développées dans leurs effets, poussées à l’extrême, et agrandies jusqu’à en faire des monstres sublimes, plus systématiques et plus vrais que la vérité. […] Ce sont des traditions qu’il soutient, et c’est une puissance qu’il continue. […] Vous voyez là un caractère qui ne pouvait se produire que dans un pays dont le commerce embrasse le monde, où les négociants sont des potentats, où une compagnie de marchands a exploité des continents, soutenu des guerres, défait des royaumes, et fondé un empire de cent millions d’hommes.

279. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Loyson, Charles (1791-1819) »

Le vol du poète de Château-Gontier est plus soutenu et plus haut.

280. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 364

Les Pieces de Théatre de Boursault n’ont pas eu toutes du succès ; plusieurs même ne sont pas supportables ; mais le Mercure Galant ou la Comédie sans titre, & Esope à la Cour, se sont constamment soutenus, & le Public ne se lasse pas de les voir représenter.

281. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 314-315

Le sujet, la marche, les caracteres, dans la Vestale, sont infiniment mieux présentés, mieux soutenus, l’intérêt plus vivement développé, le ton plus noble, plus tragique.

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